Le Groupement des éditeurs de presse de Côte d’Ivoire (Gepci), par la voix de son président Patrice Yao, a plaidé pour un « régime fiscal spécifique », en faveur des entreprises de presse. Ce, en relevant : « Les entreprises de presse ivoirienne sont confrontées depuis plusieurs années à une situation de précarité due à la longue période de crise politico-militaires, à de nouvelles pratiques de lecture. Et à l’avènement des Nouvelles technologies de l’information et de la communication (Ntic), ayant influées négativement les ventes des journaux ». Non sans conclure : « Le secteur est à l’agonie ».
C’était lors de son intervention le jeudi 6 septembre à l’hôtel Tiama d’Abidjan-Plateau, à l’occasion de la plate-forme d’échanges et d’informations dénommée : « La tribune du Gepci ». Avec pour invité, le directeur général des impôts de Côte d’Ivoire, Ouattara Sié Abou.
C’est sous le thème : « La fiscalité des entreprises d’édition et de la presse », que le premier responsable de l’administration du fisc a échangé deux heures durant, avec les journalistes dans leurs différentes composantes (Presse audiovisuelle, écrite, en ligne).
Ouattara Sié Abou a fait remarquer d’entrée qu’il n’existe pas véritablement de fiscalité applicable spécifique aux entreprises de presse. Et donc, « soumises au régime fiscal de droit commun ». Mais, a-t-il précisé : « L’Etat a consenti depuis 2002 des mesures d’allègement fiscal, afin de soutenir le secteur ». Des dispositions qui concernent selon lui : « des exonérations, des réductions, des abattements ou annulations d’impôts et diverses taxes ».
Ainsi, le conférencier a recommandé aux entreprises de presse à formuler des propositions, en vue de la mise en place d’une fiscalité propre au secteur, comme souhaitée. Mieux, a-t-il exhorté le Gepci en tant que porte-voix du secteur des médias « à prendre en main son destin », pour adresser des courriers, expliquer, convaincre l’autorité compétente et espérer un retour favorable.
Ouattara Sié Abou a également invité les entreprises de presse au respect des pratiques fiscales, en déclarant leurs travailleurs auprès des ses services. Il a signifié que la contribution fiscale de chaque entreprise est confidentielle, protégée par le secret professionnel.
C’était lors de son intervention le jeudi 6 septembre à l’hôtel Tiama d’Abidjan-Plateau, à l’occasion de la plate-forme d’échanges et d’informations dénommée : « La tribune du Gepci ». Avec pour invité, le directeur général des impôts de Côte d’Ivoire, Ouattara Sié Abou.
C’est sous le thème : « La fiscalité des entreprises d’édition et de la presse », que le premier responsable de l’administration du fisc a échangé deux heures durant, avec les journalistes dans leurs différentes composantes (Presse audiovisuelle, écrite, en ligne).
Ouattara Sié Abou a fait remarquer d’entrée qu’il n’existe pas véritablement de fiscalité applicable spécifique aux entreprises de presse. Et donc, « soumises au régime fiscal de droit commun ». Mais, a-t-il précisé : « L’Etat a consenti depuis 2002 des mesures d’allègement fiscal, afin de soutenir le secteur ». Des dispositions qui concernent selon lui : « des exonérations, des réductions, des abattements ou annulations d’impôts et diverses taxes ».
Ainsi, le conférencier a recommandé aux entreprises de presse à formuler des propositions, en vue de la mise en place d’une fiscalité propre au secteur, comme souhaitée. Mieux, a-t-il exhorté le Gepci en tant que porte-voix du secteur des médias « à prendre en main son destin », pour adresser des courriers, expliquer, convaincre l’autorité compétente et espérer un retour favorable.
Ouattara Sié Abou a également invité les entreprises de presse au respect des pratiques fiscales, en déclarant leurs travailleurs auprès des ses services. Il a signifié que la contribution fiscale de chaque entreprise est confidentielle, protégée par le secret professionnel.