TCHAD - Laissé à l'écart de la scène politique depuis un bon moment, Adoum Younousmi reprend en main le portefeuille des Infrastructures qu'il a dirigé pendant plusieurs années. Plusieurs motivations ont amenés le chef de l'Etat à ramener celui qui avait entre-temps arracher le poste d'Ambassadeur chargé de la préparation et l’organisation du 21ème sommet de l’Union africaine en 2015 à N’Djamena. En réalité, Younousmi était redevenu ministre depuis février 2013 mais de l'ombre car le décret précisait qu'il avait rang, avantages et prérogatives de ministre.
Des infrastructures aux arrêts
Dans la capitale comme dans les provinces, nombreux sont les projets qui sont figés ; Les entreprises commencent les travaux de constructions mais ne finissent pas. "Le problème vient du ministère, on nous verse une partie de l'argent et pour avoir le reste c'est tout un combat", souligne un chef d'une société. Du côté du ministère, même si on reconnait la faute, elle incombe dans tout les cas aux finances car c'est eux qui répartissent l'enveloppe financière tandis que l'ordonnateur des dépenses se retrouve entre le marteau et l'enclume.
La qualité des constructions remises en causes
Que ce soit dans les constructions de routes ou de bâtiments publics, la vitesse de dégradation est spectaculaire, le constat est évident à l’œil nu via -entre-autres- toutes les fissures. Le plus déplorant est que tout s'arrange à coups de "pots-de-vin", quitte à sacrifier l'avenir du pays et la nouvelle génération.
Des infrastructures aux arrêts
Dans la capitale comme dans les provinces, nombreux sont les projets qui sont figés ; Les entreprises commencent les travaux de constructions mais ne finissent pas. "Le problème vient du ministère, on nous verse une partie de l'argent et pour avoir le reste c'est tout un combat", souligne un chef d'une société. Du côté du ministère, même si on reconnait la faute, elle incombe dans tout les cas aux finances car c'est eux qui répartissent l'enveloppe financière tandis que l'ordonnateur des dépenses se retrouve entre le marteau et l'enclume.
La qualité des constructions remises en causes
Que ce soit dans les constructions de routes ou de bâtiments publics, la vitesse de dégradation est spectaculaire, le constat est évident à l’œil nu via -entre-autres- toutes les fissures. Le plus déplorant est que tout s'arrange à coups de "pots-de-vin", quitte à sacrifier l'avenir du pays et la nouvelle génération.