L'Égypte lancerait-elle une offensive terrestre sur la ville libyenne de Derna? Les informations en provenance de la frontière des deux pays indiquent que le Président Al-Sissi se prépare activement à lancer une offensive terrestre d'une grande envergure contre la ville des Djihadistes libyenne de Derna qu'il n'a cessé de bombarder depuis une semaine malgré la demande d'Algérie d'arrêter l'escalade militaire.
Des renforts militaires et des armes lourdes notamment des chars sont acheminés à la frontière libyenne. L'Égypte exploite le dernier attentat contre des coptes pour voler au secours du général libyen Khalifa Haftar qui a des difficultés à chasser les islamistes de Derna.
Depuis le renversement par l'armée du Président Morsi, la situation sécuritaire en Égypte se détériore de plus en plus, les attentats des Djihadistes se multiplient et les militaires ouvrent plusieurs fronts dont les plus importants sont ceux de la Libye, le Soudan et l'Éthiopie.
Craignant une attaque aérienne égyptienne contre le barrage de Alnahda, l’Ethiopie a mis en alerte ses forces aérienne et a averti que toute attaque contre le Soudan est une attaque contre l'Éthiopie et l'armée aérienne éthiopienne interviendra immédiatement, a ainsi déclaré un responsable éthiopien ayant requis l'anonymat. L'information a été relayée sur la page Facebook de l'Etat-major général de l'armée soudanaise. L'Éthiopie se dit inquiet de la politique du Président Al-Sissi qu'elle qualifie de belliqueuse et les informations selon lesquelles l'Égypte se prépare à détruire le barrage d'eau Alnahda. La menace égyptienne qui pèse sur le Soudan inquiète aussi l'Éthiopie qui entretient des relations étroites avec son voisin. Un expert soudanais a mis en garde les autorités de son pays sur une éventuelle frappe aérienne égyptienne avant fin juin 2107.
Selon le journal britannique Alhayat, l'armée égyptienne s'est emparée du triangle frontalier "Al-Owenat" qui lie les trois frontières d'Égypte, du Soudan et de la Libye. Le journal a rapporté dimanche que l'armée égyptienne a renforcé son contrôle sur le triangle frontalier avec la Libye et le Soudan à djebel oweinat, dans l'extrême sud-ouest "pour empêcher et prévenir toute infiltration d'extrémistes dans les territoires égyptiens à travers la région."
L'Égypte veut entreprendre des mesures strictes pour contrôler la zone frontalière et riposter immédiatement et militairement à toute tentative subversive visant la sécurité nationale égyptienne, selon le journal Alhayat.
La militarisation égyptienne dans la zone montagneuse du triangle frontalier de Al-Owenat intervient quelques jours après la défaite des rebelles soudanais à Wadi Hawar et l'acte terroriste de Minya qui a fait une trentaine de morts et une cinquantaine de blessés principalement de coptes.
Des renforts militaires et des armes lourdes notamment des chars sont acheminés à la frontière libyenne. L'Égypte exploite le dernier attentat contre des coptes pour voler au secours du général libyen Khalifa Haftar qui a des difficultés à chasser les islamistes de Derna.
Depuis le renversement par l'armée du Président Morsi, la situation sécuritaire en Égypte se détériore de plus en plus, les attentats des Djihadistes se multiplient et les militaires ouvrent plusieurs fronts dont les plus importants sont ceux de la Libye, le Soudan et l'Éthiopie.
Craignant une attaque aérienne égyptienne contre le barrage de Alnahda, l’Ethiopie a mis en alerte ses forces aérienne et a averti que toute attaque contre le Soudan est une attaque contre l'Éthiopie et l'armée aérienne éthiopienne interviendra immédiatement, a ainsi déclaré un responsable éthiopien ayant requis l'anonymat. L'information a été relayée sur la page Facebook de l'Etat-major général de l'armée soudanaise. L'Éthiopie se dit inquiet de la politique du Président Al-Sissi qu'elle qualifie de belliqueuse et les informations selon lesquelles l'Égypte se prépare à détruire le barrage d'eau Alnahda. La menace égyptienne qui pèse sur le Soudan inquiète aussi l'Éthiopie qui entretient des relations étroites avec son voisin. Un expert soudanais a mis en garde les autorités de son pays sur une éventuelle frappe aérienne égyptienne avant fin juin 2107.
Selon le journal britannique Alhayat, l'armée égyptienne s'est emparée du triangle frontalier "Al-Owenat" qui lie les trois frontières d'Égypte, du Soudan et de la Libye. Le journal a rapporté dimanche que l'armée égyptienne a renforcé son contrôle sur le triangle frontalier avec la Libye et le Soudan à djebel oweinat, dans l'extrême sud-ouest "pour empêcher et prévenir toute infiltration d'extrémistes dans les territoires égyptiens à travers la région."
L'Égypte veut entreprendre des mesures strictes pour contrôler la zone frontalière et riposter immédiatement et militairement à toute tentative subversive visant la sécurité nationale égyptienne, selon le journal Alhayat.
La militarisation égyptienne dans la zone montagneuse du triangle frontalier de Al-Owenat intervient quelques jours après la défaite des rebelles soudanais à Wadi Hawar et l'acte terroriste de Minya qui a fait une trentaine de morts et une cinquantaine de blessés principalement de coptes.
La présence militaire égyptienne dans cette zone permettrait d'apporter un soutien aux rebelles soudanais et renforcera la stratégie annoncée du général libyen Khalifa Haftar visant à reprendre la ville islamique de Derna occupée par le Conseil Alchoura de Moudjahidines.
Dimanche, un dignitaire soudanais a déclaré que son pays détient un officier égyptien comme preuve de l'implication du régime égyptien dans la dernière offensive des rebelles soudanais. L'officier égyptien selon le responsable soudanais aurait été capturé alors qu'il combattait aux côtés des rebelles soudanais. Si cette information se confirme l'Égypte serait dans une position de complice contre le pouvoir soudanais. Depuis une semaine, la tension entre les deux pays ne cesse de monter surtout au niveau de la presse. Vendredi un responsable égyptien a menacé le Soudan d'une possible occupation militaire égyptienne en 48 heures.
Dimanche, un dignitaire soudanais a déclaré que son pays détient un officier égyptien comme preuve de l'implication du régime égyptien dans la dernière offensive des rebelles soudanais. L'officier égyptien selon le responsable soudanais aurait été capturé alors qu'il combattait aux côtés des rebelles soudanais. Si cette information se confirme l'Égypte serait dans une position de complice contre le pouvoir soudanais. Depuis une semaine, la tension entre les deux pays ne cesse de monter surtout au niveau de la presse. Vendredi un responsable égyptien a menacé le Soudan d'une possible occupation militaire égyptienne en 48 heures.