Le déroulé du 20ème Sommet de l'Union africaine qui a pour cadre le nouveau Centre de Conférence d'Addis-Abeba, s’articule en trois actes. Au premier acte l’on notera l’arrivée des différentes délégations dont celle très remarquée du Chef IDRISS DEBY ITNO. C’est en panafricaniste convaincu que le Président de la République a fait le déplacement de la capitale éthiopienne pour partager avec ses homologues son rêve du panafricanisme et de la Renaissance.
Au second acte figure tout naturellement l’ouverture officielle des travaux. Plantant le décor du 20ème Sommet, la présidente de la Commission de l’UA, Dr Nkosazana Dlamini-Zuma a reconnu que l’Afrique est confrontée à des défis tout au long de son histoire, mais plus organisés et unis nous serons forts et plus court sera le voyage vers le panafricanisme et la renaissance africaine, dira-t-elle. Dr Nkosazana Dlamini-Zuma a ensuite révélé pour le déplorer la situation actuelle au Mali. Elle n’a pas non plus occultée les crises en Somalie, à l’Est de la République Démocratique du Congo, en Guinée Bissau et l’issue fatale de la prise d’otage en Algérie.
Faisant allusion au thème du Sommet, le Secrétaire général de l’ONU, Ban-Ki Moon, a déclaré que le développement est indispensable à la paix et vice-versa. S’agissant de la crise malienne, il a déclaré je cite : « nous sommes résolus à tout faire pour aider le peuple malien à traverser cette épreuve. C’est une obligation morale qui s’impose à l’ensemble de la communauté internationale», fin de citation.
« Je salue la France qui, face au temps de réaction extrêmement long des leaders africains et même de la communauté internationale, a pris les devants pour faire ce que nous aurions dû faire, face au terrorisme international qui menace le Mali, notre sous-région, notre continent et le monde », a martelé le Président en exercice de l’UA, Dr Yayi Boni. Il a ensuite rendu un hommage mérité aux pays qui ont envoyé des troupes au Mali pour sortir ce peuple du bourbier.
Peu avant l’ouverture des travaux, une minute de silence est observée en la mémoire du défunt Président John Atta Mills du Ghana et du Premier Ministre d’Ethiopie, Meles Zenawi. Enfin l’union africaine change de tête, le Président en exercice Dr Boni Yayi a passé le fanion de l’Union africaine et le marteau, symbole de la présidence au Premier éthiopien Haïlé Mariam DESALEGN. C’est sur cette belle image d’alternance entre l’Afrique de l’Ouest et de l’Est que s’est achevée l’ouverture officielle des travaux.
Née sur les cendres de la défunte Organisation de l’Unité africaine (OUA), d’ici quatre mois, c'est-à-dire le 23 mai prochain, l’Union africaine aura 50 ans, 50 ans dans la vie d’une organisation continentale c’est certainement l’âge de la maturité. L’âge de la maturité à notre entendement c’est écrire une autre page glorieuse de l’Afrique où les vocables tels que guerre, rébellion, prise d’otage et famine ne seront que des vieux souvenirs d’où l’importance du thème « Panafricanisme et Renaissance Africaine ».
( Présidence Tchad )
Au second acte figure tout naturellement l’ouverture officielle des travaux. Plantant le décor du 20ème Sommet, la présidente de la Commission de l’UA, Dr Nkosazana Dlamini-Zuma a reconnu que l’Afrique est confrontée à des défis tout au long de son histoire, mais plus organisés et unis nous serons forts et plus court sera le voyage vers le panafricanisme et la renaissance africaine, dira-t-elle. Dr Nkosazana Dlamini-Zuma a ensuite révélé pour le déplorer la situation actuelle au Mali. Elle n’a pas non plus occultée les crises en Somalie, à l’Est de la République Démocratique du Congo, en Guinée Bissau et l’issue fatale de la prise d’otage en Algérie.
Faisant allusion au thème du Sommet, le Secrétaire général de l’ONU, Ban-Ki Moon, a déclaré que le développement est indispensable à la paix et vice-versa. S’agissant de la crise malienne, il a déclaré je cite : « nous sommes résolus à tout faire pour aider le peuple malien à traverser cette épreuve. C’est une obligation morale qui s’impose à l’ensemble de la communauté internationale», fin de citation.
« Je salue la France qui, face au temps de réaction extrêmement long des leaders africains et même de la communauté internationale, a pris les devants pour faire ce que nous aurions dû faire, face au terrorisme international qui menace le Mali, notre sous-région, notre continent et le monde », a martelé le Président en exercice de l’UA, Dr Yayi Boni. Il a ensuite rendu un hommage mérité aux pays qui ont envoyé des troupes au Mali pour sortir ce peuple du bourbier.
Peu avant l’ouverture des travaux, une minute de silence est observée en la mémoire du défunt Président John Atta Mills du Ghana et du Premier Ministre d’Ethiopie, Meles Zenawi. Enfin l’union africaine change de tête, le Président en exercice Dr Boni Yayi a passé le fanion de l’Union africaine et le marteau, symbole de la présidence au Premier éthiopien Haïlé Mariam DESALEGN. C’est sur cette belle image d’alternance entre l’Afrique de l’Ouest et de l’Est que s’est achevée l’ouverture officielle des travaux.
Née sur les cendres de la défunte Organisation de l’Unité africaine (OUA), d’ici quatre mois, c'est-à-dire le 23 mai prochain, l’Union africaine aura 50 ans, 50 ans dans la vie d’une organisation continentale c’est certainement l’âge de la maturité. L’âge de la maturité à notre entendement c’est écrire une autre page glorieuse de l’Afrique où les vocables tels que guerre, rébellion, prise d’otage et famine ne seront que des vieux souvenirs d’où l’importance du thème « Panafricanisme et Renaissance Africaine ».
( Présidence Tchad )