En effet, Nourredine Adam semble manœuvrer pour revenir aux affaires, seul ou dans la poche de son mentor Michel Djotodia. Il pourrait se lancer dans une aventure militaire pour reconquérir du pouvoir et une mangeoire à la mesure de ses appétits. Ses actions passées, et le sang encore frais sur ses mains, font aujourd’hui craindre la réapparition d’une guérilla violente s’appuyant sur un discours terroristes extrémiste. Ses relations connues avec les mouvances Djihadistes qu’il a créé et entretenu lors de ses séjours à l’étranger sont loin d’atténuer ce constat effrayant.
L’homme est bien un manipulateur notoire, qui rend compte à ses amis de Boko Haram, et n’en est pas à son coup d’essai. Cette manœuvre en cours de nourredine ADAMfait également peser la menace d’une partition de la Centrafrique qui serait alors amputée de sa partie Nord et Est, riche en diamant, or et pétrole.
Face à cette menace, un espoir subsiste : La poursuite du combat par la voie politique et le dialogue. C’est ce qu’ont choisi la plupart des mouvements AB et ex-séléka. Le FPRC ferait bien de s’en inspirer et d’en faire autant. La violence et les armes ne sont pas la solution, le salut pour notre beau pays centrafricain est bien dans le dialogue. C’est pourquoi, quiconque apporterait à Nourredine Adamle soutien financier qu’il recherche pour payer des combattants et des armes, se verrait accusé de complicité. Il y perdrait beaucoup et causerait beaucoup de tort, pour lui, pour sa famille et surtout pour notre pays.
BK
L’homme est bien un manipulateur notoire, qui rend compte à ses amis de Boko Haram, et n’en est pas à son coup d’essai. Cette manœuvre en cours de nourredine ADAMfait également peser la menace d’une partition de la Centrafrique qui serait alors amputée de sa partie Nord et Est, riche en diamant, or et pétrole.
Face à cette menace, un espoir subsiste : La poursuite du combat par la voie politique et le dialogue. C’est ce qu’ont choisi la plupart des mouvements AB et ex-séléka. Le FPRC ferait bien de s’en inspirer et d’en faire autant. La violence et les armes ne sont pas la solution, le salut pour notre beau pays centrafricain est bien dans le dialogue. C’est pourquoi, quiconque apporterait à Nourredine Adamle soutien financier qu’il recherche pour payer des combattants et des armes, se verrait accusé de complicité. Il y perdrait beaucoup et causerait beaucoup de tort, pour lui, pour sa famille et surtout pour notre pays.
BK