Cette conférence de presse met en évidence la problématique du terrorisme islamiste et tente de l'expliquer par le biais des éléments affectifs en se focalisant sur la lecture quantitative et complotiste.
La lecture quantitative met en exergue le phénomène du terrorisme islamiste causés par des facteurs politiques, économiques et culturels qui se résument par la pauvreté, le manque d'instruction, le lavage de cerveau, le chômage, la souffrance de la privation sexuelle, le fondamentalisme islamiste et le sous-développement dans certains pays arabes devenant un terreau facile de candidats au Jihad.
La lecture complotiste très répandue dans les milieux musulmans révèle que le terrorisme est une initiative orchestrée par les puissances occidentales dans le but de détruire l'Islam et les musulmans en focalisant le débat sur la logistique, l'expertise et le flux financier de la nébuleuse terroriste.
L'enseignant-chercheur, Dr. Sali Bakari soutient que les sciences humaines sont aujourd'hui marquées par une forte tendance à ignorer le rôle des sentiments en tant que facteurs déterminants de la conflictualité avant d'expliquer que la plupart des études sur les guerres s'attache aux motivations d'ordre matériel, les sentiments affectifs notamment la honte, la colère qui sont relégués à l'arrière plan et abordés comme symptôme de l'irrationalité faisant allusion au parcours des leaders terroristes internationaux.
La lecture quantitative met en exergue le phénomène du terrorisme islamiste causés par des facteurs politiques, économiques et culturels qui se résument par la pauvreté, le manque d'instruction, le lavage de cerveau, le chômage, la souffrance de la privation sexuelle, le fondamentalisme islamiste et le sous-développement dans certains pays arabes devenant un terreau facile de candidats au Jihad.
La lecture complotiste très répandue dans les milieux musulmans révèle que le terrorisme est une initiative orchestrée par les puissances occidentales dans le but de détruire l'Islam et les musulmans en focalisant le débat sur la logistique, l'expertise et le flux financier de la nébuleuse terroriste.
L'enseignant-chercheur, Dr. Sali Bakari soutient que les sciences humaines sont aujourd'hui marquées par une forte tendance à ignorer le rôle des sentiments en tant que facteurs déterminants de la conflictualité avant d'expliquer que la plupart des études sur les guerres s'attache aux motivations d'ordre matériel, les sentiments affectifs notamment la honte, la colère qui sont relégués à l'arrière plan et abordés comme symptôme de l'irrationalité faisant allusion au parcours des leaders terroristes internationaux.