Cette pratique a des conséquences néfastes sur la santé, telles que l'hypertension, le diabète, l'insomnie et la perte de mémoire, selon un médecin consulté. Il a également noté que la peau dépigmentée présente des complications lors d'une opération chirurgicale.
La dépigmentation a des noms qui varient selon les pays : on l’appelle ainsi “Ambi" au Tchad, “khessal" au Sénégal, "bojou" au Bénin, "tchatcho" au Mali, "akonti" au Togo, "dorot" au Niger, "décapage" ou "maquillage" au Cameroun, "kobwakana" au Congo-Brazzaville ou encore "kopakola" au Gabon.
Il est important de noter que cette pratique est motivée par une pression sociale qui incite les femmes et les filles à vouloir devenir plus claires de peau. Il est essentiel que les femmes et les filles prennent conscience des dangers potentiels liés à cette pratique et qu'elles soient encouragées à s'accepter telles qu'elles sont.
Neronel Blandine, une jeune fille qui a gardé son teint naturel, se confie en disant que c'est les mères, certains pères et certains hommes qui encouragent cette pratique. "Moi, par exemple, mon père, s'il me surprend à me dépigmenter, il va me frapper et brûler tous mes produits. Donc, dans ma famille, personne ne pratique la dépigmentation. J'ai honte quand je vois mes sœurs avec trois à quatre couleurs sur la peau", explique-t-elle.
Nombreuses sont celles qui aujourd'hui ont un visage déformé et des pieds colorés en noir, en raison de leur ignorance. Ces femmes portent des chaussettes aux pieds et des vêtements à manches longues dans les lieux publics pour ne pas être identifiées. Elles ont des couleurs de peau variées, blanches aux pieds, aux bras et au cou, mais leurs fesses, orteils, dos et coudes sont inesthétiques et dégoûtants. Elles dégagent des odeurs nauséabondes lorsqu'elles se trouvent dans un bus ou un taxi ou sous la chaleur. La plupart d'entre elles sont conscientes des risques qu'elles prennent en se dépigmentant la peau, mais peu d'entre elles abandonnent cette pratique. Il est important que les femmes et les filles prennent conscience des risques qu'elles encourent en se dépigmentant la peau.
La dépigmentation a des noms qui varient selon les pays : on l’appelle ainsi “Ambi" au Tchad, “khessal" au Sénégal, "bojou" au Bénin, "tchatcho" au Mali, "akonti" au Togo, "dorot" au Niger, "décapage" ou "maquillage" au Cameroun, "kobwakana" au Congo-Brazzaville ou encore "kopakola" au Gabon.
Il est important de noter que cette pratique est motivée par une pression sociale qui incite les femmes et les filles à vouloir devenir plus claires de peau. Il est essentiel que les femmes et les filles prennent conscience des dangers potentiels liés à cette pratique et qu'elles soient encouragées à s'accepter telles qu'elles sont.
Neronel Blandine, une jeune fille qui a gardé son teint naturel, se confie en disant que c'est les mères, certains pères et certains hommes qui encouragent cette pratique. "Moi, par exemple, mon père, s'il me surprend à me dépigmenter, il va me frapper et brûler tous mes produits. Donc, dans ma famille, personne ne pratique la dépigmentation. J'ai honte quand je vois mes sœurs avec trois à quatre couleurs sur la peau", explique-t-elle.
Nombreuses sont celles qui aujourd'hui ont un visage déformé et des pieds colorés en noir, en raison de leur ignorance. Ces femmes portent des chaussettes aux pieds et des vêtements à manches longues dans les lieux publics pour ne pas être identifiées. Elles ont des couleurs de peau variées, blanches aux pieds, aux bras et au cou, mais leurs fesses, orteils, dos et coudes sont inesthétiques et dégoûtants. Elles dégagent des odeurs nauséabondes lorsqu'elles se trouvent dans un bus ou un taxi ou sous la chaleur. La plupart d'entre elles sont conscientes des risques qu'elles prennent en se dépigmentant la peau, mais peu d'entre elles abandonnent cette pratique. Il est important que les femmes et les filles prennent conscience des risques qu'elles encourent en se dépigmentant la peau.