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Centrafrique: Les rebelles de Séléka accusés de plus de 400 meurtres
koaci -
Les hommes de la rébellion Séléka seraient responsables de la mort de plus de 400 personnes en quatre mois selon le Fédération Internationale de la ligue des Droits de l’Homme(FIDH), d’après un rapport publié mercredi
Selon le rapport de l’enquête effectuée en Centrafrique du 4 au 13 juillet : “l'ensemble du territoire est toujours aux mains des éléments Séléka ,dirigé par des seigneurs de guerre centrafricains, tchadiens ou soudanais"
En effet après le coup d’État de mars dernier qui a précipité la chute de l’ex-président François Bozizé, les ex-rebelles du Séléka sont désormais les maîtres de Centrafrique, sans pouvoir pour autant parvenir à rétablir la sécurité autant dans la capitale Bangui que dans le reste du pays.
Les éléments du Séléka, dont le nombre est aujourd’hui estimé entre 15 et 20.000 hommes, continuent de commettre des exactions de toutes sortes sur les populations civiles : meurtres, viols, racket et incendies de villages, en toute impunité
La FIDH en appelle donc à la communauté internationale afin qu'elle adopte des sanctions contre les chefs de la Séléka, qu'elle s'engage à la mise en place d'une force internationale" et à désarmer les ex-rebelles; les nouvelles autorités de Bangui s’étant révélées incapables de rétablir l’ordre sur l’ensemble du territoire.
Nanita
Les hommes de la rébellion Séléka seraient responsables de la mort de plus de 400 personnes en quatre mois selon le Fédération Internationale de la ligue des Droits de l’Homme(FIDH), d’après un rapport publié mercredi
Selon le rapport de l’enquête effectuée en Centrafrique du 4 au 13 juillet : “l'ensemble du territoire est toujours aux mains des éléments Séléka ,dirigé par des seigneurs de guerre centrafricains, tchadiens ou soudanais"
En effet après le coup d’État de mars dernier qui a précipité la chute de l’ex-président François Bozizé, les ex-rebelles du Séléka sont désormais les maîtres de Centrafrique, sans pouvoir pour autant parvenir à rétablir la sécurité autant dans la capitale Bangui que dans le reste du pays.
Les éléments du Séléka, dont le nombre est aujourd’hui estimé entre 15 et 20.000 hommes, continuent de commettre des exactions de toutes sortes sur les populations civiles : meurtres, viols, racket et incendies de villages, en toute impunité
La FIDH en appelle donc à la communauté internationale afin qu'elle adopte des sanctions contre les chefs de la Séléka, qu'elle s'engage à la mise en place d'une force internationale" et à désarmer les ex-rebelles; les nouvelles autorités de Bangui s’étant révélées incapables de rétablir l’ordre sur l’ensemble du territoire.
Nanita
