Cette nouvelle information pourrait apporter un éclairage inédit sur les circonstances de l'accident qui a coûté la vie à 179 personnes. Les enquêteurs envisagent désormais l'hypothèse d'une collision avec un vol d'oiseaux, un phénomène connu sous le nom de "bird strike", qui peut entraîner des dommages importants aux moteurs d'un avion et, dans certains cas, provoquer sa chute.
Les défis de l'enquête
L'identification précise des causes du crash s'annonce complexe. Les enquêteurs devront désormais déterminer si la collision avec les oiseaux est la seule cause de l'accident ou si d'autres facteurs, tels que des défaillances mécaniques ou humaines, ont contribué à la catastrophe.
L'analyse des boîtes noires, qui a déjà commencé, devrait apporter des éléments de réponse cruciaux. Les experts examineront également les conditions météorologiques au moment du crash, ainsi que l'historique de maintenance de l'avion.
Les conséquences de ce nouveau rebondissement
Cette découverte pourrait avoir des conséquences importantes pour l'industrie aéronautique. Les compagnies aériennes pourraient être amenées à renforcer les mesures de sécurité autour des aéroports, notamment en mettant en place des systèmes de détection des oiseaux plus performants.
Les autorités de régulation de l'aviation civile pourraient également revoir les normes de certification des moteurs d'avion, afin de les rendre plus résistants aux impacts d'oiseaux.