-Considérant que la République Centrafricaine est mise sous tutelle de la Communauté Internationale pour cause de la mauvaise gouvernance (primes PGA, détournement de salaires, bourses, pensions et fonds d'investissement), d'incompétences de ses dirigeants, ce qui avaient conduit à la démotivation des Forces Armées Centrafricaines (FACA);
-Considérant que les différents programmes, les projets soumis au peuple par les candidats aux élections présidentielles ne répondent pas aux préoccupations actuelles de la République Centrafricaine;
-Considérant que la RCA s'enfonce inexorablement dans la logique de l'éternel recommencement;
-Considérant le sursaut véritablement patriotique des Balakas et des Anti-Balakas des premières heures du cauchemar centrafricain sous le régime Djotodia -avant la récupération politique donc;
-Respectant le geste sacrificiel de Bida Koyagbele -5 millions, mise à prix de la tête de Nourredine Adam par ce citoyen ordinaire;
-Constatant le manque de motivation du gouvernement centrafricain et donc la non-mobilisation de troupes depuis "la déclaration de guerre" sic de Nourredine Adam.
Le CPR suggère:
L'américanisation de la République Centrafricaine devenue un véritable far-West .
Il y a des hommes dans nos villes et villages capables de se défendre. Ce qui se fait déjà avec les comités d'auto-défense encouragés même par les différents pouvoirs en place à Bangui; sauf que ces comités d'auto-défense ne sont armés que des gourdins face à des hors-la-loi lourdement armés .
Ce programme peut être exécuté sous le contrôle des Agents de l'Ordre Public Centrafricain appuyés par la MINUSCA. De toute les façons les Chefs d'État-major des Armées, les Conseillers Militaires, le Ministre de la Défense en tête et qui émargent sur le budget de la République, n'ont plus leur place à Bangui, la Capitale d'un pays sans Armée n'ont plus leur place en ville mais au Front. Il faut qu'ils servent
à quelque chose.
Les Mbororos ne se séparaient jamais de leur couteau, de leur bâton en ville ou dans les transports en commun au vues et au sues de nos gendarmes et policiers. Ils n'ont tué personne. Le modèle français d'interdiction de port d'armes par les civils semblent aujourd'hui inadapté en République Centrafricaine.
Ce programme aura également l'avantage de tenir au respect nos dirigeants et les attitrés de la mauvaise gouvernance. Une voie pour une véritable Révolution.
Le candidat qui adoptera ce programme donnera par là un gage aux centrafricains.
Dr Félix Yandia, président du CPR, le 11/12/2015
-Considérant que les différents programmes, les projets soumis au peuple par les candidats aux élections présidentielles ne répondent pas aux préoccupations actuelles de la République Centrafricaine;
-Considérant que la RCA s'enfonce inexorablement dans la logique de l'éternel recommencement;
-Considérant le sursaut véritablement patriotique des Balakas et des Anti-Balakas des premières heures du cauchemar centrafricain sous le régime Djotodia -avant la récupération politique donc;
-Respectant le geste sacrificiel de Bida Koyagbele -5 millions, mise à prix de la tête de Nourredine Adam par ce citoyen ordinaire;
-Constatant le manque de motivation du gouvernement centrafricain et donc la non-mobilisation de troupes depuis "la déclaration de guerre" sic de Nourredine Adam.
Le CPR suggère:
L'américanisation de la République Centrafricaine devenue un véritable far-West .
Il y a des hommes dans nos villes et villages capables de se défendre. Ce qui se fait déjà avec les comités d'auto-défense encouragés même par les différents pouvoirs en place à Bangui; sauf que ces comités d'auto-défense ne sont armés que des gourdins face à des hors-la-loi lourdement armés .
Ce programme peut être exécuté sous le contrôle des Agents de l'Ordre Public Centrafricain appuyés par la MINUSCA. De toute les façons les Chefs d'État-major des Armées, les Conseillers Militaires, le Ministre de la Défense en tête et qui émargent sur le budget de la République, n'ont plus leur place à Bangui, la Capitale d'un pays sans Armée n'ont plus leur place en ville mais au Front. Il faut qu'ils servent
à quelque chose.
Les Mbororos ne se séparaient jamais de leur couteau, de leur bâton en ville ou dans les transports en commun au vues et au sues de nos gendarmes et policiers. Ils n'ont tué personne. Le modèle français d'interdiction de port d'armes par les civils semblent aujourd'hui inadapté en République Centrafricaine.
Ce programme aura également l'avantage de tenir au respect nos dirigeants et les attitrés de la mauvaise gouvernance. Une voie pour une véritable Révolution.
Le candidat qui adoptera ce programme donnera par là un gage aux centrafricains.
Dr Félix Yandia, président du CPR, le 11/12/2015