Il y a quatre ans, l'écrasante majorité de la population djiboutienne a voté pour la coalition électorale de l’opposition dénommée l'Union pour le Salut National (USN), lors des législatives du 22 févier 2013. Las de près de quatre décennies de dictature, le peuple était déterminé à tourner définitivement la page sombre du pouvoir monolithique et liberticide de Guelleh. D'où le plébiscite populaire du 22 février 2013 en faveur de l'usn. Ce jour-là, le peuple vaillant de Djibouti a clairement manifesté à travers les urnes un rejet total du régime dictatorial de Guelleh et a porté ses voix sur la liste de la coalition de l'opposition. En faisant ce choix, le peuple croyait voter pour le changement. Qu’est-il advenu de ce plébiscite ? Qu'a fait l’opposition djiboutienne du vote franc et massif en leur faveur ?
Nous n'allons pas épiloguer sur le hold-up électoral orchestré par le pouvoir en place, prévisible et inévitable. N'ayant jamais eu l'onction du peuple, la fraude demeure le seul moyen pour ce régime honni par tout un peuple de se maintenir au pouvoir. Faisant fi de l’article 4 de notre constitution qui stipule que « la légitimité populaire est le fondement et la source de tout pouvoir », le dictateur Guelleh est arrivé au pouvoir par le biais d'une dévolution monarchique en 1999 et s'y maintient depuis par la force.
En revanche, il est intéressant de s'attarder sur la gestion de la crise post-électorale par la coalition de l’opposition réunie sous la bannière de l’Union pour le Salut National (USN). Dès l'annonce des résultats tronqués par le pouvoir en place, la rue djiboutienne a rejeté le hold-up électoral et a exigé le respect des résultats sortis des urnes. Pour la première fois dans l'histoire récente de notre pays, le peuple exprime un ras-le-bol de cette pratique d'un autre âge et conteste l'usurpation de leur vote. S'en suit alors une vague de protestations populaires sur tout le territoire. Un mécontentement populaire inédit. Plus que jamais éveillé, le peuple défend mordicus leur souhait d’une alternance démocratique et pacifique au sommet de l’État. Hier n'est pas aujourd'hui et les Djiboutiens sont désormais prêts à tout pour reconquérir leurs droits et leurs libertés longtemps bafoués par une clique mafieuse. Hélas, cette quête populaire bien légitime ne va pas aboutir. Et ce, du fait de l'incurie de l'opposition djiboutienne.
Selon Max Weber, il existe deux péchés mortels en politique : ne défendre aucune cause et l'absence de responsabilité. L'usn n'a pas défendu la cause du peuple de Djibouti, encore moins entendu leurs aspirations profondes. Pire, cette coalition de pacotille a bradé la lutte héroïque des Djiboutiens pour un plat des lentilles. Une trahison qu'elle ne reconnaît pas. Les politicards de l'usn s’exonèrent plutôt de leur félonie et rejettent les responsabilités sur le peuple. Ils sont à la fois traîtres et irresponsables. Les dirigeants de cette coalition félonne ont entraîné des citoyens sincères avec eux pour ensuite les abandonner en rase campagne. Ils ont préféré rallier celui-là même qu'ils étaient censés combattre, à savoir le sanguinaire Guelleh, jetant ainsi aux orties toutes les promesses et les engagements faits au peuple de Djibouti. Entre l'affameur IOG et le peuple affamé, l'usn s'est en effet rangée du côté de l'occupant de beit-el-wali. Une trahison !
Il convient de faire une brève rétrospective de la trahison de cette coalition d'opérette.
Le premier acte de leur trahison remonte au 2 octobre 2012, date à laquelle les trois partis que sont l'ARD, le PND et le PDD décident unilatéralement de participer aux législatives de février 2013 sans le consentement de leurs camarades de l'UAD (Union pour l'Alternance Démocratique) et surtout sans garantie de transparence électorale. Ce trio a crée à cette effet une coalition dénommée « union sacrée pour le changement ». Le 12 janvier 2013, les partis ARD, UDJ, MRD, PND, PDD et MODEL entérinent définitivement la mort de l'UAD et se regroupent sous une nouvelle coalition électorale, l'union pour le saut national (USN). Ils se mettent d'accord pour participer aux législatives du 22 février 2013. Dans leur communiqué du 16 janvier 2013, les membres de cette nouvelle coalition ont pourtant « observé les mauvaises conditions dans lesquelles risquent de se tenir ces élections » et « ont exprimé des sérieux doutes quant à la volonté gouvernementale d'organiser des élections libres te démocratiques ». Mais, cela n'a nullement empêché à cette opposition moribonde de participer à une mascarade où les dés semblaient déjà pipés selon les propres dires. La nouvelle coalition de l'opposition a donc pris part, en toute connaissance de cause, aux législatives de Guelleh. Une inconscience délibérée !
Après le hold-up électoral, le pays a été plongé dans une grave crise socio-politique sans précédent. Une crise qui a lézardé l'édifice de la tyrannie de haramous. En effet, le régime honni de Guelleh qui était à bout de souffle et aux abois a failli être balayé par la bourrasque populaire. Mais qui a colmaté le mur fissuré du despote IOG ? L'usn évidemment. Au lieu d'entendre la puissante aspiration de la population djiboutienne à rompre définitivement avec le régime liberticide de Guelleh, la coalition de l'opposition a plutôt répondu à l'appel au secours du bourreau du peuple. En secourant un pouvoir plus que vacillant, cette coalition composée d’arrivistes notoires, d'infiltrés ou de politicards patentés a endigué la dynamique d'alternance. Un acte d’une félonie sans nom !
Une chose est sûre, l'opposition djiboutienne s'est opposée …. aux aspirations profondes du peuple.
Deux dates sont à retenir pour illustrer la trahison de cette opposition imbécile : le 30 décembre 2014 et le 1er Mars 2015. La première date fut celle où la coalition de pacotille a officiellement pactisé avec le pouvoir en place. Le 30 décembre 2014, l'usn a conclu un accord-cadre aux contours flous avec le tyran Guelleh, sans le consentement du peuple. Cette coalition de pacotille n'a même pas respecté leur propre charte qui stipule dans l'article 35 qu'il est « interdit aux membres de l'union de conclure des alliances avec le pouvoir qu'elle combat ». Une compromission éhontée en bonne et due forme ! Dire que cette coalition vouait aux gémonies le dictateur IOG la veille même de la signature de cet accord-cadre. Comment expliquer leur revirement si ce n'est que leur volte-face est motivé par l’appât du « Casho ». Ce jour-là, même la frange la plus radicale de cette coalition a tourné casaque et a accepté de surseoir à ses revendications pour prendre le train de la mangeoire. Leur reniement est inexplicable d'autant plus que le pouvoir en place n'a fait aucune concession à leur endroit, pas même des reformes d'ordre cosmétiques. Rien ne peut justifier leur renoncement.
Quant à la deuxième date, c'est le jour de l'ultime trahison. Le 1er Mars 2015, l'usn a définitivement tombé son masque et a montré son vrai visage. Un visage de félon. Elle a voté pour le candidat du pouvoir en place, Mohamed Ali Houmed, lors de l'élection du président de la chambre d'enregistrement de Guelleh (le soi-disant parlement). Le candidat d'IOG avait pourtant en face de lui un challenger issu de leur camp, l'honorable Me Zakaria Abdillahi. Qu'à cela ne tienne ! L'USN a refusé de soutenir le candidat de l'opposition et a apporté leur soutien à celui de la coalition gouvernementale. Avec cet acte ignominieux, cette coalition imbécile a perdu, et pour de bon, le qualificatif de l'opposition. Un acte qui a décontenancé le tyran Guelleh him-self. Il a exprimé son étonnement dans ce passage de sa biographie « Ismail Omar Guelleh, une histoire de Djibouti » de Chérif Ouazani : « Le perchoir ne saurait rester vacant (après le décès de son titulaire Idriss Arnaoud Ali en février) plus de 131 jours, selon la constitution et le règlement intérieur de l'Assemblée. L'élection du nouveau président est donc organisée en mars. Fait insolite dans les annales du pays, le candidat de l'UMP au perchoir n'est pas issu du rang du parti majoritaire, le RPP. En effet, la majorité présidentielle présente un candidat du Frud qui occupait la fonction du vice-président de l'Assemblée et qui s'était fait remarquer pendant le laps de temps où il a assuré l'intérim. Il s'agit de Mohamed Ali Houmed, élu de la circonscription de Tadjourah. A la surprise générale, ce dernier fait le plein des voix de l’hémicycle. L'USN donne consigne à ses élus de voter pour le candidat de l'UMP et ne présente pas officiellement de candidat. L'avocat Zakaria Abdillahi passe outre la consigne et fait acte de candidature. Il ne récoltera qu'une seule voix !
Cet épisode restera dans les annales du pays, car c'est la première fois que l'opposition vote, presque à l'unanimité, pour un candidat du pouvoir. »
Au sein de l'usn, il faut savoir que tous ont été, un moment ou un autre, des pirouettes. Toute la clique sans exception. Qu'est-ce qu'une pirouette ?
Dans le dictionnaire des Girouettes, on peut y lire la définition suivante : « Il y a girouette et girouette. L'une tourne naturellement avec facilité au premier vent ; une autre a tourné quelque fois par hasard ; une autre enfin, plus ferme sur son pivot, résolue à ne jamais dévier, a cependant été obligé de céder à ces coups de vent qui ressemblent à une bourrasque et qui l'ont fait tourner pour ainsi dire malgré elle. »
La conduite oblique, la violation des serments, la lâcheté, la trahison, la bassesse, telles sont les manifestations observées par tout un chacun chez les politicards vils de l'usn.
Pour conclure, l'extrême déloyauté des membres de cette coalition à l'égard du peuple n'est plus à démontrer. Par conséquent, le peuple ne peut compter sur une clique politicarde démissionnaire, fossoyeuse des espérances des Djiboutiens, émasculée qui a intégré le multiguellisme. Il doit, au contraire, juger les membres de l'usn pour haute trahison et intelligence avec l'ennemi.
Nous n'allons pas épiloguer sur le hold-up électoral orchestré par le pouvoir en place, prévisible et inévitable. N'ayant jamais eu l'onction du peuple, la fraude demeure le seul moyen pour ce régime honni par tout un peuple de se maintenir au pouvoir. Faisant fi de l’article 4 de notre constitution qui stipule que « la légitimité populaire est le fondement et la source de tout pouvoir », le dictateur Guelleh est arrivé au pouvoir par le biais d'une dévolution monarchique en 1999 et s'y maintient depuis par la force.
En revanche, il est intéressant de s'attarder sur la gestion de la crise post-électorale par la coalition de l’opposition réunie sous la bannière de l’Union pour le Salut National (USN). Dès l'annonce des résultats tronqués par le pouvoir en place, la rue djiboutienne a rejeté le hold-up électoral et a exigé le respect des résultats sortis des urnes. Pour la première fois dans l'histoire récente de notre pays, le peuple exprime un ras-le-bol de cette pratique d'un autre âge et conteste l'usurpation de leur vote. S'en suit alors une vague de protestations populaires sur tout le territoire. Un mécontentement populaire inédit. Plus que jamais éveillé, le peuple défend mordicus leur souhait d’une alternance démocratique et pacifique au sommet de l’État. Hier n'est pas aujourd'hui et les Djiboutiens sont désormais prêts à tout pour reconquérir leurs droits et leurs libertés longtemps bafoués par une clique mafieuse. Hélas, cette quête populaire bien légitime ne va pas aboutir. Et ce, du fait de l'incurie de l'opposition djiboutienne.
Selon Max Weber, il existe deux péchés mortels en politique : ne défendre aucune cause et l'absence de responsabilité. L'usn n'a pas défendu la cause du peuple de Djibouti, encore moins entendu leurs aspirations profondes. Pire, cette coalition de pacotille a bradé la lutte héroïque des Djiboutiens pour un plat des lentilles. Une trahison qu'elle ne reconnaît pas. Les politicards de l'usn s’exonèrent plutôt de leur félonie et rejettent les responsabilités sur le peuple. Ils sont à la fois traîtres et irresponsables. Les dirigeants de cette coalition félonne ont entraîné des citoyens sincères avec eux pour ensuite les abandonner en rase campagne. Ils ont préféré rallier celui-là même qu'ils étaient censés combattre, à savoir le sanguinaire Guelleh, jetant ainsi aux orties toutes les promesses et les engagements faits au peuple de Djibouti. Entre l'affameur IOG et le peuple affamé, l'usn s'est en effet rangée du côté de l'occupant de beit-el-wali. Une trahison !
Il convient de faire une brève rétrospective de la trahison de cette coalition d'opérette.
Le premier acte de leur trahison remonte au 2 octobre 2012, date à laquelle les trois partis que sont l'ARD, le PND et le PDD décident unilatéralement de participer aux législatives de février 2013 sans le consentement de leurs camarades de l'UAD (Union pour l'Alternance Démocratique) et surtout sans garantie de transparence électorale. Ce trio a crée à cette effet une coalition dénommée « union sacrée pour le changement ». Le 12 janvier 2013, les partis ARD, UDJ, MRD, PND, PDD et MODEL entérinent définitivement la mort de l'UAD et se regroupent sous une nouvelle coalition électorale, l'union pour le saut national (USN). Ils se mettent d'accord pour participer aux législatives du 22 février 2013. Dans leur communiqué du 16 janvier 2013, les membres de cette nouvelle coalition ont pourtant « observé les mauvaises conditions dans lesquelles risquent de se tenir ces élections » et « ont exprimé des sérieux doutes quant à la volonté gouvernementale d'organiser des élections libres te démocratiques ». Mais, cela n'a nullement empêché à cette opposition moribonde de participer à une mascarade où les dés semblaient déjà pipés selon les propres dires. La nouvelle coalition de l'opposition a donc pris part, en toute connaissance de cause, aux législatives de Guelleh. Une inconscience délibérée !
Après le hold-up électoral, le pays a été plongé dans une grave crise socio-politique sans précédent. Une crise qui a lézardé l'édifice de la tyrannie de haramous. En effet, le régime honni de Guelleh qui était à bout de souffle et aux abois a failli être balayé par la bourrasque populaire. Mais qui a colmaté le mur fissuré du despote IOG ? L'usn évidemment. Au lieu d'entendre la puissante aspiration de la population djiboutienne à rompre définitivement avec le régime liberticide de Guelleh, la coalition de l'opposition a plutôt répondu à l'appel au secours du bourreau du peuple. En secourant un pouvoir plus que vacillant, cette coalition composée d’arrivistes notoires, d'infiltrés ou de politicards patentés a endigué la dynamique d'alternance. Un acte d’une félonie sans nom !
Une chose est sûre, l'opposition djiboutienne s'est opposée …. aux aspirations profondes du peuple.
Deux dates sont à retenir pour illustrer la trahison de cette opposition imbécile : le 30 décembre 2014 et le 1er Mars 2015. La première date fut celle où la coalition de pacotille a officiellement pactisé avec le pouvoir en place. Le 30 décembre 2014, l'usn a conclu un accord-cadre aux contours flous avec le tyran Guelleh, sans le consentement du peuple. Cette coalition de pacotille n'a même pas respecté leur propre charte qui stipule dans l'article 35 qu'il est « interdit aux membres de l'union de conclure des alliances avec le pouvoir qu'elle combat ». Une compromission éhontée en bonne et due forme ! Dire que cette coalition vouait aux gémonies le dictateur IOG la veille même de la signature de cet accord-cadre. Comment expliquer leur revirement si ce n'est que leur volte-face est motivé par l’appât du « Casho ». Ce jour-là, même la frange la plus radicale de cette coalition a tourné casaque et a accepté de surseoir à ses revendications pour prendre le train de la mangeoire. Leur reniement est inexplicable d'autant plus que le pouvoir en place n'a fait aucune concession à leur endroit, pas même des reformes d'ordre cosmétiques. Rien ne peut justifier leur renoncement.
Quant à la deuxième date, c'est le jour de l'ultime trahison. Le 1er Mars 2015, l'usn a définitivement tombé son masque et a montré son vrai visage. Un visage de félon. Elle a voté pour le candidat du pouvoir en place, Mohamed Ali Houmed, lors de l'élection du président de la chambre d'enregistrement de Guelleh (le soi-disant parlement). Le candidat d'IOG avait pourtant en face de lui un challenger issu de leur camp, l'honorable Me Zakaria Abdillahi. Qu'à cela ne tienne ! L'USN a refusé de soutenir le candidat de l'opposition et a apporté leur soutien à celui de la coalition gouvernementale. Avec cet acte ignominieux, cette coalition imbécile a perdu, et pour de bon, le qualificatif de l'opposition. Un acte qui a décontenancé le tyran Guelleh him-self. Il a exprimé son étonnement dans ce passage de sa biographie « Ismail Omar Guelleh, une histoire de Djibouti » de Chérif Ouazani : « Le perchoir ne saurait rester vacant (après le décès de son titulaire Idriss Arnaoud Ali en février) plus de 131 jours, selon la constitution et le règlement intérieur de l'Assemblée. L'élection du nouveau président est donc organisée en mars. Fait insolite dans les annales du pays, le candidat de l'UMP au perchoir n'est pas issu du rang du parti majoritaire, le RPP. En effet, la majorité présidentielle présente un candidat du Frud qui occupait la fonction du vice-président de l'Assemblée et qui s'était fait remarquer pendant le laps de temps où il a assuré l'intérim. Il s'agit de Mohamed Ali Houmed, élu de la circonscription de Tadjourah. A la surprise générale, ce dernier fait le plein des voix de l’hémicycle. L'USN donne consigne à ses élus de voter pour le candidat de l'UMP et ne présente pas officiellement de candidat. L'avocat Zakaria Abdillahi passe outre la consigne et fait acte de candidature. Il ne récoltera qu'une seule voix !
Cet épisode restera dans les annales du pays, car c'est la première fois que l'opposition vote, presque à l'unanimité, pour un candidat du pouvoir. »
Au sein de l'usn, il faut savoir que tous ont été, un moment ou un autre, des pirouettes. Toute la clique sans exception. Qu'est-ce qu'une pirouette ?
Dans le dictionnaire des Girouettes, on peut y lire la définition suivante : « Il y a girouette et girouette. L'une tourne naturellement avec facilité au premier vent ; une autre a tourné quelque fois par hasard ; une autre enfin, plus ferme sur son pivot, résolue à ne jamais dévier, a cependant été obligé de céder à ces coups de vent qui ressemblent à une bourrasque et qui l'ont fait tourner pour ainsi dire malgré elle. »
La conduite oblique, la violation des serments, la lâcheté, la trahison, la bassesse, telles sont les manifestations observées par tout un chacun chez les politicards vils de l'usn.
Pour conclure, l'extrême déloyauté des membres de cette coalition à l'égard du peuple n'est plus à démontrer. Par conséquent, le peuple ne peut compter sur une clique politicarde démissionnaire, fossoyeuse des espérances des Djiboutiens, émasculée qui a intégré le multiguellisme. Il doit, au contraire, juger les membres de l'usn pour haute trahison et intelligence avec l'ennemi.