Quel est ton actualité Djaz B ?
Actuellement, je suis sur mes formations et les enregistrements de mon album ici à Abuja, au Nigeria.
Effectivement le projet Avenir sera de quelle nature ?
Inchallah, il s’agit de remplir le stade au Tchad dans deux ans, élargir le champ d'opération et devenir international, en gros.
Quels sont les thématiques que tu développes pour tes prochaines sorties ?
Justement, je vous prépare des histoires d'amour dans tous ses contours, le rêve du succès, les calomnies, la valeur d'une femme africaine, le style Dallatrap, et voilà.
Selon toi, tu es à quel niveau avec ta musique Djaz B ?
Je viens de commencer, je dirai. Et par rapport à mes objectifs, il y a encore du chemin à faire. Comment tu te définis à travers ton art ? Je me définis comme celui qui ose là où les autres tergiversent ; je me vois comme un futuriste, un visionnaire et surtout l'exemple pour les autres.
Quels sont les blocages de l'artiste tchadien à ton avis ?
D'abord, le Tchadien ne te soutient jamais parce que tu es meilleur, il te soutient parce qu’on se connait et ensuite... Quand quelqu'un est très bon, cela effraie plutôt. Au lieu de le soutenir ou de le reconnaître, ils préfèrent que tu échoues pour que tout le monde vive dans le bas niveau. Le talentueux est naturellement ennemi de ses proches et autres. Le second souci, c'est qu'on n'a pas le goût de l'excellence, en majorité on se limite au juste niveau. On n'est pas très ambitieux.
Alors, tu proposes quoi comme solutions ?
Pour un artiste, il faut l'audace, les risques et la croyance en soi. Personnellement, je suis en train de travailler pour révolutionner les choses à ma façon : un succès individuel peut motiver toute une couche. Alors, j'espère pouvoir bénéficier de grandes expériences pour faire profiter mon pays.
Quel est artiste qui t'a le plus inspiré dans ta carrière ?
J'écoute tout le monde, pourvu que ça soit la bonne musique. Mais je suis fan de Black Kent dans le rap, Zaho et Maitre Gims dans le chant. Mon album Avenir est un mélange de rap et de chant.
Quel type d'héritage comptes-tu laisser à la prochaine génération ?
En terme d'héritage, je souhaiterais être le bon grand-frère. Je veux être là, contribuer et surtout être dans la musique, ce que Nelson Mandela dans la politique.
Actuellement, je suis sur mes formations et les enregistrements de mon album ici à Abuja, au Nigeria.
Effectivement le projet Avenir sera de quelle nature ?
Inchallah, il s’agit de remplir le stade au Tchad dans deux ans, élargir le champ d'opération et devenir international, en gros.
Quels sont les thématiques que tu développes pour tes prochaines sorties ?
Justement, je vous prépare des histoires d'amour dans tous ses contours, le rêve du succès, les calomnies, la valeur d'une femme africaine, le style Dallatrap, et voilà.
Selon toi, tu es à quel niveau avec ta musique Djaz B ?
Je viens de commencer, je dirai. Et par rapport à mes objectifs, il y a encore du chemin à faire. Comment tu te définis à travers ton art ? Je me définis comme celui qui ose là où les autres tergiversent ; je me vois comme un futuriste, un visionnaire et surtout l'exemple pour les autres.
Quels sont les blocages de l'artiste tchadien à ton avis ?
D'abord, le Tchadien ne te soutient jamais parce que tu es meilleur, il te soutient parce qu’on se connait et ensuite... Quand quelqu'un est très bon, cela effraie plutôt. Au lieu de le soutenir ou de le reconnaître, ils préfèrent que tu échoues pour que tout le monde vive dans le bas niveau. Le talentueux est naturellement ennemi de ses proches et autres. Le second souci, c'est qu'on n'a pas le goût de l'excellence, en majorité on se limite au juste niveau. On n'est pas très ambitieux.
Alors, tu proposes quoi comme solutions ?
Pour un artiste, il faut l'audace, les risques et la croyance en soi. Personnellement, je suis en train de travailler pour révolutionner les choses à ma façon : un succès individuel peut motiver toute une couche. Alors, j'espère pouvoir bénéficier de grandes expériences pour faire profiter mon pays.
Quel est artiste qui t'a le plus inspiré dans ta carrière ?
J'écoute tout le monde, pourvu que ça soit la bonne musique. Mais je suis fan de Black Kent dans le rap, Zaho et Maitre Gims dans le chant. Mon album Avenir est un mélange de rap et de chant.
Quel type d'héritage comptes-tu laisser à la prochaine génération ?
En terme d'héritage, je souhaiterais être le bon grand-frère. Je veux être là, contribuer et surtout être dans la musique, ce que Nelson Mandela dans la politique.