• Les forces d'Al-Assad battent en retraite. D'après l'OSDH, les troupes du régime syrien se sont retirées de toutes leurs positions dans et à la périphérie de Palmyre, notamment des renseignements militaires de toute la Badiya (désert syrien), l'aéroport militaire et la prison dans lesquels les jihadistes de l'EI se sont introduits dans la nuit.
• Inquiétude sur le site archéologique. Le contrôle de l'EI de cette ville vieille de plus de 2000 ans fait craindre une destruction des célèbres vestiges connus pour leurs colonnes romaines torsadées et leurs tours funéraires. Le site archéologique se situe près de la branche des renseignements militaires conquise par les jihadistes.
• La quasi-totalité du pétrole aux mains des jihadistes. Avec la prise de Palmyre, qui ouvre sur le grand désert syrien frontalier de l'Irak, l'EI contrôle "désormais plus de 95 000 km2 en Syrie, soit 50% du territoire du pays", selon l'OSDH. En outre, le groupe est désormais maître de la quasi-totalité des champs pétroliers et gaziers de Syrie après la prise de deux champs gaziers ces derniers jours, dans la périphérie de la ville.
• Inquiétude sur le site archéologique. Le contrôle de l'EI de cette ville vieille de plus de 2000 ans fait craindre une destruction des célèbres vestiges connus pour leurs colonnes romaines torsadées et leurs tours funéraires. Le site archéologique se situe près de la branche des renseignements militaires conquise par les jihadistes.
• La quasi-totalité du pétrole aux mains des jihadistes. Avec la prise de Palmyre, qui ouvre sur le grand désert syrien frontalier de l'Irak, l'EI contrôle "désormais plus de 95 000 km2 en Syrie, soit 50% du territoire du pays", selon l'OSDH. En outre, le groupe est désormais maître de la quasi-totalité des champs pétroliers et gaziers de Syrie après la prise de deux champs gaziers ces derniers jours, dans la périphérie de la ville.