
L'ATAP déplore ces pratiques qui remettent en cause non seulement la liberté de la presse et d'expression, mais aussi, et surtout, le rôle et la responsabilité du journaliste d’éclairer l’opinion sur des sujets importants contribuant ainsi à la bonne marche du pays.
Elle exprime également son indignation face au fait que, quelle que soit la faute commise – en l'absence de crime ou de flagrant délit – un journaliste ne devrait pas être arrêté ni incarcéré dans de telles conditions, comme c’est le cas pour le directeur du journal Le Pays et le reporter de l’ONAMA. Les journalistes ne sont pas des ennemis du pays, bien au contraire : ils en sont des citoyens engagés, passionnés et soucieux du bien-être de la nation.
L'Association Tchadienne des Amis de la Presse interpelle les plus hautes autorités du pays, en particulier le Chef de l'État, Maréchal Mahamat Idriss Déby Itno, garant de la magistrature suprême du Tchad, afin qu'il s’investisse personnellement pour la libération de nos confrères Monodji Mbaindiguim Olivier et Mahamat Hissein Ali.
Elle exprime également son indignation face au fait que, quelle que soit la faute commise – en l'absence de crime ou de flagrant délit – un journaliste ne devrait pas être arrêté ni incarcéré dans de telles conditions, comme c’est le cas pour le directeur du journal Le Pays et le reporter de l’ONAMA. Les journalistes ne sont pas des ennemis du pays, bien au contraire : ils en sont des citoyens engagés, passionnés et soucieux du bien-être de la nation.
L'Association Tchadienne des Amis de la Presse interpelle les plus hautes autorités du pays, en particulier le Chef de l'État, Maréchal Mahamat Idriss Déby Itno, garant de la magistrature suprême du Tchad, afin qu'il s’investisse personnellement pour la libération de nos confrères Monodji Mbaindiguim Olivier et Mahamat Hissein Ali.