La plus flagrante preuve du cynisme politique du président Deby est la démarche absolument absurde qu’il adopte ces temps derniers en déstabilisant la Centrafrique. Cela veut clairement dire que le problème de l’irresponsable chef de la seleka ne se situe pas au niveau des hommes politiques Centrafricains qu’ils connaissent bien, et certains le fréquentent la nuit pour des miettes et argent sale. Djotodia n’est jamais et ne sera crédible aux yeux des Centrafricains car, il serait mal placé à dialoguer, ou à faire la paix avec l’ensemble des Centrafricains, tout le monde demande sa démission lui et son gouvernement illégitime. Sur le terrain même son de cloche pour une sortie de crise heureuse ces mouvements politico-militaires sont incontournables dans le contexte politique Centrafricain. En pratique les premiers ministres démissionnent toujours, soit pour marquer leur opposition, soit à la demande du président mais, la démission d’un Gouvernement est avant tout liée à sa responsabilité politique le cas de la Centrafrique en est l’exemple. La démission du Premier Ministre chef du gouvernement seleka est source du départ immédiat sans délai de Michel Djotodia ce sont tous des opportunistes. Le peuple centrafricain exige le retrait du contingent Tchadien de la Mission Internationale de Soutien à la Centrafrique (MISCA°), les troupes Tchadiennes sont des militaires indisciplinés, assassins, criminels, violeurs, envahisseurs, occupants, mercenaires.
Il serait difficile d’évoquer les mercenaires Tchadiens sans parler de ceux, Soudanais, qui logent au vu et au su du tout à Bangui au camp de roux, camp Beal et sont entretenus au doigt et à l’œil par le régime sanguinaire de la seleka en place. Ces criminelles venus du Tchad et Soudan sans réelle idéologie, et seulement animés par une rigide logique de sécession de la Centrafrique, la partition de cet immense pays, et au bout du compte l’instauration d’une république islamique par Michel Djotodia sous les directives de Deby. Pourtant, ces mercenaires, certes sans foi ni loi, mais animés par des crimes doivent rentrer au Soudan et ou au Tchad.
Car depuis près d’un an, une insidieuse et cohérente stratégie de déstabilisation d’envergure sous régionale commençant par la Centrafrique s’est tissée autour de Deby et de son régime dictatorial. En effet, c’est dans la cynique et criminelle optique d’envahir la Centrafrique par le Tchad, que l’association des voyous et force satanique appelée seleka née.
Il serait difficile d’évoquer les mercenaires Tchadiens sans parler de ceux, Soudanais, qui logent au vu et au su du tout à Bangui au camp de roux, camp Beal et sont entretenus au doigt et à l’œil par le régime sanguinaire de la seleka en place. Ces criminelles venus du Tchad et Soudan sans réelle idéologie, et seulement animés par une rigide logique de sécession de la Centrafrique, la partition de cet immense pays, et au bout du compte l’instauration d’une république islamique par Michel Djotodia sous les directives de Deby. Pourtant, ces mercenaires, certes sans foi ni loi, mais animés par des crimes doivent rentrer au Soudan et ou au Tchad.
Car depuis près d’un an, une insidieuse et cohérente stratégie de déstabilisation d’envergure sous régionale commençant par la Centrafrique s’est tissée autour de Deby et de son régime dictatorial. En effet, c’est dans la cynique et criminelle optique d’envahir la Centrafrique par le Tchad, que l’association des voyous et force satanique appelée seleka née.
Et bien évidemment, quand on parle du Tchad, le Soudan n’est jamais loin. Le Tchad que l’on imaginerait encore plus enflammé par sa haine contre tout ce qui est ressource naturelle de la Centrafrique, n’a guère hésité à mettre en marche son plan diabolique contre le peuple de la Centrafrique.
Djotodia doit partir lui et son gouvernement. Pour une fois dans la vie unissons-nous dans le dessein de botter le cul de DJOTODIA et ses Mercenaires TCHADIENS ET SOUDANAIS hors de notre pays. C’est une question d’intérêt national et de l’intégrité territoriale. Djotodia et les seleka seront prêts à supporter les conséquences de leurs actes depuis 24/mars 2013.
Djotodia doit partir lui et son gouvernement. Pour une fois dans la vie unissons-nous dans le dessein de botter le cul de DJOTODIA et ses Mercenaires TCHADIENS ET SOUDANAIS hors de notre pays. C’est une question d’intérêt national et de l’intégrité territoriale. Djotodia et les seleka seront prêts à supporter les conséquences de leurs actes depuis 24/mars 2013.