Faisant partie des douze hôpitaux généraux du programme « Santé pour Tous », l’hôpital général de Ngoyo est le deuxième à ouvrir ses portes aux patients, après celui de Djiri, 9ème arrondissement de Brazzaville. La population bénéficiaire de cette infrastructure sanitaire s’est fortement mobilisée le long de la route menant à Ngoyo et au lieu de la cérémonie inaugurale pour traduire leur reconnaissance à Denis Sassou-N’Guesso pour la réalisation de cette œuvre fascinante.
Construit sur une superficie de 05 hectares, l’hôpital général de Ngoyo présente les mêmes caractéristiques techniques que celui de Djiri. Tous les deux sont issus d’un même programme de développement, a signifié le ministre en charge de l’équipement et de l’aménagement du territoire Jean-Jacques Bouya qui présentait les caractéristiques de l’ouvrage. A terme, a-t-il précisé, un service d’oncologie, doté d’espace et équipement de pointe dédié, complètera le complexe.
Pour le ministre de la santé et de la population, Gilbert Mokoki, l’hôpital général de Ngoyo est un hôpital de troisième échelon sur la pyramide sanitaire du Congo. Cet hôpital, a-t-il renchéri, est prêt à desservir, non seulement la population de Ngoyo, mais aussi celle de tout le département de Pointe-Noire ainsi que des départements environnants et des localités frontalières des pays voisins.
Cet édifice sanitaire est un motif de fierté pour les populations de Ngoyo qui, désormais, ne vont plus parcourir de longues distances pour se faire soigner, a indiqué Christine Senga à la presse. Assistante sociale de la croix rouge, elle a remercié le chef de l’Etat pour cet acte de grande portée sociale. Le même avis est partagé par Roger Taty Makosso, un habitant de Ngoyo, qui a appelé les populations de cet arrondissement à capitaliser cet acquis.
La cérémonie organisée en face de l’hôpital de Ngoyo a également porté sur l’inauguration des voiries urbaines pavées de Pointe-Noire, notamment dans les quartiers Mouyondzi à Tié-tié et Tchiniambi à Loandjili. C’est une action de proximité, inscrite dans le cadre du projet DurQuap (Développement urbain et restructuration des quartiers précaires) selon le ministre Jean Jacques Bouya qui en a fait la présentation.
Ce projet; a-t-il rappelé, a apporté deux effets bénéfiques, notamment l’amélioration de l’accès aux infrastructures de base pour plus de 65 000 résidents des quartiers précaires de Pointe-Noire et le renforcement des capacités du gouvernement et des municipalités, en matière de restructuration urbaine.
Après les avoir mises en service, le président de la République, Denis Sassou-N’Guesso et son épouse ont arpenté ces artères qui ont transformé des quartiers jadis inaccessibles par véhicule en des cités modernes qui n’ont presque rien à envier avec le centre-ville.
Construit sur une superficie de 05 hectares, l’hôpital général de Ngoyo présente les mêmes caractéristiques techniques que celui de Djiri. Tous les deux sont issus d’un même programme de développement, a signifié le ministre en charge de l’équipement et de l’aménagement du territoire Jean-Jacques Bouya qui présentait les caractéristiques de l’ouvrage. A terme, a-t-il précisé, un service d’oncologie, doté d’espace et équipement de pointe dédié, complètera le complexe.
Pour le ministre de la santé et de la population, Gilbert Mokoki, l’hôpital général de Ngoyo est un hôpital de troisième échelon sur la pyramide sanitaire du Congo. Cet hôpital, a-t-il renchéri, est prêt à desservir, non seulement la population de Ngoyo, mais aussi celle de tout le département de Pointe-Noire ainsi que des départements environnants et des localités frontalières des pays voisins.
Cet édifice sanitaire est un motif de fierté pour les populations de Ngoyo qui, désormais, ne vont plus parcourir de longues distances pour se faire soigner, a indiqué Christine Senga à la presse. Assistante sociale de la croix rouge, elle a remercié le chef de l’Etat pour cet acte de grande portée sociale. Le même avis est partagé par Roger Taty Makosso, un habitant de Ngoyo, qui a appelé les populations de cet arrondissement à capitaliser cet acquis.
La cérémonie organisée en face de l’hôpital de Ngoyo a également porté sur l’inauguration des voiries urbaines pavées de Pointe-Noire, notamment dans les quartiers Mouyondzi à Tié-tié et Tchiniambi à Loandjili. C’est une action de proximité, inscrite dans le cadre du projet DurQuap (Développement urbain et restructuration des quartiers précaires) selon le ministre Jean Jacques Bouya qui en a fait la présentation.
Ce projet; a-t-il rappelé, a apporté deux effets bénéfiques, notamment l’amélioration de l’accès aux infrastructures de base pour plus de 65 000 résidents des quartiers précaires de Pointe-Noire et le renforcement des capacités du gouvernement et des municipalités, en matière de restructuration urbaine.
Après les avoir mises en service, le président de la République, Denis Sassou-N’Guesso et son épouse ont arpenté ces artères qui ont transformé des quartiers jadis inaccessibles par véhicule en des cités modernes qui n’ont presque rien à envier avec le centre-ville.