Élu président de l’Association des Comités Nationaux Olympiques d’Afrique Zone 4 (ACNOA Zone 4), Idriss Dokony Adiker a exprimé sa gratitude et ses ambitions lors de sa première déclaration à la presse. Il a salué la sagesse de ses collègues, notamment celle de son homologue gabonais, et a affirmé son engagement à impulser un nouveau dynamisme au sport, à la fois au Tchad et dans la région.
Idriss Dokony Adiker a déclaré : « Nous commençons aujourd’hui une nouvelle ère pour le sport au Tchad et dans la Zone 4. Diriger une telle institution exige responsabilité et engagement pour développer le sport dans nos pays. »
Il a souligné l’importance de convaincre le gouvernement tchadien d’accorder une attention particulière au sport, qu’il considère comme un levier essentiel pour le développement national.
Le sport, un vecteur de développement national
Idriss Dokony Adiker a rappelé que le sport est un véritable vecteur de développement, citant en exemple les efforts récents du Premier ministre qui a visité le stade de Mandjafa, ainsi que la place du sport dans les priorités du chef de l’État.
« Il n’y a aucune raison que le Tchad soit en retard en matière de développement sportif, surtout dans la région. Dans les années 1960 et 1970, le Tchad excellait dans plusieurs disciplines. Des figures emblématiques comme Paul Kadjadoum, champion d’Afrique en saut, ou encore Kaltouma Nadjina dans les années 2000, ont fait la fierté de notre pays. »
Selon lui, le potentiel sportif du Tchad est immense, mais il nécessite une politique nationale cohérente et un soutien accru de l’État aux fédérations sportives nationales.
Appel à une politique nationale pour les sports
Le président de l’ACNOA Zone 4 a insisté sur l’urgence de mettre en place une politique nationale dédiée au développement des sports. Il a exprimé son désarroi face à l’absence d’infrastructures adéquates, comme une piste d’athlétisme ou des conditions optimales pour constituer une équipe nationale de football compétitive.
Idriss Dokony Adiker s’est dit déterminé à utiliser son mandat pour redonner au sport tchadien et régional la place qu’il mérite. Il a conclu en affirmant son engagement à travailler avec ses collègues pour bâtir une dynamique sportive forte et durable, tant au niveau national que continental.
Idriss Dokony Adiker a déclaré : « Nous commençons aujourd’hui une nouvelle ère pour le sport au Tchad et dans la Zone 4. Diriger une telle institution exige responsabilité et engagement pour développer le sport dans nos pays. »
Il a souligné l’importance de convaincre le gouvernement tchadien d’accorder une attention particulière au sport, qu’il considère comme un levier essentiel pour le développement national.
Le sport, un vecteur de développement national
Idriss Dokony Adiker a rappelé que le sport est un véritable vecteur de développement, citant en exemple les efforts récents du Premier ministre qui a visité le stade de Mandjafa, ainsi que la place du sport dans les priorités du chef de l’État.
« Il n’y a aucune raison que le Tchad soit en retard en matière de développement sportif, surtout dans la région. Dans les années 1960 et 1970, le Tchad excellait dans plusieurs disciplines. Des figures emblématiques comme Paul Kadjadoum, champion d’Afrique en saut, ou encore Kaltouma Nadjina dans les années 2000, ont fait la fierté de notre pays. »
Selon lui, le potentiel sportif du Tchad est immense, mais il nécessite une politique nationale cohérente et un soutien accru de l’État aux fédérations sportives nationales.
Appel à une politique nationale pour les sports
Le président de l’ACNOA Zone 4 a insisté sur l’urgence de mettre en place une politique nationale dédiée au développement des sports. Il a exprimé son désarroi face à l’absence d’infrastructures adéquates, comme une piste d’athlétisme ou des conditions optimales pour constituer une équipe nationale de football compétitive.
« Cela nous écœure de voir nos athlètes incapables d’exceller alors qu’ils ont le potentiel. Nous devons agir pour offrir aux jeunes les moyens nécessaires pour briller. Le sport doit devenir une priorité nationale. »
Idriss Dokony Adiker s’est dit déterminé à utiliser son mandat pour redonner au sport tchadien et régional la place qu’il mérite. Il a conclu en affirmant son engagement à travailler avec ses collègues pour bâtir une dynamique sportive forte et durable, tant au niveau national que continental.