Devant la pusillanimité et la procrastination du Gouvernement TIANGAYE à résoudre les défis qui s'imposent au pays, la junte au pouvoir caracole à profusion dans ses convulsions acrimonieuses.Il n'est un secret de polichinelle pour personne que la Centrafrique périclite depuis l’avènement de la junte au pouvoir à une vitesse vertigineuse. Plusieurs événements factuels démontrent à suffisance la manière à laquelle le pays s'embrase davantage.Avec un marasme économique sans précédent, un tissu social complètement ébranlé et un avilissement pathétique de la population, il faut admettre que la Centrafrique vit un véritable puzzle auquel se greffe une barbarie désopilante des enturbannés.
Au regard d'une telle précarité socio-économique voire politique,quasiment tous les débatteurs centrafricains s'accordent à dire que les autorités de la transition présentent une fébrilité déclamatoire dans la gestion de la chose publique.Certains analystes estiment qu'elles n'ont pas les épaules assez larges pour sortir le pays de ce bourbier. D'autres pensent que le premier ministre n'a pas la carrure d'un véritable chef d'orchestre capable d'inverser la tendance.D'autres encore s'interrogent sur les interventions tonitruantes voire dotées d'une versatilité à géographie variable du premier ministre TIANGAYE.Une volte-face abracadabrante qui envenime indéniablement le processus de la transition encore instable.
En vue d'illustrer cette volte-face, les analystes mettent en exergue les différentes interviews du premier ministre sur les plateaux de télévisions étrangères.Des inteviews qui dévisagent avec dextérité la placidité de châtelain du premier ministre à qui on pourrait donner le bon Dieu sans conféssion. Une attitude sulfureuse qui donne quelques prurits d'interrogations sur l'issue de la trantion.De ces fourmillements de systèmes, quelles stratégies adoptées pour sortir la République Centrafricaine de cette impasse?Peut-être qu'un récadrage de la transition s'impose...Avec une feuille de route établie au burin et au fusain, une nouvelle équipe axée exclusivement sur la diversité provenant des différentes régions du pays, on pourrait ésperer une transition apaisée qui déboulerait sur les futures échéances électorales.
Encore faut'il sécuriser tout le pays,rédéployer l'administration centrafricaine sur toute l'étendue du territoire,redonner espoir à la population à travers un nouveau pacte social et créer un environnement sociétal propice pour le retour des déplacés (Jutice+réparation). Bien que le ministre des affaires étrangères de la France fasse un déplacement en Centrafrique et plaide pour une élection rapide en 2015, il faut admettre que le problème centrafricain
devra subir un traitement en profondeur entre les fils et les filles du pays.Toutefois,un parolier de la musique ivoirienne disait qu'il est temps que les politiques arrêtent de prendre le peuple en otage.
R.J.P. MAYTE
Chroniqueur, Polémiste
[email protected]
Au regard d'une telle précarité socio-économique voire politique,quasiment tous les débatteurs centrafricains s'accordent à dire que les autorités de la transition présentent une fébrilité déclamatoire dans la gestion de la chose publique.Certains analystes estiment qu'elles n'ont pas les épaules assez larges pour sortir le pays de ce bourbier. D'autres pensent que le premier ministre n'a pas la carrure d'un véritable chef d'orchestre capable d'inverser la tendance.D'autres encore s'interrogent sur les interventions tonitruantes voire dotées d'une versatilité à géographie variable du premier ministre TIANGAYE.Une volte-face abracadabrante qui envenime indéniablement le processus de la transition encore instable.
En vue d'illustrer cette volte-face, les analystes mettent en exergue les différentes interviews du premier ministre sur les plateaux de télévisions étrangères.Des inteviews qui dévisagent avec dextérité la placidité de châtelain du premier ministre à qui on pourrait donner le bon Dieu sans conféssion. Une attitude sulfureuse qui donne quelques prurits d'interrogations sur l'issue de la trantion.De ces fourmillements de systèmes, quelles stratégies adoptées pour sortir la République Centrafricaine de cette impasse?Peut-être qu'un récadrage de la transition s'impose...Avec une feuille de route établie au burin et au fusain, une nouvelle équipe axée exclusivement sur la diversité provenant des différentes régions du pays, on pourrait ésperer une transition apaisée qui déboulerait sur les futures échéances électorales.
Encore faut'il sécuriser tout le pays,rédéployer l'administration centrafricaine sur toute l'étendue du territoire,redonner espoir à la population à travers un nouveau pacte social et créer un environnement sociétal propice pour le retour des déplacés (Jutice+réparation). Bien que le ministre des affaires étrangères de la France fasse un déplacement en Centrafrique et plaide pour une élection rapide en 2015, il faut admettre que le problème centrafricain
devra subir un traitement en profondeur entre les fils et les filles du pays.Toutefois,un parolier de la musique ivoirienne disait qu'il est temps que les politiques arrêtent de prendre le peuple en otage.
R.J.P. MAYTE
Chroniqueur, Polémiste
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