Les femmes tchadiennes vivent désormais en deux camps. Les femmes qui n’étaient pas plus longtemps qu’hier ensemble pour défendre leurs causes et réclamer la place qui est la leur dans la société, sont diamétralement opposées aujourd’hui. Qui aurait semé cette zizanie ? Le pouvoir MPS ne serait-il pas responsable de cette division au sein de la classe féminine ? Cette hypothèse ne serait pas du tout exclue. Surtout que l’on a assisté à la veille de ladite journée aux scénarii que les différentes communes de la capitale dirigées par le MPS et ses alliés ont organisés.
Elles ont mis tout en œuvre pour que les femmes effectuent ne serait-ce que le déplacement à la place de la Nation pour participer au défilé en leur donnant gratuitement des pagnes. Des moyens de déplacement ont été mis à la disposition de ces femmes pour qu’elles affluent à la place de la nation. Mais pourquoi tout ça ? « Peut-on crier sommeil pendant qu’à côté le diable s’endort », comme l’a chanté Yéléen ? On ne peut plus être claire à ce niveau. Un adage de chez nous dit : « même la mère animal meurt pour ses enfants à plus forte raison la mère humaine ».
Alors si tel en est le cas, pourquoi une partie des femmes tchadiennes a accepté de festoyer pendant que leurs progénitures ne peuvent plus aller à l’école, ne peuvent plus se soigner en cas de maladie ? Il vrai que tout être humain est né libre et doit disposer de lui-même. Mais dans ce cas d’espèce, cette liberté individuelle ne fera que tuer le groupe. Donc, la bonne mère doit s’arrêter un instant et penser à ses enfants qui se livrent quotidiennement aux jeux dangereux dans les rues ou qui passent tout leur temps sous un soleil ardent à vendre des petits articles, que de défiler en échange d’un habit qui ne correspond à rien du tout.
D’ailleurs, parmi celles qui étaient à la place de la nation, beaucoup sont rentrées à pieds. Elles ont été jetées comme un citron dont-on a extrait le jus. L’objectif était de les faire sortir pour contrecarrer l’action des femmes de la plateforme syndicale.
Les tchadiennes doivent en ce moment converger vers une synergie d’action et dans une solidarité agissante relever le défi qui s’impose à elles pour l’instant. Car la joie d’une mère est son enfant en bon épanouissement.
Elles ont mis tout en œuvre pour que les femmes effectuent ne serait-ce que le déplacement à la place de la Nation pour participer au défilé en leur donnant gratuitement des pagnes. Des moyens de déplacement ont été mis à la disposition de ces femmes pour qu’elles affluent à la place de la nation. Mais pourquoi tout ça ? « Peut-on crier sommeil pendant qu’à côté le diable s’endort », comme l’a chanté Yéléen ? On ne peut plus être claire à ce niveau. Un adage de chez nous dit : « même la mère animal meurt pour ses enfants à plus forte raison la mère humaine ».
Alors si tel en est le cas, pourquoi une partie des femmes tchadiennes a accepté de festoyer pendant que leurs progénitures ne peuvent plus aller à l’école, ne peuvent plus se soigner en cas de maladie ? Il vrai que tout être humain est né libre et doit disposer de lui-même. Mais dans ce cas d’espèce, cette liberté individuelle ne fera que tuer le groupe. Donc, la bonne mère doit s’arrêter un instant et penser à ses enfants qui se livrent quotidiennement aux jeux dangereux dans les rues ou qui passent tout leur temps sous un soleil ardent à vendre des petits articles, que de défiler en échange d’un habit qui ne correspond à rien du tout.
D’ailleurs, parmi celles qui étaient à la place de la nation, beaucoup sont rentrées à pieds. Elles ont été jetées comme un citron dont-on a extrait le jus. L’objectif était de les faire sortir pour contrecarrer l’action des femmes de la plateforme syndicale.
Les tchadiennes doivent en ce moment converger vers une synergie d’action et dans une solidarité agissante relever le défi qui s’impose à elles pour l’instant. Car la joie d’une mère est son enfant en bon épanouissement.