La cérémonie d’ouverture de ces offres a été placée sous l’autorité de Michel Ngakala, coordonnateur national du projet Central African Backbone (CAB), intervenant pour la circonstance en sa qualité de président de la cellule des marchés.
Le dépouillement de ces offres de soumissions s’est fait conformément aux procédures de passation des marchés de la Banque Africaine de Développement (BAD), partenaire financier du Congo dans la réalisation de cette infrastructure. Sur cette base, toutes les sociétés internationales et nationales jouissant d’une expérience et expertise dans la construction des Datacenter pouvaient candidater et participer à la concurrence. Dans cette perspective, huit sociétés ont soumissionné pour le lot 1, relatif à la construction du Datacenter national principal, à Brazzaville, et six sociétés ont candidaté pour le lot 2, sur la construction du Datacenter secondaire, à Oyo. A cet effet, séance tenante et en présence des soumissionnaires, la raison sociale, la garantie de soumission et le montant proposé par les 14 sociétés soumissionnaires ont été lus publiquement.
Il s’agit, par exemple, des sociétés Beijing Uni-Construction Corporation -BUCC, MBTP-Npone Datacenter, Stecol Corporation, Sumec-XJGF, China-Railway et Sterling et Wilson. Les sociétés adjiducataires procéderont à la construction et à l’opérationnalisation du Datacenter national principal à Brazzaville et secondaire, comme 2ème lot du projet, à Oyo.
Aussi, le président de la commission des marchés s’est-il fait le devoir de donner les informations essentielles aux sociétés soumissionnaires sur la suite de la procédure. « Les offres seront transmises à la commission d’évaluation. Les soumissionnaires seront, ainsi, informés des résultats de l’intention d’attribution provisoire dans les meilleurs délais. » Pouvait leur faire savoir Michel Ngakala.
Il faut rétenir que le Datacenter national ou centre des données est un instrument de souveraineté nationale. Il constitue un élément indispensable de la stratégie nationale de développement de l’économie, ainsi que de la transformation digitale du pays. Une fois construit, ce Datacenter national offrira au Congo la possibilité d’héberger et de sécuriser sur place les données des utilisateurs des communications électroniques, jusqu'à ce jour domiciliées à l'étranger.
En rappel, le lancement de cet appel d’offre international pour les travaux de construction du Datacenter national à Brazzaville et à Oyo a eu lieu le 22 novembre 2022, à Brazzaville, par le ministre des postes, des télécommunications et de l’économie numérique, Léon Juste Ibombo. A l’évidence, ce Datacenter national va assurer l’indépendance du pays à travers les nouvelles technologies de la communication.
Le jour du lancement de cet appel d’offre international, le ministre Léon Juste Ibombo définissait le Datacenter national ou centre des données comme un site physique regroupant les installations informatiques, entre autres les serveurs, les routeurs, les commutateurs et les disques durs chargés de stocker et de distribuer les données à travers un réseau interne ou via un accès Internet. Il est question d’une infrastructure de souveraineté et de sécurité numérique qui va assurer la souveraineté du pays en matière de gestion des données en perpétuelle augmentation et des applications critiques.
Le dépouillement de ces offres de soumissions s’est fait conformément aux procédures de passation des marchés de la Banque Africaine de Développement (BAD), partenaire financier du Congo dans la réalisation de cette infrastructure. Sur cette base, toutes les sociétés internationales et nationales jouissant d’une expérience et expertise dans la construction des Datacenter pouvaient candidater et participer à la concurrence. Dans cette perspective, huit sociétés ont soumissionné pour le lot 1, relatif à la construction du Datacenter national principal, à Brazzaville, et six sociétés ont candidaté pour le lot 2, sur la construction du Datacenter secondaire, à Oyo. A cet effet, séance tenante et en présence des soumissionnaires, la raison sociale, la garantie de soumission et le montant proposé par les 14 sociétés soumissionnaires ont été lus publiquement.
Il s’agit, par exemple, des sociétés Beijing Uni-Construction Corporation -BUCC, MBTP-Npone Datacenter, Stecol Corporation, Sumec-XJGF, China-Railway et Sterling et Wilson. Les sociétés adjiducataires procéderont à la construction et à l’opérationnalisation du Datacenter national principal à Brazzaville et secondaire, comme 2ème lot du projet, à Oyo.
Aussi, le président de la commission des marchés s’est-il fait le devoir de donner les informations essentielles aux sociétés soumissionnaires sur la suite de la procédure. « Les offres seront transmises à la commission d’évaluation. Les soumissionnaires seront, ainsi, informés des résultats de l’intention d’attribution provisoire dans les meilleurs délais. » Pouvait leur faire savoir Michel Ngakala.
Il faut rétenir que le Datacenter national ou centre des données est un instrument de souveraineté nationale. Il constitue un élément indispensable de la stratégie nationale de développement de l’économie, ainsi que de la transformation digitale du pays. Une fois construit, ce Datacenter national offrira au Congo la possibilité d’héberger et de sécuriser sur place les données des utilisateurs des communications électroniques, jusqu'à ce jour domiciliées à l'étranger.
En rappel, le lancement de cet appel d’offre international pour les travaux de construction du Datacenter national à Brazzaville et à Oyo a eu lieu le 22 novembre 2022, à Brazzaville, par le ministre des postes, des télécommunications et de l’économie numérique, Léon Juste Ibombo. A l’évidence, ce Datacenter national va assurer l’indépendance du pays à travers les nouvelles technologies de la communication.
Le jour du lancement de cet appel d’offre international, le ministre Léon Juste Ibombo définissait le Datacenter national ou centre des données comme un site physique regroupant les installations informatiques, entre autres les serveurs, les routeurs, les commutateurs et les disques durs chargés de stocker et de distribuer les données à travers un réseau interne ou via un accès Internet. Il est question d’une infrastructure de souveraineté et de sécurité numérique qui va assurer la souveraineté du pays en matière de gestion des données en perpétuelle augmentation et des applications critiques.