Département du Pool à Goma Tsé-tsé : Des ex-combattants enlèvent deux dirigeants de la majorité au pouvoir
Depuis le 4 avril, les bases de commandement des ex-combattants du pasteur Ntoumi dans le département du Pool sont la cible des bombardements de la force publique. Objectif poursuivi : traquer jusqu’à leur dernier retranchement les ex-combattants du pasteur Ntoumi, auteurs des actes terroristes perpétrés dans les quartiers sud de Brazzaville. Dans leur fuite, ces bandits armés pillent, volent, violent et procèdent à des enlèvements massifs.
La Radio France Internationale (RFI), captée le 1er mai à Brazzaville, fait état depuis une semaine de l’enlèvement de deux dirigeants de la majorité au pouvoir par les ex combattants, emmenés vers une destination inconnue. Mr Euloge Landry kolelas, président du MCDDI, avait lui aussi déjà publié un communiqué demandant aux miliciens de NTOUMI de libérer sans condition les responsables du Mcddi et du Pct du District de NGOMA TSETSE. Cette nouvelle ne surprend personne lorsqu’on sait que Ntoumi et ses ex-combattants ont toujours procédé de la sorte.
En 1998-1999, lors des événements socio - politiques du département du Pool,c’est la même tactique qu'ils utilisaient, faite d'attaques surprises, replis , enlèvements des populations jugées proches du pouvoir ou de la force publique. Un mode opératoire classique et digne des groupes terroristes . Ceux qui ont récemment donné de la voix en affirmant que les événements du 4 avril « n’étaient qu’un scénario monté par le pouvoir » n’ont plus qu'à rechercher d'autres subterfuges ou bien de reconnaître par les mêmes canaux qu'ils n'avaient su lire attentivement les événements.
En effet, depuis la réactivation des milices ninjas , les actes de banditisme dans le pool-centre connaissent une croissance significative: Si hier, c’était des commerçants qui on vu leurs véhicules pillés et incendiés, Aujourd’hui, c’est la chasse à l’homme qui prend le pas, à la grande indifférence de certains activistes des droits de l'homme et du prélat de Kinkala. Demain l’on ne sait pas ce que ces ex-combattants réservent à la population du département du Pool.
L’on se rappellera qu’en 1998-1999, Ntoumi et ses sbires avaient imposé à la population
des traitements cruels et dégradants avec la fameuse « gifle de saint Michel », une pratique qui consistait à recevoir des coups de machette chauffée à blanc. Aussi, le samedi, une partie de la récolte devrait leur être versée. Et pour asseoir son hégémonie, Ntoumi avait mis en place un plan d’élimination physique des cadres, en complicité avec quelques habitants véreux, particulièrement les cadres originaires du Pool qui étaient considérés comme des traitres parce que voulant fuir le département du Pool et rejoindre Brazzaville . D’où des nombreux meurtres en série dans les forêts du Pool surtout pour les jeunes garçons.
Mais là où le bas blesse c'est que ces crimes n'ont jamais été dénoncés; c'est l'opacité totale. Jamais l'évêque de KINKALA et certains défenseurs des droits de l'homme n'ont évoqué ces faits qui auraient à coup sur emmené NTUMI à la CPI. Sans doute avaient - ils peur des représailles. A la place c'est une affaire dite des disparus du Beach qui a plutôt défrayé la chronique. Une affaire qui a vu tout le monde ou presque porter plainte même au nom de ceux qui n'avaient pu échapper aux griffes de Ntumi pendant la traversée du Pool.
Comme on le voit, cette triste réalité refait surface et c'est ce cauchemar que tous les fils du pool, qui ne souhaitent qu'à vivre en paix et à penser à leur bien être, ne souhaitent plus revivre . Malheureusement, les organisations en charge des droits de l’homme comme Amnesty international, la Fidh et l’Ocdh qui devaient faire pression sur ces terroristes en disant la vérité à la communauté internationale se sont muées en complices, spécialistes de la délation, de la désinformation pour assouvir leurs appétits mercantilistes
Elles font semblant d’ignorer le danger réel que représentent ces terroristes pour ces paisibles populations. Et c’est là tout le sens de l’opération sécuritaire de la force publique afin que Ntoumi cesse de prendre le département du Pool en otage comme l'a fait Boko Haram en enlevant près de 200 filles au Nigeria.
La Radio France Internationale (RFI), captée le 1er mai à Brazzaville, fait état depuis une semaine de l’enlèvement de deux dirigeants de la majorité au pouvoir par les ex combattants, emmenés vers une destination inconnue. Mr Euloge Landry kolelas, président du MCDDI, avait lui aussi déjà publié un communiqué demandant aux miliciens de NTOUMI de libérer sans condition les responsables du Mcddi et du Pct du District de NGOMA TSETSE. Cette nouvelle ne surprend personne lorsqu’on sait que Ntoumi et ses ex-combattants ont toujours procédé de la sorte.
En 1998-1999, lors des événements socio - politiques du département du Pool,c’est la même tactique qu'ils utilisaient, faite d'attaques surprises, replis , enlèvements des populations jugées proches du pouvoir ou de la force publique. Un mode opératoire classique et digne des groupes terroristes . Ceux qui ont récemment donné de la voix en affirmant que les événements du 4 avril « n’étaient qu’un scénario monté par le pouvoir » n’ont plus qu'à rechercher d'autres subterfuges ou bien de reconnaître par les mêmes canaux qu'ils n'avaient su lire attentivement les événements.
En effet, depuis la réactivation des milices ninjas , les actes de banditisme dans le pool-centre connaissent une croissance significative: Si hier, c’était des commerçants qui on vu leurs véhicules pillés et incendiés, Aujourd’hui, c’est la chasse à l’homme qui prend le pas, à la grande indifférence de certains activistes des droits de l'homme et du prélat de Kinkala. Demain l’on ne sait pas ce que ces ex-combattants réservent à la population du département du Pool.
L’on se rappellera qu’en 1998-1999, Ntoumi et ses sbires avaient imposé à la population
des traitements cruels et dégradants avec la fameuse « gifle de saint Michel », une pratique qui consistait à recevoir des coups de machette chauffée à blanc. Aussi, le samedi, une partie de la récolte devrait leur être versée. Et pour asseoir son hégémonie, Ntoumi avait mis en place un plan d’élimination physique des cadres, en complicité avec quelques habitants véreux, particulièrement les cadres originaires du Pool qui étaient considérés comme des traitres parce que voulant fuir le département du Pool et rejoindre Brazzaville . D’où des nombreux meurtres en série dans les forêts du Pool surtout pour les jeunes garçons.
Mais là où le bas blesse c'est que ces crimes n'ont jamais été dénoncés; c'est l'opacité totale. Jamais l'évêque de KINKALA et certains défenseurs des droits de l'homme n'ont évoqué ces faits qui auraient à coup sur emmené NTUMI à la CPI. Sans doute avaient - ils peur des représailles. A la place c'est une affaire dite des disparus du Beach qui a plutôt défrayé la chronique. Une affaire qui a vu tout le monde ou presque porter plainte même au nom de ceux qui n'avaient pu échapper aux griffes de Ntumi pendant la traversée du Pool.
Comme on le voit, cette triste réalité refait surface et c'est ce cauchemar que tous les fils du pool, qui ne souhaitent qu'à vivre en paix et à penser à leur bien être, ne souhaitent plus revivre . Malheureusement, les organisations en charge des droits de l’homme comme Amnesty international, la Fidh et l’Ocdh qui devaient faire pression sur ces terroristes en disant la vérité à la communauté internationale se sont muées en complices, spécialistes de la délation, de la désinformation pour assouvir leurs appétits mercantilistes
Elles font semblant d’ignorer le danger réel que représentent ces terroristes pour ces paisibles populations. Et c’est là tout le sens de l’opération sécuritaire de la force publique afin que Ntoumi cesse de prendre le département du Pool en otage comme l'a fait Boko Haram en enlevant près de 200 filles au Nigeria.