Michel Ndjotodia et Joseph kony, Blanc bonnet - bonnet Blanc
Bangui (République centrafricaine), le 10 octobre. Des soldats français de l'opération Boali. | ISSOUF SANOGO / AFP
Au moment de poster cette publication, des communiqués sur les ondes des radios et télévisions font état des tirs nourris a l’arme légère et lourde depuis la capitale de la Centrafricaine ou des victimes tant civiles que militaires se comptent par centaine dans les hôpitaux de la capitale.
Ce regain de violence prévisible est le résultat d’une politique irresponsable de la communauté internationale qui ne prend jamais le temps d’initier une politique dans l’intérêt du peuple centrafricain mais fait sur du calcul des intérêts des seules forces extérieures déstabilisatrices de la Centrafrique. C’est le fruit d’une politique confuse et incitatrice de violence en même temps.
Juste pour comprendre : Michel Ndjotodia et ses complices sont comme une matière fécale en putréfaction qui attire les mouches. Pour lutter contre la prolifération des mouches, il suffit tout simplement d’enlever cette matière fécale en putréfaction et ensuite désinfecter. Aussi simple que ça. Laisser la matière en décomposition en l’état, qui est la source nourricière de ces mouches et prétendre les chasser par d’autres moyens peu orthodoxes relève de l’irresponsabilité et du manque de sérieux. C’est dans cette caricature que la Centrafrique est exposée.
Michel Ndjotodia et Nicolas Tchangaï, tant qu’ils seront à la tête de cette transition, c’est l’impunité qui est accordée. Nous ne voyons pas comment d’autres responsables des exactions ou autres, seront poursuivis alors que les principaux responsables sont à la commande des affaires publiques.
Au bruit du grand sabot impérial de la France, exhibant son biscoto, Michel Ndjotodia sort un Joker : Joseph kony. A chaque événement suffisent ses mesures, made in Ndjotodia. Les centrafricains s’en sont accommodés mi fi mi raisin, des ruses manipulatoires malencontreuses de ce rêveur perdu dans ses illusions éphémères de la politique et du pouvoir. Il a tant rêvé réinventer l’histoire de ce pays qu’il ne trouvait pas à son goût, mais a réussi à écrire son nom à lui en sang humain dans l’anal du record du plus piètre homme politique de la planète. Comme quoi en Centrafrique, les politiciens sont excellés dans l’art de tout ce qui est exécrable et qui tend à nuire au pays qu’ils dépassent comme des vautours.
Il semble judicieux de faire remarquer que le chemin de ses deux homme, Michel Ndjotodia et Joseph, se sont croisés à plusieurs reprises et que les hommes armés de Joseph Kony se sont illustrés dans leur sale besogne aux cotés de Michel Ndjotodia pour massacrer les villageois centrafricains avant la prise de Bangui par la Séléka. Une sorte de pacte de non agression et de coopération a été conclue entre les deux criminels. Mais après le coup d’Etat, on se souvient des déclarations du chef rebelle Michel Ndjotodia qui prétendait livrer dans si peu Joseph kony à la communauté internationale par son armée de la Séléka, mais une capture qui se fait toujours attendre. Cette déclaration a d’ailleurs déclenché une sanglante réponse du loup à la bergère par des massacres à Mbomou commis par les hommes de Joseph Kony pour non respect d’engagement et de parole donnée.
Il n’ya que les criminels de leur genre qui peuvent se communiquer et garder contacte. Pendant que toutes les armées du monde sont aux trousses de joseph Kony, Michel Ndjotodia réussi à parlementer avec lui avec une aisance déconcertante. Ça démontre bel et bien une symbiose dans l’interaction des deux criminels, une certaine complicité directe ou indirecte par des hommes qu’ils partagent en commun dans leur carnet d’adresse et plus encore.
On est loin d’en finir avec les coups de poker de Michel Ndjotodia. Comme à l’approche de chaque événement international pour décider de l’issue à donner à la crise centrafricaine, allant de la réunion du conseil de sécurité des Nations-Unies, aux différents sommets des chefs d’Etats africains sur la crise Centrafricaine, en passant par l’intervention française pour le désarmement et le rétablissement de la sécurité en Centrafrique. Cette bande d’annonce diffusée en boucle sur les ondes des radios et télévisions internationales ne pourra en aucune manière effacer une tragédie. La capture de Joseph Kony est une chose et les crimes de Ndjotodia s’en est une autre. La capture de Kony n’impliquera pas une remise de peine ou même un traitement de faveur pour Ndjotodia qui se croit le plus rusé et un fin politicienne. C’EST TOUT LE CONTRAIRE
Visiblement, le chef rebelle Michel Ndjotodia n’a pas la quiétude au point d’être hanté par le spectre d’un coup de force pour ne pas dire un coup d’Etat qui est diligenté contre un chef d’Etat reconnu par les institutions et non à un chef rebelle. Ce fauteuil tant convoité mais qui rend insomniaque a été expérimenté par le président déchu François Bozizé, au point de fuir son domicile pour dormir dans des voitures dans des endroits insolites dans Bangui.
Ce regain de violence prévisible est le résultat d’une politique irresponsable de la communauté internationale qui ne prend jamais le temps d’initier une politique dans l’intérêt du peuple centrafricain mais fait sur du calcul des intérêts des seules forces extérieures déstabilisatrices de la Centrafrique. C’est le fruit d’une politique confuse et incitatrice de violence en même temps.
Juste pour comprendre : Michel Ndjotodia et ses complices sont comme une matière fécale en putréfaction qui attire les mouches. Pour lutter contre la prolifération des mouches, il suffit tout simplement d’enlever cette matière fécale en putréfaction et ensuite désinfecter. Aussi simple que ça. Laisser la matière en décomposition en l’état, qui est la source nourricière de ces mouches et prétendre les chasser par d’autres moyens peu orthodoxes relève de l’irresponsabilité et du manque de sérieux. C’est dans cette caricature que la Centrafrique est exposée.
Michel Ndjotodia et Nicolas Tchangaï, tant qu’ils seront à la tête de cette transition, c’est l’impunité qui est accordée. Nous ne voyons pas comment d’autres responsables des exactions ou autres, seront poursuivis alors que les principaux responsables sont à la commande des affaires publiques.
Au bruit du grand sabot impérial de la France, exhibant son biscoto, Michel Ndjotodia sort un Joker : Joseph kony. A chaque événement suffisent ses mesures, made in Ndjotodia. Les centrafricains s’en sont accommodés mi fi mi raisin, des ruses manipulatoires malencontreuses de ce rêveur perdu dans ses illusions éphémères de la politique et du pouvoir. Il a tant rêvé réinventer l’histoire de ce pays qu’il ne trouvait pas à son goût, mais a réussi à écrire son nom à lui en sang humain dans l’anal du record du plus piètre homme politique de la planète. Comme quoi en Centrafrique, les politiciens sont excellés dans l’art de tout ce qui est exécrable et qui tend à nuire au pays qu’ils dépassent comme des vautours.
Il semble judicieux de faire remarquer que le chemin de ses deux homme, Michel Ndjotodia et Joseph, se sont croisés à plusieurs reprises et que les hommes armés de Joseph Kony se sont illustrés dans leur sale besogne aux cotés de Michel Ndjotodia pour massacrer les villageois centrafricains avant la prise de Bangui par la Séléka. Une sorte de pacte de non agression et de coopération a été conclue entre les deux criminels. Mais après le coup d’Etat, on se souvient des déclarations du chef rebelle Michel Ndjotodia qui prétendait livrer dans si peu Joseph kony à la communauté internationale par son armée de la Séléka, mais une capture qui se fait toujours attendre. Cette déclaration a d’ailleurs déclenché une sanglante réponse du loup à la bergère par des massacres à Mbomou commis par les hommes de Joseph Kony pour non respect d’engagement et de parole donnée.
Il n’ya que les criminels de leur genre qui peuvent se communiquer et garder contacte. Pendant que toutes les armées du monde sont aux trousses de joseph Kony, Michel Ndjotodia réussi à parlementer avec lui avec une aisance déconcertante. Ça démontre bel et bien une symbiose dans l’interaction des deux criminels, une certaine complicité directe ou indirecte par des hommes qu’ils partagent en commun dans leur carnet d’adresse et plus encore.
On est loin d’en finir avec les coups de poker de Michel Ndjotodia. Comme à l’approche de chaque événement international pour décider de l’issue à donner à la crise centrafricaine, allant de la réunion du conseil de sécurité des Nations-Unies, aux différents sommets des chefs d’Etats africains sur la crise Centrafricaine, en passant par l’intervention française pour le désarmement et le rétablissement de la sécurité en Centrafrique. Cette bande d’annonce diffusée en boucle sur les ondes des radios et télévisions internationales ne pourra en aucune manière effacer une tragédie. La capture de Joseph Kony est une chose et les crimes de Ndjotodia s’en est une autre. La capture de Kony n’impliquera pas une remise de peine ou même un traitement de faveur pour Ndjotodia qui se croit le plus rusé et un fin politicienne. C’EST TOUT LE CONTRAIRE
Visiblement, le chef rebelle Michel Ndjotodia n’a pas la quiétude au point d’être hanté par le spectre d’un coup de force pour ne pas dire un coup d’Etat qui est diligenté contre un chef d’Etat reconnu par les institutions et non à un chef rebelle. Ce fauteuil tant convoité mais qui rend insomniaque a été expérimenté par le président déchu François Bozizé, au point de fuir son domicile pour dormir dans des voitures dans des endroits insolites dans Bangui.
Toute la communauté internationale s’accorde à reconnaitre à l’unanimité l’incapacité et le manque de volonté politique du gouvernement Tchangaï et du président auto proclamé Michèle Ndjotodia à venir à bout de la violence sur la population civile centrafricaine.
Le peuple centrafricain attend plus que jamais la reconnaissance de la responsabilité du chef rebelle Michel Ndjotodia par la communauté internationale comme coupable de la déstabilisation et de la dégénérescence de la Centrafrique, d’agression mortelle sur la population centrafricaine sans intention de la donnée. Ceci sera perçu par la population comme une volonté manifeste de ne pas protéger les auteurs de leur malheur et aussi démontrer par la même occasion que la lutte contre l’impunité n’est pas un vain mot. C’est la condition sine qua non vers le processus de la réconciliation nationale et de la paix.
La comparution devant les juridictions internationales de toute l’équipe Ndjotodia sera 60% du problème de la sécurité résolue et pour préparer les mentalités et les cœurs à accepter et enclencher le processus de la réconciliation. D’abord rendre justice au peuple et le reste s’en suivra sans trop de difficulté.
Leur maintien serait interprété comme un bras d’honneur de la France aux victimes des exactions et a tous les centrafricains. Ce qui entrainera malheureusement de facto une prolifération des groupes d’auto défense pour ne pas dire des groupes rebelles pour se faire justice rendant impossible la cohabitation sociale entre les chrétiens et les musulmans. La Centrafrique doit boucler le cycle de l’IMPUNITE qui constitue son auto handicap.
La Nouvelle Centrafrique prône « ZAZI », ZERO ARMISTICE - ZERO IMPUNITE.
Jean-Gualbert TOGBA
Le peuple centrafricain attend plus que jamais la reconnaissance de la responsabilité du chef rebelle Michel Ndjotodia par la communauté internationale comme coupable de la déstabilisation et de la dégénérescence de la Centrafrique, d’agression mortelle sur la population centrafricaine sans intention de la donnée. Ceci sera perçu par la population comme une volonté manifeste de ne pas protéger les auteurs de leur malheur et aussi démontrer par la même occasion que la lutte contre l’impunité n’est pas un vain mot. C’est la condition sine qua non vers le processus de la réconciliation nationale et de la paix.
La comparution devant les juridictions internationales de toute l’équipe Ndjotodia sera 60% du problème de la sécurité résolue et pour préparer les mentalités et les cœurs à accepter et enclencher le processus de la réconciliation. D’abord rendre justice au peuple et le reste s’en suivra sans trop de difficulté.
Leur maintien serait interprété comme un bras d’honneur de la France aux victimes des exactions et a tous les centrafricains. Ce qui entrainera malheureusement de facto une prolifération des groupes d’auto défense pour ne pas dire des groupes rebelles pour se faire justice rendant impossible la cohabitation sociale entre les chrétiens et les musulmans. La Centrafrique doit boucler le cycle de l’IMPUNITE qui constitue son auto handicap.
La Nouvelle Centrafrique prône « ZAZI », ZERO ARMISTICE - ZERO IMPUNITE.
Jean-Gualbert TOGBA