En janvier 2009 un ressortissant marocain sahraoui a été kidnappé en plein centre d'Alger par les Services algériens alors qu'il s'apprétait à donner des conférences sur les Droits de l'Homme dans plusieurs universités de la capitale algérienne.
L'enlèvement, digne d'un Etat voyou, dont a été victime Ahmed Khalil, un haut cadre de l'organisation terroriste qu'est le polisario, qui avait programmé son retour à son pays, le Maroc, a été porté à la connaissance du Groupe de Travail de l'ONU sur les Disparitions Forcées ou Involontaires (GTDFI) suite à une plainte déposée par son fils Rachid, résidant à San Sebastian (Espagne) et ce, après que les autorités algériennes n'ont daigné répondre à ses nombreuses demandes de nouvelles sur son père.
Ahmed Khalil, qui s'apprêtait à dénoncer les violations des Droits de l'Homme perpétrées par les agents du DRS et leurs affidés du polisario dans les camps de la mort de Tindouf, a occupé plusieurs fonctions au sein du polisario, dont la dernière en date fut celle de chef de cabinet en charge des Droits de l'Homme et de la sécurité des camps de la honte auprès du renégat Mohamed Abdelaziz.
Selon les dernières informations, Ahmed Khalil serait détenu par le DRS dans un lieu secret à Ben Aknoune, siège de ce département et pire centre de torture où l'on en ressort que les pieds devant.
Une destination alarmante qui lui a été réservée suite à son désaccord avec la direction du polisario et son pseudo chef mais aussi en raison de sa ferme intention de rallier le Maroc et de mettre sur la place publique des secrets liés aux graves atteintes aux Droits de l'Homme dans les camps des embastillés marocains sahraouis à Tindouf.
C'est pourquoi, le 18 juillet 2015, le fils d'Ahmed Khalil, Rachid a décidé de faire une déclaration à Europa Press dans laquelle il affirme que sa famille et lui sont sans nouvelle de son père et s'interroge sur le sort qui lui a été réservé par les agents des services algériens, imputant l'entière responsabilité sur son sort aux terroristes du polisario et appelle les organisations internationales des Droits de l'Homme à "faire des pressions pour prévenir le risque de liquidation physique".
A noter que la Ligue des Défenseurs des Droits de l'Homme au Sahara avait appelé la communauté internationale à agir en vue de dévoiler le sort d'Ahmed Khalil. Un nouveau dossier qui s'ajoute celui de dizaines d'autres personnes qui ont subi le même sort dans les camps de la honte de Tindouf.
Enfin, il est étonnant qu'Amnesty International, Kerry Kennedy et sa Fondation soient totalement silencieuses sur ce cas flagrant de violation des Droits de l'Homme. On peut comprendre que les valisettes de pétrodollars soient plus attrayantes mais de là à s'acoquiner avec un Etat voyou et une dictature qui n'a d'égale que celle de son alliée la Corée du Nord il y a de quoi s'interroger sur leur crédibilité !
Farid Mnebhi.
L'enlèvement, digne d'un Etat voyou, dont a été victime Ahmed Khalil, un haut cadre de l'organisation terroriste qu'est le polisario, qui avait programmé son retour à son pays, le Maroc, a été porté à la connaissance du Groupe de Travail de l'ONU sur les Disparitions Forcées ou Involontaires (GTDFI) suite à une plainte déposée par son fils Rachid, résidant à San Sebastian (Espagne) et ce, après que les autorités algériennes n'ont daigné répondre à ses nombreuses demandes de nouvelles sur son père.
Ahmed Khalil, qui s'apprêtait à dénoncer les violations des Droits de l'Homme perpétrées par les agents du DRS et leurs affidés du polisario dans les camps de la mort de Tindouf, a occupé plusieurs fonctions au sein du polisario, dont la dernière en date fut celle de chef de cabinet en charge des Droits de l'Homme et de la sécurité des camps de la honte auprès du renégat Mohamed Abdelaziz.
Selon les dernières informations, Ahmed Khalil serait détenu par le DRS dans un lieu secret à Ben Aknoune, siège de ce département et pire centre de torture où l'on en ressort que les pieds devant.
Une destination alarmante qui lui a été réservée suite à son désaccord avec la direction du polisario et son pseudo chef mais aussi en raison de sa ferme intention de rallier le Maroc et de mettre sur la place publique des secrets liés aux graves atteintes aux Droits de l'Homme dans les camps des embastillés marocains sahraouis à Tindouf.
C'est pourquoi, le 18 juillet 2015, le fils d'Ahmed Khalil, Rachid a décidé de faire une déclaration à Europa Press dans laquelle il affirme que sa famille et lui sont sans nouvelle de son père et s'interroge sur le sort qui lui a été réservé par les agents des services algériens, imputant l'entière responsabilité sur son sort aux terroristes du polisario et appelle les organisations internationales des Droits de l'Homme à "faire des pressions pour prévenir le risque de liquidation physique".
A noter que la Ligue des Défenseurs des Droits de l'Homme au Sahara avait appelé la communauté internationale à agir en vue de dévoiler le sort d'Ahmed Khalil. Un nouveau dossier qui s'ajoute celui de dizaines d'autres personnes qui ont subi le même sort dans les camps de la honte de Tindouf.
Enfin, il est étonnant qu'Amnesty International, Kerry Kennedy et sa Fondation soient totalement silencieuses sur ce cas flagrant de violation des Droits de l'Homme. On peut comprendre que les valisettes de pétrodollars soient plus attrayantes mais de là à s'acoquiner avec un Etat voyou et une dictature qui n'a d'égale que celle de son alliée la Corée du Nord il y a de quoi s'interroger sur leur crédibilité !
Farid Mnebhi.