La cérémonie s’est déroulée dans un format réduit. Les mesures anti covid-19 l’exigent. Le cortège présidentiel s’est immobilisé sur l’esplanade du palais des congrès à environ 10 heures 55. Denis Sassou N’Guesso a, par la suite, pris place à bord du commande-car pour passer en revue les troupes d’honneur rangées pour la circonstance. Un passage en revue rythmé par 21 coups de canon qui marquent traditionnellement cet événement.
Un peu plus cinq minutes plus tard, après ces us et coutumes militaires, le premier ministre, Anatole Collinet Makosso, seul orateur à cette occasion est monté au podium pour faire l’évocation des 61 ans de l’indépendance. Citant le premier président de la République du Congo indépendante, l’abbé Fulbert Youlou, dans son discours lors de la proclamation de l’indépendance du Congo, Anatole Collinet Makosso a souligné que « cette journée du 15 août devrait être aussi un moment de réflexion car elle marque une étape essentielle de la vie de notre État ».
Selon le premier ministre congolais, la Constitution du 2 mars 1961 qui consacre son titre premier à l’État et la souveraineté exprimait les principaux idéaux des pères fondateurs qui se résument à l’article premier. Celui-ci énonce les attributs de l’État et évoque les symboles de la République a-t-il fait savoir, avant d’en énumérer quelques-uns dont l’hymne national, la devise, le drapeau et la langue officielle.
Anatole Collinet Makosso, a précisé que la République du Congo est un État indépendant, conformément à cet article premier. Il a dégagé quelques caractéristiques de l’Etat protecteur qui est à restaurer et à promouvoir, a-t-il dit.
Pour lui, cet État est celui d’une justice exemplaire où l’enrichissement illicite et l’étalage des richesses étaient systématiquement dénoncés. Le processus de construction d’un Etat, a-t-il rappelé, est, en toute hypothèse, le résultat d’une dynamique interne de son peuple et non une génération spontanée, a renchéri le premier ministre.
Le Congo peut donc tenir le cap, a soutenu Collinet Makosso, non seulement en raison de la vision de ses dirigeants, mais aussi par la volonté et la détermination de son peuple à demeurer fidèle aux idéaux des pères fondateurs et aux valeurs communes.
Un peu plus cinq minutes plus tard, après ces us et coutumes militaires, le premier ministre, Anatole Collinet Makosso, seul orateur à cette occasion est monté au podium pour faire l’évocation des 61 ans de l’indépendance. Citant le premier président de la République du Congo indépendante, l’abbé Fulbert Youlou, dans son discours lors de la proclamation de l’indépendance du Congo, Anatole Collinet Makosso a souligné que « cette journée du 15 août devrait être aussi un moment de réflexion car elle marque une étape essentielle de la vie de notre État ».
Selon le premier ministre congolais, la Constitution du 2 mars 1961 qui consacre son titre premier à l’État et la souveraineté exprimait les principaux idéaux des pères fondateurs qui se résument à l’article premier. Celui-ci énonce les attributs de l’État et évoque les symboles de la République a-t-il fait savoir, avant d’en énumérer quelques-uns dont l’hymne national, la devise, le drapeau et la langue officielle.
Anatole Collinet Makosso, a précisé que la République du Congo est un État indépendant, conformément à cet article premier. Il a dégagé quelques caractéristiques de l’Etat protecteur qui est à restaurer et à promouvoir, a-t-il dit.
Pour lui, cet État est celui d’une justice exemplaire où l’enrichissement illicite et l’étalage des richesses étaient systématiquement dénoncés. Le processus de construction d’un Etat, a-t-il rappelé, est, en toute hypothèse, le résultat d’une dynamique interne de son peuple et non une génération spontanée, a renchéri le premier ministre.
Le Congo peut donc tenir le cap, a soutenu Collinet Makosso, non seulement en raison de la vision de ses dirigeants, mais aussi par la volonté et la détermination de son peuple à demeurer fidèle aux idéaux des pères fondateurs et aux valeurs communes.