© Reuters Militaires maliens à l'assaut de la mairie de Gao, jeudi.
Les medias internationaux vont-ils le lit au banditisme qui emprunte la parabole de l’islam pour s’attirer l’adhésion des populations locales? Narcotrafiquants, kidnappeurs contre rançon, pirate des temps modernes, repris de justice, etc. ces individus qui avaient trouvés la corde sensible des populations majoritairement musulmanes dans leur zone d’activité, reçoive également des appuis médiatiques et non des moindre de la presse occidentale dotée des moyens considérables et qui martèle à tout azimut « les faits d’arme » de ces trafiquants de drogue. Ils se frottent les mains de l’aubaine et des opportunités que leur offrent les agences de presse internationale. Ce qui ne laisse pas insensible les populations musulmanes qui adhèrent tacitement au « jihad » déclenché contre les incroyants et les « impurs ».
Allant dans la même lancée de la campagne faite aux narcotrafiquants, nous nous posons la question sur les motivations d’un blog tchadien qui sa farouche recherche de notoriété forcée en distillant des informations fantaisistes et mensongères en écrivant noir sur blanc toute honte bue, qu’en date du 08 février 2013, des soldats tchadiens envoyés au Mali étaient tombés sur un champ de mines, occasionnant 50 décès du coté de nos forces combattants engagés dans la lutte contre la barbarie et l’obscurantisme. Il est tout a fait inadmissible et grossier d’agir pour des intérêts occultes en faisant l’apologie de la haine et de la sauvagerie dont vont montre les insurgés au nord Mali qui n’avaient pas hésités à détruire des symboles chargés d’histoire et de signification.
Détruire de manuscrits, des mausolées et des vies, c’est ça que la blogosphère tchadienne doit combatte et non vomir des âneries contre des soldats qui offrent leur vie pour défendre la barbarie humaine prônée par un groupe de trafiquants, de violeurs, d’égorgeurs et de kidnappeurs cachés sous la bannière de l’islamiste, sapant ainsi l’image de cette religion de tolérance dont la majorité de ses adeptes est contre l’apologie de la violence et le règne de la haine. Il est tout à fait incompréhensible que des sites et leurs administrateurs dans leur haine incurable contre le gouvernement refusent de condamner et de donner un nom aux insurgés du nord Mali. Ces derniers ne sont en réalité que des bandits de grand chemin vivant des rackettes, des trafiques, des enlèvements et bien d’autres activités illégales. Se disant défenseurs de l’islam, ces individus n’hésitaient pas à violer des pauvres femmes et fillettes, à vivre des fruits du trafique de la drogue, des rançons et de la contrebande de la cigarette; des actes contraires aux préceptes de l’islam qui condamnent toutes ces pratiques.
Même si ces sites tchadiens refusent de condamner les actes de barbarie pour mieux pourfendre le gouvernement dans son intervention au Mali, nous disons que les défenseurs de l’information véridique et de la lutte contre la sauvagerie et la barbarie se comptent par centaines de millions de part le monde. La présence des forces gouvernementales au Mali ne sera jamais sera jusqu’à preuve du contre condamnée par la majorité de personnes vouant une répulsion inextinguible contre les haines raciale, confessionnelle ou idéologique. Ceux-là mêmes qui désapprouvent la violence, la barbarie, la sauvagerie et la désinformation comme fond de commerce. Des fumistes à la faculté détériorée et victimes de la psycho-paranoïaque. C’est en cessant d’appeler ces gens comme de Jihadistes, des islamistes et des « fous de Dieu » qu’on parviendra à le mettre dans leurs vraies appellations : des bandits, des narcotrafiquants, des contrebandiers, des fraudeurs, des violeurs, des kidnappeurs et des repris de justice.
Moussa Guetane Moussa
Allant dans la même lancée de la campagne faite aux narcotrafiquants, nous nous posons la question sur les motivations d’un blog tchadien qui sa farouche recherche de notoriété forcée en distillant des informations fantaisistes et mensongères en écrivant noir sur blanc toute honte bue, qu’en date du 08 février 2013, des soldats tchadiens envoyés au Mali étaient tombés sur un champ de mines, occasionnant 50 décès du coté de nos forces combattants engagés dans la lutte contre la barbarie et l’obscurantisme. Il est tout a fait inadmissible et grossier d’agir pour des intérêts occultes en faisant l’apologie de la haine et de la sauvagerie dont vont montre les insurgés au nord Mali qui n’avaient pas hésités à détruire des symboles chargés d’histoire et de signification.
Détruire de manuscrits, des mausolées et des vies, c’est ça que la blogosphère tchadienne doit combatte et non vomir des âneries contre des soldats qui offrent leur vie pour défendre la barbarie humaine prônée par un groupe de trafiquants, de violeurs, d’égorgeurs et de kidnappeurs cachés sous la bannière de l’islamiste, sapant ainsi l’image de cette religion de tolérance dont la majorité de ses adeptes est contre l’apologie de la violence et le règne de la haine. Il est tout à fait incompréhensible que des sites et leurs administrateurs dans leur haine incurable contre le gouvernement refusent de condamner et de donner un nom aux insurgés du nord Mali. Ces derniers ne sont en réalité que des bandits de grand chemin vivant des rackettes, des trafiques, des enlèvements et bien d’autres activités illégales. Se disant défenseurs de l’islam, ces individus n’hésitaient pas à violer des pauvres femmes et fillettes, à vivre des fruits du trafique de la drogue, des rançons et de la contrebande de la cigarette; des actes contraires aux préceptes de l’islam qui condamnent toutes ces pratiques.
Même si ces sites tchadiens refusent de condamner les actes de barbarie pour mieux pourfendre le gouvernement dans son intervention au Mali, nous disons que les défenseurs de l’information véridique et de la lutte contre la sauvagerie et la barbarie se comptent par centaines de millions de part le monde. La présence des forces gouvernementales au Mali ne sera jamais sera jusqu’à preuve du contre condamnée par la majorité de personnes vouant une répulsion inextinguible contre les haines raciale, confessionnelle ou idéologique. Ceux-là mêmes qui désapprouvent la violence, la barbarie, la sauvagerie et la désinformation comme fond de commerce. Des fumistes à la faculté détériorée et victimes de la psycho-paranoïaque. C’est en cessant d’appeler ces gens comme de Jihadistes, des islamistes et des « fous de Dieu » qu’on parviendra à le mettre dans leurs vraies appellations : des bandits, des narcotrafiquants, des contrebandiers, des fraudeurs, des violeurs, des kidnappeurs et des repris de justice.
Moussa Guetane Moussa