Selon l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), environ 66 millions de femmes souffrent de dépression et de troubles anxieux en Afrique et 85 % d’entre elles n'ont pas accès à un traitement. En effet, seul un pays africain sur cinq a une politique de santé mentale et la plupart consacre moins de 1 % de leur budget de santé au traitement des troubles mentaux. Ainsi, dans des sociétés où la santé mentale est taboue, le personnel soignant insuffisant et les ressources limitées, l’importance de trouver des solutions contextualisées apparait comme une impérieuse nécessité.
Dans ce contexte, la Bluemind Foundation dévoile les résultats d’études croisées menées auprès de 714 femmes et 148 coiffeuses dans sept pays d’Afrique francophone (Togo, Cameroun, Côte d’ivoire, Bénin, Mali, Sénégal et Guinée) et auprès de la diaspora en France. Ce Rapport s’intéresse particulièrement aux femmes, principales victimes des troubles de la santé mentale notamment en raison des violences physiques et psychologiques auxquelles elles sont exposées au quotidien.
Les conclusions du Rapport d’Etudes Croisées Heal by Hair, démontrent qu’il est urgent que soit menée une action collective et concertée autour de la santé mentale en Afrique. Il apparaît aussi qu’en faisant preuve d’audace, de créativité et d’innovation, en tenant compte de l’unicité des sociétés africaines et, surtout, en incluant tou·te·s les acteur·rice.s dans la chaîne de soin, il est possible d’apporter une solution efficace, durable, et à fort impact social.
Les enquêtes de terrain nous apprennent ainsi que des coiffeuses secouristes en santé mentale seraient un facteur de mise en confiance pour les femmes africaines : plus de 6 femmes sur 10 feraient davantage confiance à une coiffeuse secouriste en santé mentale et 91% de coiffeuses sont prêtes à être formées.
« Si la psychiatrie est entrée dans ma vie par effraction et que j’en ai une connaissance intime, je sais aussi qu’il ne devrait y avoir ni honte ni fatalité aux troubles de la santé mentale. Ce sont des maladies comme les autres : elles peuvent se prévenir et se guérir » déclare Marie-Alix de Putter, Fondatrice et Présidente de la Bluemind Fondation. « Les faits sont là. Les chiffres du terrain, aussi. Tout le monde devrait avoir accès à des soins de santé mentale de qualité. Mais, pour 66 millions de femmes en Afrique, ce n'est pas le cas. Nous sommes déterminé·e·s à changer cela en co-construisant des solutions innovantes avec les premières personnes concernées. C’est aussi dans cette perspective que s’inscrivent les 10 recommandations du Rapport d’Etudes Croisées Heal by Hair qui visent à poser les bases d’une démarche collective porteuse d’espoir et de changements durables. »
Dans ce contexte, la Bluemind Foundation dévoile les résultats d’études croisées menées auprès de 714 femmes et 148 coiffeuses dans sept pays d’Afrique francophone (Togo, Cameroun, Côte d’ivoire, Bénin, Mali, Sénégal et Guinée) et auprès de la diaspora en France. Ce Rapport s’intéresse particulièrement aux femmes, principales victimes des troubles de la santé mentale notamment en raison des violences physiques et psychologiques auxquelles elles sont exposées au quotidien.
Les conclusions du Rapport d’Etudes Croisées Heal by Hair, démontrent qu’il est urgent que soit menée une action collective et concertée autour de la santé mentale en Afrique. Il apparaît aussi qu’en faisant preuve d’audace, de créativité et d’innovation, en tenant compte de l’unicité des sociétés africaines et, surtout, en incluant tou·te·s les acteur·rice.s dans la chaîne de soin, il est possible d’apporter une solution efficace, durable, et à fort impact social.
Les enquêtes de terrain nous apprennent ainsi que des coiffeuses secouristes en santé mentale seraient un facteur de mise en confiance pour les femmes africaines : plus de 6 femmes sur 10 feraient davantage confiance à une coiffeuse secouriste en santé mentale et 91% de coiffeuses sont prêtes à être formées.
« Si la psychiatrie est entrée dans ma vie par effraction et que j’en ai une connaissance intime, je sais aussi qu’il ne devrait y avoir ni honte ni fatalité aux troubles de la santé mentale. Ce sont des maladies comme les autres : elles peuvent se prévenir et se guérir » déclare Marie-Alix de Putter, Fondatrice et Présidente de la Bluemind Fondation. « Les faits sont là. Les chiffres du terrain, aussi. Tout le monde devrait avoir accès à des soins de santé mentale de qualité. Mais, pour 66 millions de femmes en Afrique, ce n'est pas le cas. Nous sommes déterminé·e·s à changer cela en co-construisant des solutions innovantes avec les premières personnes concernées. C’est aussi dans cette perspective que s’inscrivent les 10 recommandations du Rapport d’Etudes Croisées Heal by Hair qui visent à poser les bases d’une démarche collective porteuse d’espoir et de changements durables. »