Le choix de ces femmes, pur produit du monde de l'Islam, semble à priori incompréhensible pour une bonne partie des jeunes musulmans. Ces jeunes n'arrivent pas à saisir les motifs qui conduisent ces femmes à faire ce choix.
Pour eux, l'islamisme est le modèle politique et sociale qui respecte le plus l'identité de la femme et garantit le plus sa réussite et son bonheur que ça soit dans cette vie terrestre et la vie éternelle. Vu de cette manière, ils ne trouvent que deux explications aux choix de ces femmes : l'amour de l'argent ou l'amour de l'exhibitionnisme et les plaisirs charnels.
Mais pour Kamal Znidar, "écrivain marocain, auteur d'un livre et de nombreux articles sur l'Islam", ces jeunes se trompent entièrement dans leur compréhension des choix de ces femmes. Pour lui, "le problème de ces jeunes est qu'ils ignorent beaucoup de choses sur notre sale histoire".
"L'Islam, c'est vrai qu'il a valorisé et honoré la femme. Mais les musulmans l'ont malheureusement humilié et maltraité", affirme l'auteur du livre "Islam : meilleure religion au monde" et ajoute qu'"à l'époque de Muhammad (que le salut et la bénédiction d'Allah soient sur lui) et les califes bien-guidés (que Dieu les agrée), la femme avait un statut privilégié. Mais à la fin de cet âge d'or de l'islam politique, elle a été de nouveau avilie et salement exploitée".
"Avant la colonisation, les femmes, on les commercialisait aux souks partout au monde musulman. Des musulmans les achètent, les exploitent sexuellement une certaine période et après ils les vendent voire les échangent. Pour cela, des femmes de notre monde détestent à un point inimaginable l'islam politique et la culture arabe et préfèrent de très loin la laïcité et la culture occidentale. Pour elles, l'Occident est le sauveur qui les a libéré de l'esclavage. Cette perception est malheureusement juste. Sans cet Occident, les femmes seraient toujours esclavagées et leurs conditions de vie seraient toujours inhumaines", déplore-t-il.
Kamal Znidar croit que "nos femmes laïques n'ont pas choisi la laïcité par amour de l'exhibitionnisme et la liberté sexuelle comme ils avancent certains musulmans" et cite l'exemple de la plupart des femmes laïques qu'il a connu qui sont -selon lui- des femmes sérieuses, droites et bien-éduquées, des femmes mariées qui mènent leur vie sexuelle dans le halal et qui ont donné naissance à des enfants "modèles de la bonne éducation".
"Ces femmes, si elles ont choisi la laïcité, c'est parce qu'elles n'ont pas trouvé dans l'islamisme le respect de leur identité, leurs droits et leurs libertés" affirme-t-il tout en estimant qu'"elles sont devenues laïques à cause de ces pensées de la Djahiliya qui ont nuit à l'image de l'Islam et de l'islamisme, qui humilient la femme et la considèrent comme être qui manque de raison, une créature qui souffre d'un handicap mental 'un vice au niveau de cerveau' qui fait d'elle un être qui ne sert qu'aux taches ménagères et l'éducation des enfants".
Pour finir, l'écrivain marocain joute que "personne ne fuit les festivités du mariage ! Ces femmes si elles avaient trouvé dans l'islamisme le respect qu'elles méritent, elles seraient aujourd'hui islamistes et pas laïques".
Pour eux, l'islamisme est le modèle politique et sociale qui respecte le plus l'identité de la femme et garantit le plus sa réussite et son bonheur que ça soit dans cette vie terrestre et la vie éternelle. Vu de cette manière, ils ne trouvent que deux explications aux choix de ces femmes : l'amour de l'argent ou l'amour de l'exhibitionnisme et les plaisirs charnels.
Mais pour Kamal Znidar, "écrivain marocain, auteur d'un livre et de nombreux articles sur l'Islam", ces jeunes se trompent entièrement dans leur compréhension des choix de ces femmes. Pour lui, "le problème de ces jeunes est qu'ils ignorent beaucoup de choses sur notre sale histoire".
"L'Islam, c'est vrai qu'il a valorisé et honoré la femme. Mais les musulmans l'ont malheureusement humilié et maltraité", affirme l'auteur du livre "Islam : meilleure religion au monde" et ajoute qu'"à l'époque de Muhammad (que le salut et la bénédiction d'Allah soient sur lui) et les califes bien-guidés (que Dieu les agrée), la femme avait un statut privilégié. Mais à la fin de cet âge d'or de l'islam politique, elle a été de nouveau avilie et salement exploitée".
"Avant la colonisation, les femmes, on les commercialisait aux souks partout au monde musulman. Des musulmans les achètent, les exploitent sexuellement une certaine période et après ils les vendent voire les échangent. Pour cela, des femmes de notre monde détestent à un point inimaginable l'islam politique et la culture arabe et préfèrent de très loin la laïcité et la culture occidentale. Pour elles, l'Occident est le sauveur qui les a libéré de l'esclavage. Cette perception est malheureusement juste. Sans cet Occident, les femmes seraient toujours esclavagées et leurs conditions de vie seraient toujours inhumaines", déplore-t-il.
Kamal Znidar croit que "nos femmes laïques n'ont pas choisi la laïcité par amour de l'exhibitionnisme et la liberté sexuelle comme ils avancent certains musulmans" et cite l'exemple de la plupart des femmes laïques qu'il a connu qui sont -selon lui- des femmes sérieuses, droites et bien-éduquées, des femmes mariées qui mènent leur vie sexuelle dans le halal et qui ont donné naissance à des enfants "modèles de la bonne éducation".
"Ces femmes, si elles ont choisi la laïcité, c'est parce qu'elles n'ont pas trouvé dans l'islamisme le respect de leur identité, leurs droits et leurs libertés" affirme-t-il tout en estimant qu'"elles sont devenues laïques à cause de ces pensées de la Djahiliya qui ont nuit à l'image de l'Islam et de l'islamisme, qui humilient la femme et la considèrent comme être qui manque de raison, une créature qui souffre d'un handicap mental 'un vice au niveau de cerveau' qui fait d'elle un être qui ne sert qu'aux taches ménagères et l'éducation des enfants".
Pour finir, l'écrivain marocain joute que "personne ne fuit les festivités du mariage ! Ces femmes si elles avaient trouvé dans l'islamisme le respect qu'elles méritent, elles seraient aujourd'hui islamistes et pas laïques".