Après les différents échecs Kyoto, Copenhague, Durban ou Rio de Janeiro, la vingt-unième conférence de Paris apparaît, de l'avis de plusieurs observateurs, comme la réunion de la dernière chance pour tenter de sauver la planète en péril.
En effet, depuis plusieurs décennies, les scientifiques ont commencé à observer une augmentation anormale de la température sur la surface du globe, accompagnée d'une multiplication d'événements consécutifs aux conséquences dramatiques. Ils ont également observé que cette augmentation de température touche la quasi-totalité des secteurs vitaux telles que: la diversité biologique, les activités économiques, les ressources végétales et animales, la sécurité alimentaires, et même les ressources en eau.
Aujourd'hui encore, tous les experts sont unanimes pour admettre que la cause essentielle du changement climatique qui, par ailleurs a déjà fait l'objet de plusieurs débats, est l'émission croissante des gaz à effet de serre sur la surface du globe. Un défi planétaire majeur qui nécessite un ressaisissement et des actions concrètes de la part des gouvernements de tous les pays, pollueurs ou pas. C'est peut être le sens véritable de cette conférence mondiale de Paris réunissant, dans moins de 24 heures, les chefs d'Etat et de gouvernement de 147 pays qui plancheront sur des actions à entreprendre pour limiter l'ampleur du phénomène.
A la tête d'une forte délégation, le président Denis Sassou N'Guesso qui a fait le déplacement de Paris, profiterait certainement de cette tribune pour rappeler à la face du monde, le combat engagé par son pays, depuis de longue date, pour la préservation de la nature et ses écosystèmes. Le Congo, malgré le fait que la forêt primaire couvre les deux tiers de l'étendue du territoire, ne cesse d'aménager des parcs animaliers et des unités de réserves forestières. A cette conférence de Paris, le pays s'attendra, indubitablement, à une reconnaissance de la communauté internationale pour les efforts consentis quant à la préservation de ses forêts, mais aussi de sa biodiversité.
De plus, pour améliorer son empreinte écologique, le Congo a mis en œuvre le programme national d'afforestation et de reboisement (PRONAR) dont la finalité est de réaliser le planting d'un million d'hectares de forêt artificielle en dix ans, une opération pour accroître le domaine forestier congolais. Pourtant, son couvert représente plus de 11% de forêts vierges du Bassin du Congo, l'un des derniers "poumons verts" de la planète qui, si l'ont y prend garde, pourrait être menacé par l'activité humaine. Le cas des forêts Amazoniennes et Indonésiennes en sont des parfaites illustrations et des exemples patents.
L'enjeu de la vingt-unième conférence sur le changement climatique est crucial, puisque son objectif est d'aboutir à un accord international contraignant. Il vise également à limiter les émissions planétaires de gaz à effet de serre, de manière à demeurer de 450 ppm (parties par million), considérées comme seuil déterminant à ne pas dépasser les 2°C d'augmentation des températures.
En attendant l'ouverture de cette conférence, l'humanité retient son souffle et espère que les questions du financement et du fonctionnement des mécanismes destinés à atténuer la destruction des écosystèmes forestiers, feront l'objet d'âpres négociations au cours des débats à cette COP21.
En effet, depuis plusieurs décennies, les scientifiques ont commencé à observer une augmentation anormale de la température sur la surface du globe, accompagnée d'une multiplication d'événements consécutifs aux conséquences dramatiques. Ils ont également observé que cette augmentation de température touche la quasi-totalité des secteurs vitaux telles que: la diversité biologique, les activités économiques, les ressources végétales et animales, la sécurité alimentaires, et même les ressources en eau.
Aujourd'hui encore, tous les experts sont unanimes pour admettre que la cause essentielle du changement climatique qui, par ailleurs a déjà fait l'objet de plusieurs débats, est l'émission croissante des gaz à effet de serre sur la surface du globe. Un défi planétaire majeur qui nécessite un ressaisissement et des actions concrètes de la part des gouvernements de tous les pays, pollueurs ou pas. C'est peut être le sens véritable de cette conférence mondiale de Paris réunissant, dans moins de 24 heures, les chefs d'Etat et de gouvernement de 147 pays qui plancheront sur des actions à entreprendre pour limiter l'ampleur du phénomène.
A la tête d'une forte délégation, le président Denis Sassou N'Guesso qui a fait le déplacement de Paris, profiterait certainement de cette tribune pour rappeler à la face du monde, le combat engagé par son pays, depuis de longue date, pour la préservation de la nature et ses écosystèmes. Le Congo, malgré le fait que la forêt primaire couvre les deux tiers de l'étendue du territoire, ne cesse d'aménager des parcs animaliers et des unités de réserves forestières. A cette conférence de Paris, le pays s'attendra, indubitablement, à une reconnaissance de la communauté internationale pour les efforts consentis quant à la préservation de ses forêts, mais aussi de sa biodiversité.
De plus, pour améliorer son empreinte écologique, le Congo a mis en œuvre le programme national d'afforestation et de reboisement (PRONAR) dont la finalité est de réaliser le planting d'un million d'hectares de forêt artificielle en dix ans, une opération pour accroître le domaine forestier congolais. Pourtant, son couvert représente plus de 11% de forêts vierges du Bassin du Congo, l'un des derniers "poumons verts" de la planète qui, si l'ont y prend garde, pourrait être menacé par l'activité humaine. Le cas des forêts Amazoniennes et Indonésiennes en sont des parfaites illustrations et des exemples patents.
L'enjeu de la vingt-unième conférence sur le changement climatique est crucial, puisque son objectif est d'aboutir à un accord international contraignant. Il vise également à limiter les émissions planétaires de gaz à effet de serre, de manière à demeurer de 450 ppm (parties par million), considérées comme seuil déterminant à ne pas dépasser les 2°C d'augmentation des températures.
En attendant l'ouverture de cette conférence, l'humanité retient son souffle et espère que les questions du financement et du fonctionnement des mécanismes destinés à atténuer la destruction des écosystèmes forestiers, feront l'objet d'âpres négociations au cours des débats à cette COP21.