Le chef de l'Etat congolais est en visite de travail à Paris en France depuis le 06 juillet 2015. Il a rencontré son homologue français, ce 7 juillet dans le coup de 10 h30, heure de Brazzaville. A sortie de l’Elysée, Denis Sassou N’Guesso, visiblement de bonne humeur, a souligné le caractère historique des relations entre Paris et Brazzaville dont il a rappelé qu’elle est « capitale de la France libre », avant de se féliciter que les deux pays coopèrent dans plusieurs secteurs. « Nous avons fait un tour d'horizon de nos relations et avons conclu qu'elles ont un bel avenir », a dit le chef de l’Etat congolais.
Interrogé sur l'état de la situation au Congo et en Afrique centrale, Denis Sassou N'Guesso a indiqué que «le Congo va à son rythme, comme le reste du monde », tout en relevant que son le pays vient de loin. «Notre pays a connu des moments sombres des guerres civiles, mais aujourd'hui les observateurs honnêtes s'accordent à dire que le Congo vit dans la paix et la sécurité et qu'il y a un réel progrès. Nous allons continuer sur cette voie », a déclaré le président congolais.
A propos de l'Afrique centrale, le président Denis Sassou N’Guesso s’est appesanti sur les problèmes auxquels la sous-région est confrontée : la Centrafrique, dont il a dit en avoir parlé avec le président François Hollande, les actions de la secte Boko-Haram et ses conséquences au Tchad et au Cameroun, sont autant de sujets préoccupants qu’il a énumérés. « Nous devons y faire face », s’est-il engagé.
Un sujet de politique intérieure, à savoir le débat en cours au Congo sur la tenue du dialogue national inclusif du 11 au 15 juillet, s’est invité à cet échange avec la presse. Sans détours, Denis Sassou N'Guesso fait savoir que « le débat national se déroule de manière ouverte » dans son pays. Il en sera « de même pour le dialogue », a-t-il ajouté, avant d’expliquer : « cela fait plus d'un an que les Congolais discutent librement des affaires de leur pays et je pense que c'est bon signe », a martelé le chef de l’Etat congolais.
Notons que l’ambiance à l'Elysée a été très amicale, d'autant que le président François Hollande a reçu Denis Sassou N'Guesso en descendant les marches du perron du palais présidentiel français et l'a salué à son départ, tout souriant.
Interrogé sur l'état de la situation au Congo et en Afrique centrale, Denis Sassou N'Guesso a indiqué que «le Congo va à son rythme, comme le reste du monde », tout en relevant que son le pays vient de loin. «Notre pays a connu des moments sombres des guerres civiles, mais aujourd'hui les observateurs honnêtes s'accordent à dire que le Congo vit dans la paix et la sécurité et qu'il y a un réel progrès. Nous allons continuer sur cette voie », a déclaré le président congolais.
A propos de l'Afrique centrale, le président Denis Sassou N’Guesso s’est appesanti sur les problèmes auxquels la sous-région est confrontée : la Centrafrique, dont il a dit en avoir parlé avec le président François Hollande, les actions de la secte Boko-Haram et ses conséquences au Tchad et au Cameroun, sont autant de sujets préoccupants qu’il a énumérés. « Nous devons y faire face », s’est-il engagé.
Un sujet de politique intérieure, à savoir le débat en cours au Congo sur la tenue du dialogue national inclusif du 11 au 15 juillet, s’est invité à cet échange avec la presse. Sans détours, Denis Sassou N'Guesso fait savoir que « le débat national se déroule de manière ouverte » dans son pays. Il en sera « de même pour le dialogue », a-t-il ajouté, avant d’expliquer : « cela fait plus d'un an que les Congolais discutent librement des affaires de leur pays et je pense que c'est bon signe », a martelé le chef de l’Etat congolais.
Notons que l’ambiance à l'Elysée a été très amicale, d'autant que le président François Hollande a reçu Denis Sassou N'Guesso en descendant les marches du perron du palais présidentiel français et l'a salué à son départ, tout souriant.