La banque mondiale. Crédits : Sources
Bissau, le 5 avril 2017 – La Banque mondiale entame à partir du 5 avril de larges consultations sur son engagement en Guinée-Bissau avec les acteurs clefs du pays, notamment les représentants du gouvernement, de la société civile, du secteur privé et des partenaires au développement.
Ces consultations sur le Cadre de partenariat pour la période juillet 2017 à juin 2020 se dérouleront pendant trois jours à Bissau et dans la région de Oio, en présence de Louise Cord, directrice des opérations de la Banque mondiale pour la Guinée-Bissau, le Sénégal, la Mauritanie, la Gambie et Cabo Verde, basée à Dakar (Sénégal)
Selon Kristina Svensson, représentante résidente de la Banque mondiale à Bissau, le cadre de partenariat vise notamment à améliorer l'accès à de bons services sociaux de base, à renforcer la résilience et à créer davantage d’opportunités économiques dans le pays. « De façon plus spécifique, nous voulons appuyer la Guinée-Bissau à accroître l'accès et la qualité dans les secteurs de l'éducation et de la santé, à faciliter l'accès aux marchés et à renforcer la gestion durable de ses ressources naturelles, tout en élargissant les filets de sécurité sociale », a ajouté Kristina Svenson.
Elle a insisté sur le fait que « le genre, la gouvernance et la participation citoyenne seront aussi des éléments importants pour chaque projet qui sera mis en œuvre dans le cadre de ce nouveau partenariat ».
En vue du cadre de partenariat 2017-2020, la Banque mondiale a déjà élaboré un diagnostic-pays systématique (SCD) qui lui a permis d’identifier les principales contraintes à la réduction de la pauvreté et une croissance plus inclusive, ainsi que les risques et facteurs de fragilité pesant sur le développement durable du pays.
La Banque mondiale s’est également appuyée sur le document stratégique du gouvernement Terra Ranka qui entend stabiliser politiquement la Guinée-Bissau en favorisant un développement inclusif, fondé sur une bonne gouvernance et la préservation de la biodiversité.
Ces consultations sur le Cadre de partenariat pour la période juillet 2017 à juin 2020 se dérouleront pendant trois jours à Bissau et dans la région de Oio, en présence de Louise Cord, directrice des opérations de la Banque mondiale pour la Guinée-Bissau, le Sénégal, la Mauritanie, la Gambie et Cabo Verde, basée à Dakar (Sénégal)
Selon Kristina Svensson, représentante résidente de la Banque mondiale à Bissau, le cadre de partenariat vise notamment à améliorer l'accès à de bons services sociaux de base, à renforcer la résilience et à créer davantage d’opportunités économiques dans le pays. « De façon plus spécifique, nous voulons appuyer la Guinée-Bissau à accroître l'accès et la qualité dans les secteurs de l'éducation et de la santé, à faciliter l'accès aux marchés et à renforcer la gestion durable de ses ressources naturelles, tout en élargissant les filets de sécurité sociale », a ajouté Kristina Svenson.
Elle a insisté sur le fait que « le genre, la gouvernance et la participation citoyenne seront aussi des éléments importants pour chaque projet qui sera mis en œuvre dans le cadre de ce nouveau partenariat ».
En vue du cadre de partenariat 2017-2020, la Banque mondiale a déjà élaboré un diagnostic-pays systématique (SCD) qui lui a permis d’identifier les principales contraintes à la réduction de la pauvreté et une croissance plus inclusive, ainsi que les risques et facteurs de fragilité pesant sur le développement durable du pays.
La Banque mondiale s’est également appuyée sur le document stratégique du gouvernement Terra Ranka qui entend stabiliser politiquement la Guinée-Bissau en favorisant un développement inclusif, fondé sur une bonne gouvernance et la préservation de la biodiversité.