L’ADHET accuse Amnesty International d’avoir produit un rapport mensonger sur le Tchad. Alwihda Info/D.W.
Le secrétaire général de l'Alliance des Défenseurs des Droits Humains et de l'Environnement au Tchad (ADHET), Abba Daoud Nandjele a fait ce samedi 28 octobre 2017, un point de presse pour annoncer la rentrée sociale et les actions à mener pour l'année 2018.
Une rentrée qui se veut très engagée tant sur le plan des droits humains que celui de la protection de l'environnement, dans la mesure où le contexte socio-économique et politique du moment nécessite une surveillance soutenue et des actions adéquates.
L'Alliance des Défenseurs des Droits Humains et de l'Environnement au Tchad (ADHET) annonce l’organisation d'un forum national sur la cohésion nationale qui se tiendra en décembre à N'Djamena. Les activités en prélude vont débuter en novembre.
Ce forum va être soutenu par des fora régionaux qui vont réimprimer les conclusions et les disséminer dans l'intérieur du pays pour contribuer à l'ancrage de la paix et au vivre ensemble par l'apport de tous.
Par ailleurs, elle entend renforcer son système d'alerte, de veille et intensifier ses actions en matière d’éducation environnementale et de protection de l'environnement dans les localités placées sous surveillance.
L'Alliance des Défenseurs des Droits Humains et de l'Environnement au Tchad (ADHET) entend mettre en œuvre pour l'année 2018 la formation des points focaux sur les techniques d'information et de sensibilisation, le respect des droits de l'Homme et de l'environnement.
En outre, l'ADHET déplore des incidents malheureux au dernier trimestre de l'année 2017 entre un conflit foncier ayant occasionné onze morts et plusieurs blessés, des affrontements communautaires meurtriers dans la région du Tibesti et le conflit meurtrier dans la partie méridionales. Cela est dû à l'absence de mécanismes adéquats d'alerte, de prévoyance, de règlement des conflits communautaires et l'absence d'un code foncier, d'après elle.
Le secrétaire général de l'Alliance des Défenseurs des Droits Humains et de l'Environnement au Tchad (ADHET), Abba Daoud Nandjele appelle le gouvernement en tant que pouvoir public, les associations en tant que force sociale, les religieux en tant qu'autorité, et les chefs traditionnels en leur qualité d'autorité traditionnelle à une synergie dynamisante à l'effet d'agir en urgence pour préserver la cohésion sociale et l'unité de la nation.
Il a salué l'action du gouvernement dans le cadre de la coopération qui a abouti à la signature des protocoles d'accord signé le 8 octobre entre le Tchad et l'Afrique du Sud pour la réintroduction des rhinocéros noirs.
« Il est excessivement malencontreux et complètement absurde d'envisager de replonger le pays dans la guerre pour encore endeuiller des familles, laisser des enfants orphelins, des femmes veuves, des personnes blessées, contraindre les cerveaux qui se font rares en exil, remettre les institutions en cause et avec, le pays en lambeaux. Par voie de conséquence, nous invitons le gouvernement à tout mettre en œuvre pour éviter au pays cette situation », martèle le Secrétaire général de l'ADHET.
L'Alliance des Défenseurs des Droits Humains et de l'Environnement au Tchad (ADHET) souligne que la publication du rapport d'Amnesty International sur le Tchad met en cause le travail laborieux qu'abattent les Associations tchadiennes des Droits de l'Homme pour l'amélioration de la situation à travers plusieurs projets que financent les partenaires, et des résultats probants.
D'après l'ADHET, publier une telle image avec un tel titre, c'est anéantir les efforts des ADH locales ainsi que les efforts du gouvernement. « Cette image mensongère avec ce titre alléchant et aux antipodes des réalités vont trouver réponse prochainement avec une publication alternative de l'ADHET », prévient Abba Daoud Nandjele.
Une rentrée qui se veut très engagée tant sur le plan des droits humains que celui de la protection de l'environnement, dans la mesure où le contexte socio-économique et politique du moment nécessite une surveillance soutenue et des actions adéquates.
L'Alliance des Défenseurs des Droits Humains et de l'Environnement au Tchad (ADHET) annonce l’organisation d'un forum national sur la cohésion nationale qui se tiendra en décembre à N'Djamena. Les activités en prélude vont débuter en novembre.
Ce forum va être soutenu par des fora régionaux qui vont réimprimer les conclusions et les disséminer dans l'intérieur du pays pour contribuer à l'ancrage de la paix et au vivre ensemble par l'apport de tous.
Par ailleurs, elle entend renforcer son système d'alerte, de veille et intensifier ses actions en matière d’éducation environnementale et de protection de l'environnement dans les localités placées sous surveillance.
L'Alliance des Défenseurs des Droits Humains et de l'Environnement au Tchad (ADHET) entend mettre en œuvre pour l'année 2018 la formation des points focaux sur les techniques d'information et de sensibilisation, le respect des droits de l'Homme et de l'environnement.
En outre, l'ADHET déplore des incidents malheureux au dernier trimestre de l'année 2017 entre un conflit foncier ayant occasionné onze morts et plusieurs blessés, des affrontements communautaires meurtriers dans la région du Tibesti et le conflit meurtrier dans la partie méridionales. Cela est dû à l'absence de mécanismes adéquats d'alerte, de prévoyance, de règlement des conflits communautaires et l'absence d'un code foncier, d'après elle.
Le secrétaire général de l'Alliance des Défenseurs des Droits Humains et de l'Environnement au Tchad (ADHET), Abba Daoud Nandjele appelle le gouvernement en tant que pouvoir public, les associations en tant que force sociale, les religieux en tant qu'autorité, et les chefs traditionnels en leur qualité d'autorité traditionnelle à une synergie dynamisante à l'effet d'agir en urgence pour préserver la cohésion sociale et l'unité de la nation.
Il a salué l'action du gouvernement dans le cadre de la coopération qui a abouti à la signature des protocoles d'accord signé le 8 octobre entre le Tchad et l'Afrique du Sud pour la réintroduction des rhinocéros noirs.
« Il est excessivement malencontreux et complètement absurde d'envisager de replonger le pays dans la guerre pour encore endeuiller des familles, laisser des enfants orphelins, des femmes veuves, des personnes blessées, contraindre les cerveaux qui se font rares en exil, remettre les institutions en cause et avec, le pays en lambeaux. Par voie de conséquence, nous invitons le gouvernement à tout mettre en œuvre pour éviter au pays cette situation », martèle le Secrétaire général de l'ADHET.
L'Alliance des Défenseurs des Droits Humains et de l'Environnement au Tchad (ADHET) souligne que la publication du rapport d'Amnesty International sur le Tchad met en cause le travail laborieux qu'abattent les Associations tchadiennes des Droits de l'Homme pour l'amélioration de la situation à travers plusieurs projets que financent les partenaires, et des résultats probants.
D'après l'ADHET, publier une telle image avec un tel titre, c'est anéantir les efforts des ADH locales ainsi que les efforts du gouvernement. « Cette image mensongère avec ce titre alléchant et aux antipodes des réalités vont trouver réponse prochainement avec une publication alternative de l'ADHET », prévient Abba Daoud Nandjele.