À en croire les révélations d’un quotidien suisse qui cite des sources sécuritaires, reprise par l’agence de presse Sputnik, ce fameux projet d’assassinat impliquait certaines personnalités de l’opposition congolaise, un sulfureux homme d’affaires français basé à Genève et un pays de la Cémac partageant ses frontières avec le Congo. Les deux médias, évoquant les nécessités d’une enquête qui serait en cours n’ont pas donné des précisions sur l’identité des commanditaires de cet assassinat encore moins les noms des bras armés chargés d’appuyer sur la gâchette.
Toujours d’après le quotidien suisse, les services de contre-espionnage français, informés par leurs homologues helvétiques, avaient décidé, contre toute attente, de détourner le regard et de laisser prospérer ce funeste projet. À quel dessein ? Nul ne le sait. Aussi, selon nos sources, n’ont-ils pas jugé utile d’informer les services congolais, pays ami avec lequel la France entretient des relations commerciales, sur l’imminence du danger.
Par ailleurs, l’agence Sputnik croit savoir que le couple de mercenaires, un Anglais d’origine sud-africaine et une Canadienne d’origine russe se faisant passer pour des anthropologues, recruté par les commanditaires de cette tentative d’assassinat serait actuellement sous les verrous en Angleterre pour une affaire de fraudes fiscales. La police anglaise aurait constaté des mouvements suspects de fonds sur les comptes bancaires du couple qui bénéficiait des allocations chômages sans que cela ne soit déclaré.
Rappelons que l’activité de mercenaire est strictement interdite en France. Et lorsqu’elle implique un ressortissant français, la France se devait d’avoir une réaction vigoureuse comme par exemple l’ouverture d’une enquête judiciaire afin de faire toute la lumière sur les tenants et les aboutissants dudit projet criminel. Pourquoi ne l’a-t-elle pas fait ? Qu’espérait-elle au finish ? L’on est en droit de s’interroger.
Il est donc permis de penser que l’animosité de certains membres de l’équipe Hollande à l’égard du régime de Brazzaville peut expliquer cette attitude. Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’ils ont laissé faire en espérant se débarrasser d’un chef d’État devenu gênant à leurs yeux.
Toujours d’après le quotidien suisse, les services de contre-espionnage français, informés par leurs homologues helvétiques, avaient décidé, contre toute attente, de détourner le regard et de laisser prospérer ce funeste projet. À quel dessein ? Nul ne le sait. Aussi, selon nos sources, n’ont-ils pas jugé utile d’informer les services congolais, pays ami avec lequel la France entretient des relations commerciales, sur l’imminence du danger.
Par ailleurs, l’agence Sputnik croit savoir que le couple de mercenaires, un Anglais d’origine sud-africaine et une Canadienne d’origine russe se faisant passer pour des anthropologues, recruté par les commanditaires de cette tentative d’assassinat serait actuellement sous les verrous en Angleterre pour une affaire de fraudes fiscales. La police anglaise aurait constaté des mouvements suspects de fonds sur les comptes bancaires du couple qui bénéficiait des allocations chômages sans que cela ne soit déclaré.
Rappelons que l’activité de mercenaire est strictement interdite en France. Et lorsqu’elle implique un ressortissant français, la France se devait d’avoir une réaction vigoureuse comme par exemple l’ouverture d’une enquête judiciaire afin de faire toute la lumière sur les tenants et les aboutissants dudit projet criminel. Pourquoi ne l’a-t-elle pas fait ? Qu’espérait-elle au finish ? L’on est en droit de s’interroger.
Il est donc permis de penser que l’animosité de certains membres de l’équipe Hollande à l’égard du régime de Brazzaville peut expliquer cette attitude. Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’ils ont laissé faire en espérant se débarrasser d’un chef d’État devenu gênant à leurs yeux.