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Gouandjika est un mythomane, donc un malade. Après avoir annoncé et remercié Bilal Kolingba et Martin Ziguélé pour leur soutien, pour leur ralliement à son "petit" Touadéra, voici le même Fidèle Gouandjika qui par un coup de bâton magique vient d'effacer toute une page de l'histoire récente de la RCA sur sa tribune facebook. Ou c'est un menteur, un affabulateur, un mythomane, un trop-plein de candidat de seconde zone. Le CPR a le droit de sérieusement s'inquiéter du manquement de la Cour Constitutionnelle qui a retenu la candidature de Fidèle Gouandjika malgré un certificat médical incompatible avec la fonction de Président. La conséquence c'est mon collègue, l'Archange qui en hérite.
En tout cas cher collègue Touadéra, ton grand-frère Gouandjika avec cette mainmise affichée, compromet gravement à tes chances et même à ta vie. En politique, la trahison suprême ne peut venir que de côté insoupçonnable mais soupçonnable par le CPR puisque Gouandjika s'est porté candidat aux présidentielles. Cela veut dire que son ambition ne s'arrête pas à ce soutien au "petiot", surtout qu'il n'a pas de rétroviseur. Il s'agit d'un pays et non une histoire de famille, de tribu, de clan Ngbaka-Mandja.
Le silence de tous les ralliés sans discernement dès l'annonce de leur défaite est un très mauvais présage. Personne ne veut se mouiller. Gouandjika pas plus que les autres ne présentent pas ton non-programme. Seul ce dernier devant son tonneau de gbôngô, pattes de bœuf roumain, se livre à de la diversion, à de la désinformation pour brouiller les centrafricains, tout en se mettant lui-même en avant comme si c'était lui qui avait les 19,36% des voix, mais pas ses maigres 3%. Gouandjika prépare déjà sa nouvelle candidature sur le dos de mon collègue Touadéra, peut-être avant les 5ans constitutionnels.
Le CPR y veille. A noter avec force, expérience et constat que ces déboutés aux urnes estiment à tord ou à raison que le candidat indépendant Touadéra, dépendant de Fidèle Gouandjika, est facilement manipulable et donc facilement éjectable.
Quand au ralliement de Ziguélé au candidat Touadéra, évoqué par le même mythomane Gouandjika, est une très bonne nouvelle mais pas un cadeau encombrant...malgré les remerciements gloutons de Gouandjika. N'est-ce pas que c'est Ziguélé et ses Selekas qui ont destitué le "petit" Touadéra de son poste de premier ministre sous François Bozizé! Ce premier ministre pas du tout révoqué par le Président Bozizé. En outre son décret de nomination n'a toujours pas été rapporté ni par Djotodia, ni par Mme Samba-Panza.
Franchement le candidat du MLPC, personne n'en veut sauf Gouandjika . Laissons Gouandjika et Ziguélé végéter avec les esprits des fantômes de tous nos proches, victimes des Selekas, de Djotodia et de Ziguélé. Après Patassé, le second poignard du gladiateur Ziguélé annoncé à tord ou à raison par le mythomane.
Bref, le grand mal centrafricain d'aujourd'hui s'appelle Fidèle Gouandjika qui développe sa culture Rom, de Dracula-centrafricain contre les musulmans. Mort de rires, le même Gouandjika a aussi annoncé le ralliement de son haoussa national Meckassoua, donc...à suivre. Les cadres centrafricains, les centrafricains de la diaspora (Cameroun, Tchad, France, Côte-d'Ivoire, Maroc, Algérie, Tunisie, Sénégal, Bénin, Togo, Canada, USA de Jean Kalimsi, etc...) savent déjà à quelle sauce ils seront négligés avec ces dinosaures qui veulent prendre en otage le candidat Touadéra.
Pour un Renouveau, que le Congrès Centrafricain pour le Progrès et le Renouveau (CCPR, association) sollicite de tous ses vœux, les deux candidats finalistes visiblement embarqués dans une démarche d'exclusion de la majorité des centrafricains, sont appelés à revoir leur position respective. Les trop-plein comme dirait Serge Bokassa, l'équipe des anciens, les mêmes qui se forment autour de Touadéra, tout ceci n'a rien de reluisant. La République Centrafricaine appartient à tous les centrafricains. L'occasion est donc donné à l'URCA pour démontrer sa capacité de Rénovation et donc de faire maintenant des propositions concrètes. La balle est dans le camp de Dologuélé, pas du tout encore encombré. Si l'égoïsme, le manque d'ambition pour la RCA caractérisent nos hommes politiques, le verdict ne saura tarder, et peut-être au bout du bulletin de vote ou au bout de fusil...un éternel recommencement. Maintenant que la France de François Hollande a annoncé son dégoût, son retrait, sans penser aux centrafricains nés entre décembre 2013 et janvier 2016, et prénommés Hollande, Modiba, Mandela, ces centrafricains-là seront vus comme les De Gaulle, Giscard, les Pompidou-centrafricains. Maintenant que les politiques centrafricains semblent oublier que la République Centrafricaine est élue dans la miséricorde avant l'heure par le Pape, le mal est profond. L'année 2016 proclamée en Centrafrique comme année de Miséricorde, le Pape lui-même et tous les Ecclésiastiques comprendront que rien n'a changé. Peine perdue? Un peuple damné?
Dr Félix Yandia, président du CPR, le 07/02/2016
En tout cas cher collègue Touadéra, ton grand-frère Gouandjika avec cette mainmise affichée, compromet gravement à tes chances et même à ta vie. En politique, la trahison suprême ne peut venir que de côté insoupçonnable mais soupçonnable par le CPR puisque Gouandjika s'est porté candidat aux présidentielles. Cela veut dire que son ambition ne s'arrête pas à ce soutien au "petiot", surtout qu'il n'a pas de rétroviseur. Il s'agit d'un pays et non une histoire de famille, de tribu, de clan Ngbaka-Mandja.
Le silence de tous les ralliés sans discernement dès l'annonce de leur défaite est un très mauvais présage. Personne ne veut se mouiller. Gouandjika pas plus que les autres ne présentent pas ton non-programme. Seul ce dernier devant son tonneau de gbôngô, pattes de bœuf roumain, se livre à de la diversion, à de la désinformation pour brouiller les centrafricains, tout en se mettant lui-même en avant comme si c'était lui qui avait les 19,36% des voix, mais pas ses maigres 3%. Gouandjika prépare déjà sa nouvelle candidature sur le dos de mon collègue Touadéra, peut-être avant les 5ans constitutionnels.
Le CPR y veille. A noter avec force, expérience et constat que ces déboutés aux urnes estiment à tord ou à raison que le candidat indépendant Touadéra, dépendant de Fidèle Gouandjika, est facilement manipulable et donc facilement éjectable.
Quand au ralliement de Ziguélé au candidat Touadéra, évoqué par le même mythomane Gouandjika, est une très bonne nouvelle mais pas un cadeau encombrant...malgré les remerciements gloutons de Gouandjika. N'est-ce pas que c'est Ziguélé et ses Selekas qui ont destitué le "petit" Touadéra de son poste de premier ministre sous François Bozizé! Ce premier ministre pas du tout révoqué par le Président Bozizé. En outre son décret de nomination n'a toujours pas été rapporté ni par Djotodia, ni par Mme Samba-Panza.
Franchement le candidat du MLPC, personne n'en veut sauf Gouandjika . Laissons Gouandjika et Ziguélé végéter avec les esprits des fantômes de tous nos proches, victimes des Selekas, de Djotodia et de Ziguélé. Après Patassé, le second poignard du gladiateur Ziguélé annoncé à tord ou à raison par le mythomane.
Bref, le grand mal centrafricain d'aujourd'hui s'appelle Fidèle Gouandjika qui développe sa culture Rom, de Dracula-centrafricain contre les musulmans. Mort de rires, le même Gouandjika a aussi annoncé le ralliement de son haoussa national Meckassoua, donc...à suivre. Les cadres centrafricains, les centrafricains de la diaspora (Cameroun, Tchad, France, Côte-d'Ivoire, Maroc, Algérie, Tunisie, Sénégal, Bénin, Togo, Canada, USA de Jean Kalimsi, etc...) savent déjà à quelle sauce ils seront négligés avec ces dinosaures qui veulent prendre en otage le candidat Touadéra.
Pour un Renouveau, que le Congrès Centrafricain pour le Progrès et le Renouveau (CCPR, association) sollicite de tous ses vœux, les deux candidats finalistes visiblement embarqués dans une démarche d'exclusion de la majorité des centrafricains, sont appelés à revoir leur position respective. Les trop-plein comme dirait Serge Bokassa, l'équipe des anciens, les mêmes qui se forment autour de Touadéra, tout ceci n'a rien de reluisant. La République Centrafricaine appartient à tous les centrafricains. L'occasion est donc donné à l'URCA pour démontrer sa capacité de Rénovation et donc de faire maintenant des propositions concrètes. La balle est dans le camp de Dologuélé, pas du tout encore encombré. Si l'égoïsme, le manque d'ambition pour la RCA caractérisent nos hommes politiques, le verdict ne saura tarder, et peut-être au bout du bulletin de vote ou au bout de fusil...un éternel recommencement. Maintenant que la France de François Hollande a annoncé son dégoût, son retrait, sans penser aux centrafricains nés entre décembre 2013 et janvier 2016, et prénommés Hollande, Modiba, Mandela, ces centrafricains-là seront vus comme les De Gaulle, Giscard, les Pompidou-centrafricains. Maintenant que les politiques centrafricains semblent oublier que la République Centrafricaine est élue dans la miséricorde avant l'heure par le Pape, le mal est profond. L'année 2016 proclamée en Centrafrique comme année de Miséricorde, le Pape lui-même et tous les Ecclésiastiques comprendront que rien n'a changé. Peine perdue? Un peuple damné?
Dr Félix Yandia, président du CPR, le 07/02/2016