M. Michel cité par son service de presse a déclaré que le président démocratiquement élu Bazoum restait le chef légitime de l'État du Niger. Il a également ajouté que ses conditions de détention se dégradaient et que toute nouvelle détérioration de son état de santé aurait des conséquences graves.
Auparavant, une source de l'agence TASS avait déclaré que les ministres des Affaires étrangères des pays de l'UE discuteraient le 31 août lors d'une réunion informelle qui se tiendra en Espagne des sanctions contre les organisateurs du coup d’État et d'un éventuel soutien à l'intervention militaire de la Cédéao, dans laquelle le Nigeria a l'intention de jouer le rôle principal.
Le 26 juillet, un groupe rebelle de la Garde présidentielle du Niger s’est mutiné et a annoncé la destitution de Mohamed Bazoum du poste de président du Niger. Le Conseil national pour la sauvegarde de la patrie (CNSP) a été créé pour gouverner le pays et il est dirigé par le général Abdourahamane Tchiani. M. Bazoum reste en détention à sa résidence.
Les dirigeants de la Cédéao, dont le Niger fait partie, ont imposé des sanctions sévères contre Niamey et ont exigé que les mutins libèrent M. Bazoum, menaçant de recourir à la force en cas de refus. En réponse, les mutins ont promis d'exécuter M. Bazoum si une invasion militaire était lancée. Dans les premiers jours qui ont suivi sa destitution, M. Bazoum a mené librement des conversations téléphoniques avec des dirigeants étrangers, puis les rapports sur ces appels téléphoniques ont cessé d'apparaître.
Auparavant, une source de l'agence TASS avait déclaré que les ministres des Affaires étrangères des pays de l'UE discuteraient le 31 août lors d'une réunion informelle qui se tiendra en Espagne des sanctions contre les organisateurs du coup d’État et d'un éventuel soutien à l'intervention militaire de la Cédéao, dans laquelle le Nigeria a l'intention de jouer le rôle principal.
Le 26 juillet, un groupe rebelle de la Garde présidentielle du Niger s’est mutiné et a annoncé la destitution de Mohamed Bazoum du poste de président du Niger. Le Conseil national pour la sauvegarde de la patrie (CNSP) a été créé pour gouverner le pays et il est dirigé par le général Abdourahamane Tchiani. M. Bazoum reste en détention à sa résidence.
Les dirigeants de la Cédéao, dont le Niger fait partie, ont imposé des sanctions sévères contre Niamey et ont exigé que les mutins libèrent M. Bazoum, menaçant de recourir à la force en cas de refus. En réponse, les mutins ont promis d'exécuter M. Bazoum si une invasion militaire était lancée. Dans les premiers jours qui ont suivi sa destitution, M. Bazoum a mené librement des conversations téléphoniques avec des dirigeants étrangers, puis les rapports sur ces appels téléphoniques ont cessé d'apparaître.