La négation du droit à la vie humaine constitue un trouble neuropsychiatrique qui est l’émanation d’une souffrance en soi et se traduit souvent par une tragédie humaine. Sur la Centrafrique, souffle un vent apocalyptique nauséabond de désolation planétaire humaine antipathique ou l’homme devient un loup pour son semblable. Une scène satyrique surréaliste qui plante son décor sur une terre qui jadis symbolise un exemple de symbiose sociétale. On se croirait dans une mise en scène avec de lugubres personnages qui s’illustrent dans une interaction de nature à provoquer une émotion de pitié, de terreur ou voir même d’autosatisfaction dans l’attitude égotique des acteurs qui pour un temps furtif de démence, ils croient être le propriétaire de tout ce qui est viable. La réalité de la scène que chacun souhaiterait la voir se transformer en rêve nous laisse perplexe. Comment on en est arrivé à ce stade !
Au vu et au su de toute la communauté internationale, la Centrafrique est livrée à des criminels. Pourquoi intervenir maintenant en laissant pourrir volontairement la situation pendant qu’il était encore temps et ensuite maintenant, pour encore trainer les pieds ? C’est une colère justifiée et nous demandons des comptes. Que toute la lumière soit faite.
Pendant que la Centrafrique est transformée en une boucherie humaine, comme à l’accoutumée, nous constatons d’une manière hallucinante l’absence de la totalité de la classe politique centrafricaine. Au moment où le peuple les attend, ils font sourds d’oreille pour n’apparaitre que quand le calme sera revenu. Le peuple centrafricain aurait bien voulu les entendre lancer des appels au calme au moment où la population était en débandade et ne savait pas ce qui se passait. Leur présence allait recadrer les choses pour rassurer la population et les orienter. Beaucoup des centrafricains ont perdu la vie juste parce qu’ils ne savaient pas quoi faire, ni où aller, couraient dans tous les sens et se font rattraper par des balles perdues.
Trouvez-vous normal que le premier ministre même à distance n’a eu aucun égard par des messages à la Nation centrafricaine pour les calmer et les rassurer ?
Pendant ce temps que font la CNT et ses membres ? Ce carton vide doit-il continuer à faire semblant de jouer un rôle premier dans le processus de la transition de la honte ? Cette fourre tout qui n’existe que pour remplir un vide constitutionnel et dont les membres ont cautionné par applaudissement la nomination du président de la transition sans remords ni conscience. De là, ils ont apporté leur caution à la Séléka dans leur sale besogne.
J’ai souligné dans un précédent post que la Centrafrique est agressée par deux coalitions qui ont minutieusement formé une organisation criminelle en association des malfaiteurs : Il s’agit de la coalition Séléka, pilotée par le chef rebelle Michel Ndjotodia et la coalition du FARE (le Front d’Annulation pour la Reprise des Elections de 2011) pilotée Nicolas Tchangai. Un mariage d’intérêt égotique indigeste contre nature d’une structure dite démocratique coalisée avec une organisation criminelle suscite une profonde réflexion. Une problématique que toute la classe politique centrafricaine confondue doit apporter un éclairage succinct à ce triste état de chose.
La Centrafrique par le billais de la population qui souffre va prendre une résolution nationale très forte contre tous ceux qui ont apporté de près ou de loin leur contribution à la décadence de ce pays. Pour se faire, tout doit être remis à plat. Une crise politique est la seule solution de repartir sur de bonne base.
POUR NAITRE DE NOUVEAU, LA CENTRAFRIQUE DOIT TOUT RECOMMENCER. Il est important DE BALAYER LE PASSE, DE DEBLAYER LES GRAVATS, un travail minutieux qui prendra le temps que ca prendra. Mais seulement, il faut savoir de quel coté se placer.
Le moment est très précieux, la Centrafrique se veut ambitieuse. Il ne faudra pas après vivre avec des accusations en versant de l’arme de crocodile une fois que la révolution populaire naitra. Vous êtes avertis. Ça ira très vite. Et s’il y a encore des hommes intègrent qui ont à cœur de voir la Centrafrique repartir dans une autre direction, sur une nouvelle base et pour favoriser une vraie transition, il est important que chacun prenne sa responsabilité, des membres du CNT aux membres du gouvernement :
* La démission en masse des membres du CNT
* La démission en masse des membres du gouvernement
* Que les candidats aux élections présidentielles puissent surseoir un tant soit peu sur leur élections et se retrouver dans un collectif pour combler le vide politique
* Que les blouses noires de la Centrafrique, les vaillants avocats se réunissent dans un collectif pour déclencher ZAZI - ZERO ARMISTICE, ZERO IMPUNITE.
La solution à la crise centrafricaine doit être centrafricaine. Nicolas Tchangai et Michel Ndjotodia ne sont pas à la hauteur de l’enjeu. Leur façon singulière de gouverner est de demander que la solution soit prônée ailleurs et leur dicter (Nous comptons sur la France et la communauté internationale, La France doit…. Sans pour autant commencer par prendre des mesures avant de demander l’intervention extérieure).
Que le peuple centrafricain tout entier s’inscrit dans « ZAZI » ZERO ARMISTICE, ZERO IMPUNITE.
Que le Seigneur Tout Puissant protège la Centrafrique.
Jean-Gualbert TOGBA
Email : togba.jean@yahoo.fr
Au vu et au su de toute la communauté internationale, la Centrafrique est livrée à des criminels. Pourquoi intervenir maintenant en laissant pourrir volontairement la situation pendant qu’il était encore temps et ensuite maintenant, pour encore trainer les pieds ? C’est une colère justifiée et nous demandons des comptes. Que toute la lumière soit faite.
Pendant que la Centrafrique est transformée en une boucherie humaine, comme à l’accoutumée, nous constatons d’une manière hallucinante l’absence de la totalité de la classe politique centrafricaine. Au moment où le peuple les attend, ils font sourds d’oreille pour n’apparaitre que quand le calme sera revenu. Le peuple centrafricain aurait bien voulu les entendre lancer des appels au calme au moment où la population était en débandade et ne savait pas ce qui se passait. Leur présence allait recadrer les choses pour rassurer la population et les orienter. Beaucoup des centrafricains ont perdu la vie juste parce qu’ils ne savaient pas quoi faire, ni où aller, couraient dans tous les sens et se font rattraper par des balles perdues.
Trouvez-vous normal que le premier ministre même à distance n’a eu aucun égard par des messages à la Nation centrafricaine pour les calmer et les rassurer ?
Pendant ce temps que font la CNT et ses membres ? Ce carton vide doit-il continuer à faire semblant de jouer un rôle premier dans le processus de la transition de la honte ? Cette fourre tout qui n’existe que pour remplir un vide constitutionnel et dont les membres ont cautionné par applaudissement la nomination du président de la transition sans remords ni conscience. De là, ils ont apporté leur caution à la Séléka dans leur sale besogne.
J’ai souligné dans un précédent post que la Centrafrique est agressée par deux coalitions qui ont minutieusement formé une organisation criminelle en association des malfaiteurs : Il s’agit de la coalition Séléka, pilotée par le chef rebelle Michel Ndjotodia et la coalition du FARE (le Front d’Annulation pour la Reprise des Elections de 2011) pilotée Nicolas Tchangai. Un mariage d’intérêt égotique indigeste contre nature d’une structure dite démocratique coalisée avec une organisation criminelle suscite une profonde réflexion. Une problématique que toute la classe politique centrafricaine confondue doit apporter un éclairage succinct à ce triste état de chose.
La Centrafrique par le billais de la population qui souffre va prendre une résolution nationale très forte contre tous ceux qui ont apporté de près ou de loin leur contribution à la décadence de ce pays. Pour se faire, tout doit être remis à plat. Une crise politique est la seule solution de repartir sur de bonne base.
POUR NAITRE DE NOUVEAU, LA CENTRAFRIQUE DOIT TOUT RECOMMENCER. Il est important DE BALAYER LE PASSE, DE DEBLAYER LES GRAVATS, un travail minutieux qui prendra le temps que ca prendra. Mais seulement, il faut savoir de quel coté se placer.
Le moment est très précieux, la Centrafrique se veut ambitieuse. Il ne faudra pas après vivre avec des accusations en versant de l’arme de crocodile une fois que la révolution populaire naitra. Vous êtes avertis. Ça ira très vite. Et s’il y a encore des hommes intègrent qui ont à cœur de voir la Centrafrique repartir dans une autre direction, sur une nouvelle base et pour favoriser une vraie transition, il est important que chacun prenne sa responsabilité, des membres du CNT aux membres du gouvernement :
* La démission en masse des membres du CNT
* La démission en masse des membres du gouvernement
* Que les candidats aux élections présidentielles puissent surseoir un tant soit peu sur leur élections et se retrouver dans un collectif pour combler le vide politique
* Que les blouses noires de la Centrafrique, les vaillants avocats se réunissent dans un collectif pour déclencher ZAZI - ZERO ARMISTICE, ZERO IMPUNITE.
La solution à la crise centrafricaine doit être centrafricaine. Nicolas Tchangai et Michel Ndjotodia ne sont pas à la hauteur de l’enjeu. Leur façon singulière de gouverner est de demander que la solution soit prônée ailleurs et leur dicter (Nous comptons sur la France et la communauté internationale, La France doit…. Sans pour autant commencer par prendre des mesures avant de demander l’intervention extérieure).
Que le peuple centrafricain tout entier s’inscrit dans « ZAZI » ZERO ARMISTICE, ZERO IMPUNITE.
Que le Seigneur Tout Puissant protège la Centrafrique.
Jean-Gualbert TOGBA
Email : togba.jean@yahoo.fr