"Certes, il y aura des contacts [avec le G5 Sahel]", a souligné le vice-ministre lorsqu'il a été interrogé par l'agence TASS sur les perspectives de nouveaux contacts. "Nous les aidions et continuerons à les aider [dans la lutte contre le terrorisme]."
Il a noté que le groupe subissait actuellement "quelques changements structurels internes", suite aux problèmes de la participation du Mali. "Nous avons également des [contacts] bilatéraux avec la totalité des cinq pays", a-t-il ajouté. "Il y a donc des contacts et ils vont se poursuivre. Nous verrons quel format sera optimal pour nos partenaires. [...] Dans une large mesure, ces contacts ont été axés sur la lutte contre le terrorisme et l'extrémisme, parce que cette zone saharo-sahélienne est devenue un foyer de terrorisme international en raison, bien évidemment, de l'effondrement de l'État libyen et de la propagation de ces processus vers le sud".
Le vice-ministre a noté que la menace terroriste dans la région n'a pas diminué et que la présence militaire occidentale s'est avérée "pas si efficace".
Il a noté que le groupe subissait actuellement "quelques changements structurels internes", suite aux problèmes de la participation du Mali. "Nous avons également des [contacts] bilatéraux avec la totalité des cinq pays", a-t-il ajouté. "Il y a donc des contacts et ils vont se poursuivre. Nous verrons quel format sera optimal pour nos partenaires. [...] Dans une large mesure, ces contacts ont été axés sur la lutte contre le terrorisme et l'extrémisme, parce que cette zone saharo-sahélienne est devenue un foyer de terrorisme international en raison, bien évidemment, de l'effondrement de l'État libyen et de la propagation de ces processus vers le sud".
Le vice-ministre a noté que la menace terroriste dans la région n'a pas diminué et que la présence militaire occidentale s'est avérée "pas si efficace".