Le Coordinateur de la Coordination des Associations de la Société civile et des Défenses des Droits de l'Homme (CASCIDHO), Mahamat Digadimbaye. Alwihda Info
La Coordination des Associations de la Société civile et des Défenses des Droits de l'Homme (CASCIDHO) a célébré ce dimanche 10 décembre 2017, au Radisson Blu Hôtel, le 69ème anniversaire de la journée internationale des Droits de l'Homme placé sous le thème « Défendre les droits de quelqu'un aujourd'hui ».
La déclaration universelle des droits de l'homme proclamée le 10 décembre 1948 est un document qui a rendu public les droits inaliénables de chaque individu en tant qu'être humain sans distinction aucune, notamment de race, de couleur, de sexe, de langue, de religion, d'opinion politique ou de toute autre opinion, d'origine nationale ou sociale, de fortune, de naissance ou de toute autre situation.
La Coordination des Associations de la Société civile et des Défenses des Droits de l'Homme (CASCIDHO) constate, 69 ans après sa proclamation que les valeurs de l'humanité sont abandonnées, la loi de la jungle gouverne les relations internationales, le terrorisme asphyxie le monde, les nations fortes et puissantes s'érigent en donneur de leçon, les actes qu'elles posent, si justes soient-ils sont injustes.
Par ailleurs, la CASCIDHO déplore que lorsque les violations des droits de l'homme proviennent d'un État fort et puissant, les yeux restent fermés sans aucune condamnation, ni même d'un rapport accusateur. L'association ajoute que les traités et les conventions internationaux en matière des droits humains et de la paix dans le monde, sont violés par certaines puissances qui sont censées être la référence.
Elle salue le rôle du Tchad dans la lutte contre le terrorisme considéré comme la négation des droits humains à travers le sacrifice de ses enfants, et condamne pour la énième fois les Etats qui méconnaissent l'engagement du Tchad dans ce combat, le considérant comme un État terroriste, indexant clairement les États-Unis sur la violation de la convention de Genève et d'autres traités internationaux.
En outre, la Coordination des Associations de la Société civile et des Défenses des Droits de l'Homme lance un appel à la communauté des Nations de mettre un terme à une accusation non fondée faisant allusion à celle formulée par les États-Unis à l'égard du Tchad, l'accusant de soutenir le terrorisme.
Le Coordinateur de la Coordination des Associations de la Société civile et des Défenses des Droits de l'Homme (CASCIDHO), Mahamat Digadimbaye interpelle les États du monde pour le respect des valeurs universelles de droit de l'homme car, dit-il, n’ont pas de couleurs, et ne doit pas y avoir dans ce monde des États VIP exemptés des dénominations et intouchables mêmes s'ils violent les droits humains.
Par ailleurs, le coordinateur de la CASCIDHO, Mahamat Digadimbaye plaide pour un développement d'un partenariat et à la mise sur pied d'une synergie d'action commune entre le gouvernement et les organisations de défense des droits de l'homme afin de cesser de se regarder en chien de faïence ou d'ennemi à abattre par l'un ou l'autre. Il souligne que les organisations doivent aider le gouvernement à la mise en œuvre et à l’exécution des conventions internationales relatives aux droits de l'homme.
« La CASHIDO après analyse et constat, attire l'attention des organisations internationales sœurs des droits humains qui à travers leur rapport concernant nos pays africains et notre pays le Tchad, ne sont pas objectifs, attisent le feu et s’ingèrent dans la politique intérieure de nos États. Nous leur disons que nos États sont fragiles et qu'elles doivent au contraire nous aider à cultiver la paix et à garantir la stabilité de nos institutions », recommande le Coordinateur de la Coordination des Associations de la Société civile et des Défenses des Droits de l'Homme (CASCIDHO), Mahamat Digadimbaye.
La présentation des dix articles de la déclaration universelle des droits de l'homme par dix enfants, et la photo de famille ont marqué la célébration du 69ème anniversaire de la journée internationale des droits de l'homme.
La déclaration universelle des droits de l'homme proclamée le 10 décembre 1948 est un document qui a rendu public les droits inaliénables de chaque individu en tant qu'être humain sans distinction aucune, notamment de race, de couleur, de sexe, de langue, de religion, d'opinion politique ou de toute autre opinion, d'origine nationale ou sociale, de fortune, de naissance ou de toute autre situation.
La Coordination des Associations de la Société civile et des Défenses des Droits de l'Homme (CASCIDHO) constate, 69 ans après sa proclamation que les valeurs de l'humanité sont abandonnées, la loi de la jungle gouverne les relations internationales, le terrorisme asphyxie le monde, les nations fortes et puissantes s'érigent en donneur de leçon, les actes qu'elles posent, si justes soient-ils sont injustes.
Par ailleurs, la CASCIDHO déplore que lorsque les violations des droits de l'homme proviennent d'un État fort et puissant, les yeux restent fermés sans aucune condamnation, ni même d'un rapport accusateur. L'association ajoute que les traités et les conventions internationaux en matière des droits humains et de la paix dans le monde, sont violés par certaines puissances qui sont censées être la référence.
Elle salue le rôle du Tchad dans la lutte contre le terrorisme considéré comme la négation des droits humains à travers le sacrifice de ses enfants, et condamne pour la énième fois les Etats qui méconnaissent l'engagement du Tchad dans ce combat, le considérant comme un État terroriste, indexant clairement les États-Unis sur la violation de la convention de Genève et d'autres traités internationaux.
En outre, la Coordination des Associations de la Société civile et des Défenses des Droits de l'Homme lance un appel à la communauté des Nations de mettre un terme à une accusation non fondée faisant allusion à celle formulée par les États-Unis à l'égard du Tchad, l'accusant de soutenir le terrorisme.
Le Coordinateur de la Coordination des Associations de la Société civile et des Défenses des Droits de l'Homme (CASCIDHO), Mahamat Digadimbaye interpelle les États du monde pour le respect des valeurs universelles de droit de l'homme car, dit-il, n’ont pas de couleurs, et ne doit pas y avoir dans ce monde des États VIP exemptés des dénominations et intouchables mêmes s'ils violent les droits humains.
Par ailleurs, le coordinateur de la CASCIDHO, Mahamat Digadimbaye plaide pour un développement d'un partenariat et à la mise sur pied d'une synergie d'action commune entre le gouvernement et les organisations de défense des droits de l'homme afin de cesser de se regarder en chien de faïence ou d'ennemi à abattre par l'un ou l'autre. Il souligne que les organisations doivent aider le gouvernement à la mise en œuvre et à l’exécution des conventions internationales relatives aux droits de l'homme.
« La CASHIDO après analyse et constat, attire l'attention des organisations internationales sœurs des droits humains qui à travers leur rapport concernant nos pays africains et notre pays le Tchad, ne sont pas objectifs, attisent le feu et s’ingèrent dans la politique intérieure de nos États. Nous leur disons que nos États sont fragiles et qu'elles doivent au contraire nous aider à cultiver la paix et à garantir la stabilité de nos institutions », recommande le Coordinateur de la Coordination des Associations de la Société civile et des Défenses des Droits de l'Homme (CASCIDHO), Mahamat Digadimbaye.
La présentation des dix articles de la déclaration universelle des droits de l'homme par dix enfants, et la photo de famille ont marqué la célébration du 69ème anniversaire de la journée internationale des droits de l'homme.
Pour sa part, le directeur général des droits de l'homme et de la législation, Abdelnasser Ngarboa déplore que certains acteurs des droits de l'homme se livrent à des activités politiques qui sont incompatibles avec la mission qui leur est assignée. Il précise que les droits de l'homme ne sont pas le lieu de la politique. « Les droits de l'homme sont les droits des personnes détenues, des malades, des réfugiés, des personnes déplacées, des handicapés et des droits de tout le monde. Il est hors de question que des individus puissent s'autoproclamer défenseurs des droits de l'homme en s'ingérant dans la politique », martèle le directeur général des droits de l'homme et de la législation, Abdelnasser Ngarboa.