Cela se passe en France, le pays des droits de l'homme et de la démocratie. Une association islamiste dont le fonctionnement est autorisée puis suspendue à la suite de quelques soupçons de nature terroriste qui pèsent sur elle. Bien que accusé "d'association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste", Mohamed Achamlane le chef a été interpellé et déféré à la justice en lui permettant de se défendre par un avocat de son choix. La procédure légale de la loi française a été respectée. Ironie de l'histoire, l'homme s'est présenté devant le tribunal correctionnel de Paris vêtu de noir, avec son éternel collier de barbe, et il ne lui maquait seulement que de brandir l'étendard noir de l'Etat islamique !!!! Malgré tous les chefs d'accusations qui pèsent sur lui, avec de preuves matérielles comme des armes de guerre, un fichier informatique dénommé "cibles", des drapeaux noirs de l'Etat islamique, de documents et autres.., l'homme s'est défendu de toute "inspiration terroriste" à l'ouverture du procès de son groupe Forsane Alizza, lundi 8 juin. Il dit avoir voulu défendre un islam décomplexé victime à de multiples agressions et nie être un raciste ou antisémite. Concernant les armes retrouvées chez lui, il l'avoue que c'est à lui mais il dit qu'elles sont destinées à l'autodéfense face à la multiplication d'attaques islamophobes. "On va se prendre en main. On se sent en insécurité et on ne va pas laisser nos femmes et nos enfants se faire égorger."
Cette manière de juger un supposé terroriste en France et dans les pays occidentaux, en respectant tous ses droits de se défendre, marque la différence avec les pays Arabo-musulmans qui ne respectent aucune loi et qui souvent utilisent toute sorte de techniques de brutalité contre toute personne supposé s'opposer à leur régime, quelquefois sur simple dénonciation de voisinage. Au lieu de perdre leur temps dans des débats oiseux, les pays Arabo-musulmans ne doivent -ils pas suivre l'exemple d'un Occident "mécréant" qui s'offre une justice à neutralité axiologique qui ne dépend pas d'aucune autorité politiques. D'un esprit borné, d'une brutalité extrême et de violation des droits de l'homme perpétrées à l'encontre de leurs supposés opposants, les pays Arabo-musulmans deviennent la machine productrice des extrémistes qui pullulent aujourd'hui la péninsule arabe jusqu'à affecter les pays démocratiques accusés de soutenir les régimes dictatoriaux. Voilà un des exemples qui font la honte de l'Islam lorsque l'éminent Cheikh d'Al-Azhar accuse l'Occident de ne pas être étranger à l'expansion du groupe Etat islamique (EI), dans l'intérêt, dit-il, de fragmenter le monde musulman. Cette déclaration a été faite, mardi 9 juin, a accusé mardi, à l'issue d'un colloque organisé à Florence (centre) sur le thème "Orient et Occident, dialogue et civilisation". Le cheikh de l'université Al-Azhar au Caire, n'a pas encore compris que les dictatures et les répressions dans le Monde arabe sont à l'origine de la création des organisations d'obédience extrémistes.
Alwihda
Abu Adil
Cette manière de juger un supposé terroriste en France et dans les pays occidentaux, en respectant tous ses droits de se défendre, marque la différence avec les pays Arabo-musulmans qui ne respectent aucune loi et qui souvent utilisent toute sorte de techniques de brutalité contre toute personne supposé s'opposer à leur régime, quelquefois sur simple dénonciation de voisinage. Au lieu de perdre leur temps dans des débats oiseux, les pays Arabo-musulmans ne doivent -ils pas suivre l'exemple d'un Occident "mécréant" qui s'offre une justice à neutralité axiologique qui ne dépend pas d'aucune autorité politiques. D'un esprit borné, d'une brutalité extrême et de violation des droits de l'homme perpétrées à l'encontre de leurs supposés opposants, les pays Arabo-musulmans deviennent la machine productrice des extrémistes qui pullulent aujourd'hui la péninsule arabe jusqu'à affecter les pays démocratiques accusés de soutenir les régimes dictatoriaux. Voilà un des exemples qui font la honte de l'Islam lorsque l'éminent Cheikh d'Al-Azhar accuse l'Occident de ne pas être étranger à l'expansion du groupe Etat islamique (EI), dans l'intérêt, dit-il, de fragmenter le monde musulman. Cette déclaration a été faite, mardi 9 juin, a accusé mardi, à l'issue d'un colloque organisé à Florence (centre) sur le thème "Orient et Occident, dialogue et civilisation". Le cheikh de l'université Al-Azhar au Caire, n'a pas encore compris que les dictatures et les répressions dans le Monde arabe sont à l'origine de la création des organisations d'obédience extrémistes.
Alwihda
Abu Adil