Michel Djotodia a fait plus qu’ethniciser le pouvoir en Centrafrique .Michel Djotodia est allé trop loin dans sa médiocrité. Dans tout cela, le grand mal se situe au niveau de la population qui ne dort plus à cause notamment de « l’Escadron de la mort », un groupe de soldats acquis à la cause des chefs de guerres Darfouriens, qui continue de faire des ravages à Bangui et dans plusieurs villes et villages de l’intérieur, sous le contrôle des soi-disant les bandes de criminelles de la seleka.
A ce jour, le nombre de personnes tuées par les hommes de Djotodia et de son ami le Boucher de Boy rabe Nouradime Adam dépasse largement des milliers. Des miliciens venus du Tchad et du Soudan se livrent à cœur joie au massacre des populations. Aussi, pour éviter une mort certaine de la part des éléments de la seleka, les populations Centrafricaines fuient leurs terroirs en grand nombre, à destination de la RDC, du Cameroun, du Congo, du Tchad, entre autres pays.
Quelque part, au vu des dernières évolutions, les démocrates africains sont inquiets et doutent même que la Communauté internationale puisse faire protéger les populations. Après plus de 8 mois de crise, la crainte des Centrafricains et des démocrates africains deviennent de plus en plus grande. A telle enseigne que les uns et les autres se demandent si la CEEAC, l’Union africaine, l’Union européenne, les Nations Unies et les grandes puissances (France et Etats-Unis, entre autres), ne se livrent pas à un double jeu concernant la Crise Centrafricaine ?
Sinon, comment comprendre qu’une petite minorité de personnes mal famées et n’ayant d’autre souci que de préserver leurs têtes (pour des crimes qu’elles ont eu à commettre depuis près de 8 mois) fassent leur loi dans le pays et restent toujours impunies ? En fait, le soutien à Michel Djotodia venant de ces gens-là n’est qu’une façon pour eux de retarder la machine judiciaire contre eux.
A ce jour, le nombre de personnes tuées par les hommes de Djotodia et de son ami le Boucher de Boy rabe Nouradime Adam dépasse largement des milliers. Des miliciens venus du Tchad et du Soudan se livrent à cœur joie au massacre des populations. Aussi, pour éviter une mort certaine de la part des éléments de la seleka, les populations Centrafricaines fuient leurs terroirs en grand nombre, à destination de la RDC, du Cameroun, du Congo, du Tchad, entre autres pays.
Quelque part, au vu des dernières évolutions, les démocrates africains sont inquiets et doutent même que la Communauté internationale puisse faire protéger les populations. Après plus de 8 mois de crise, la crainte des Centrafricains et des démocrates africains deviennent de plus en plus grande. A telle enseigne que les uns et les autres se demandent si la CEEAC, l’Union africaine, l’Union européenne, les Nations Unies et les grandes puissances (France et Etats-Unis, entre autres), ne se livrent pas à un double jeu concernant la Crise Centrafricaine ?
Sinon, comment comprendre qu’une petite minorité de personnes mal famées et n’ayant d’autre souci que de préserver leurs têtes (pour des crimes qu’elles ont eu à commettre depuis près de 8 mois) fassent leur loi dans le pays et restent toujours impunies ? En fait, le soutien à Michel Djotodia venant de ces gens-là n’est qu’une façon pour eux de retarder la machine judiciaire contre eux.
Djotodia Michel, Gazambety, Nouradime Adam, Moussa Assimeh, Daffane, Tiangaye et consorts savent qu’ils ont tous tué des innocents. C’est pourquoi ils sont tenus de faire allégeance à Michel Djotodia car si ce dernier tombe, eux aussi tomberont en même temps. En attendant, Michel Djotodia et son petit clan continuent de terroriser les populations Centrafricaines avec de nombreuses tueries. Il appartient donc désormais à l’union sacrée des centrafricains d’utiliser autre chose pour faire partir ce satanique Michel Djotodia à la tête de la Centrafrique.
Il appartient donc aux leaders actuels de la nouvelle génération et de la Diaspora en particulier , d’utiliser toutes les stratégies, sinon la force légitime, afin de faire en sorte que le peuple puisse être respecté en Centrafrique.
Il appartient donc aux leaders actuels de la nouvelle génération et de la Diaspora en particulier , d’utiliser toutes les stratégies, sinon la force légitime, afin de faire en sorte que le peuple puisse être respecté en Centrafrique.