A vrai dire, la Cour pénale internationale doit demander l'arrestation d'un chef de criminel appelé seleka, qui brille par les violences, meurtres, assassinant et règlements de compte, déplacés, situation sanitaire précaire, la Centrafrique s'enfonce dans une crise à grande échelle. Le Chef de milice Michel Djotodia est accusé de crimes de guerre et de crimes contre l'humanité en Centrafrique. Michel va être jugé pour plusieurs chefs d’accusations.
Michel Djotodia serait poursuivi et l'accusation de génocide en revanche serait retenue contre le général l’usurpateur de la nationalité Centrafricaine Nourradim ADAM .Le dirigeant islamiste Michel Djotodia, qui ne reconnaît ni la CPI, ni ses décisions, a aussitôt dénoncé ce mandat, comme faisant partie d'un plan «néocolonialiste ».
Quant aux patriotes Centrafricains, ils se sont félicités de cette nouvelle pour le pays.
Michel Djotodia doit être destitué et arrêté puis, sera jugé avec autres responsables et membres de la seleka pour "incitation au meurtre et à la violence.
La Centrafrique n’en finit pas avec cette tragédie. Ce qu’on croyait être un point d’orgue de l’horreur, le génocide Centrafricain et ses 4000 morts, n’était qu’un moment d’une tragédie qui refuse obstinément de quitter la scène. Chaque jour allonge la liste des victimes, si banalement qu’on perd conscience de la signification des chiffres : qui se soucie des 5 milles morts probables ? Le pouvoir seleka en a magistralement joué : l’énormité des massacres.. Tout a été fait, avec la complicité active du Tchad et Soudan, pour masquer ou minimiser les massacres des paisibles populations. Toute velléité d’opposition est muselée au prétexte qu’elle ne peut être que l’émanation de "forces négatives». L’agonie quotidienne des populations civiles ne fait pas image, à la différence des enfants-soldats dans les combats de Monrovia.
Michel Djotodia serait poursuivi et l'accusation de génocide en revanche serait retenue contre le général l’usurpateur de la nationalité Centrafricaine Nourradim ADAM .Le dirigeant islamiste Michel Djotodia, qui ne reconnaît ni la CPI, ni ses décisions, a aussitôt dénoncé ce mandat, comme faisant partie d'un plan «néocolonialiste ».
Quant aux patriotes Centrafricains, ils se sont félicités de cette nouvelle pour le pays.
Michel Djotodia doit être destitué et arrêté puis, sera jugé avec autres responsables et membres de la seleka pour "incitation au meurtre et à la violence.
La Centrafrique n’en finit pas avec cette tragédie. Ce qu’on croyait être un point d’orgue de l’horreur, le génocide Centrafricain et ses 4000 morts, n’était qu’un moment d’une tragédie qui refuse obstinément de quitter la scène. Chaque jour allonge la liste des victimes, si banalement qu’on perd conscience de la signification des chiffres : qui se soucie des 5 milles morts probables ? Le pouvoir seleka en a magistralement joué : l’énormité des massacres.. Tout a été fait, avec la complicité active du Tchad et Soudan, pour masquer ou minimiser les massacres des paisibles populations. Toute velléité d’opposition est muselée au prétexte qu’elle ne peut être que l’émanation de "forces négatives». L’agonie quotidienne des populations civiles ne fait pas image, à la différence des enfants-soldats dans les combats de Monrovia.
Ces groupes criminels sont renforcés par les anciens réfugiés islamistes et certains jeunes issus de leur communauté identique, installés depuis longtemps ou sont nés en RCA. Ceux-ci sont complices et servent souvent des agents de renseignements et indicateurs à ces derniers. Centrafricains, voyons le danger en face, Djotodia l’homme à abattre pour que la paix revienne en Centrafrique. Aujourd'hui, ces criminelles de la seleka sèment la terreur en Centrafrique, nos compatriotes dans les localités conquises sont en débandades partout dans la brousse, torturés et tués, ils pourrissent dans la nature comme des animaux à la merci des vautours. Dans certains villages et villes des maisons sont calcinées, les corps enterrés par leurs bourreaux dans les fosses communes pour dissimuler les traces.
DEMISSION DE MICHEL DJOTODIA =PAIX EN CENTRAFRIQUE
DEMISSION DE MICHEL DJOTODIA =PAIX EN CENTRAFRIQUE
simon koitoua