Philippe Nadji - Tchad
Le contexte dans lequel évolue notre pays et ses structures change. Ce qui implique de susciter de nouvelles formes d’organisation et de fonctionnement pour s’adapter à ce changement. Cela nécessite au préalable des nouvelles manières de penser et d’agir, en clarifiant les enjeux, les objectifs poursuivis et les principes d’action…
A mon humble avis, je pense que, animé par la perception de l’obligation de changer pour le meilleur de notre chère patrie - le Tchad, Monsieur Talha n’a cessé d’apporter sa participation dans la construction de ce nouveau cadre de pensée et d’action qui était déjà en mouvement. La pertinence de ses analyses et la justesse des voies de solutions qu’il a explorées m’interpellent en tant que citoyen tchadien. Il en va de même de sa démarche qui part d’un cas particulier dans la perspective d’en dégager des observations générales, ce qui est pertinent.
Le cas de l’ambassade du Tchad en Suisse reflète bien les maux qui gangrènent le système global de notre pays. Il serait sage et utile que les autorités actuelles de notre pays, en premier lieu le Chef de l’Etat Monsieur Deby, prennent en considération ses contributions y compris les autres réflexions qui ont été menées par nos compatriotes qui n’ont qu’un seul désir : un meilleur Tchad pour tous. Ces autorités le doivent bien aux pères de l’indépendance de notre pays et aux générations futures ainsi qu’à tous les tchadiens sans qui le pays n’existerait pas.
L’urgence et l’importance de ce nouveau cadre se reflètent dans les soutiens qu’il a obtenus de la part de nos compatriotes et le débat que ses écrits ont suscité aussi bien sur le net que dans les milieux professionnels tchadiens.
En tant que agronome, la plus belle des leçons que j’ai retenue de la vie, c’est dans la nature que je l’ai puisée. Quand les conditions environnementales changent, les plantes évoluent ou s’adaptent pour tirer le meilleur parti de leur environnement actuel. Il me semble insensé que certains de nos compatriotes à leur tête certaines classes dirigeantes qui profitent du système actuel au détriment d’une majorité, cherchent à rester les mêmes dans leurs pensées, paroles, actions, projets… dans un environnement qui change. J’espère qu’ils se réveilleront un jour et que la population tchadienne exigera son droit à la vie décente et à la justice sociale.
Bien des choses à tous, que Dieu bénisse le Tchad et les tchadiens.
A mon humble avis, je pense que, animé par la perception de l’obligation de changer pour le meilleur de notre chère patrie - le Tchad, Monsieur Talha n’a cessé d’apporter sa participation dans la construction de ce nouveau cadre de pensée et d’action qui était déjà en mouvement. La pertinence de ses analyses et la justesse des voies de solutions qu’il a explorées m’interpellent en tant que citoyen tchadien. Il en va de même de sa démarche qui part d’un cas particulier dans la perspective d’en dégager des observations générales, ce qui est pertinent.
Le cas de l’ambassade du Tchad en Suisse reflète bien les maux qui gangrènent le système global de notre pays. Il serait sage et utile que les autorités actuelles de notre pays, en premier lieu le Chef de l’Etat Monsieur Deby, prennent en considération ses contributions y compris les autres réflexions qui ont été menées par nos compatriotes qui n’ont qu’un seul désir : un meilleur Tchad pour tous. Ces autorités le doivent bien aux pères de l’indépendance de notre pays et aux générations futures ainsi qu’à tous les tchadiens sans qui le pays n’existerait pas.
L’urgence et l’importance de ce nouveau cadre se reflètent dans les soutiens qu’il a obtenus de la part de nos compatriotes et le débat que ses écrits ont suscité aussi bien sur le net que dans les milieux professionnels tchadiens.
En tant que agronome, la plus belle des leçons que j’ai retenue de la vie, c’est dans la nature que je l’ai puisée. Quand les conditions environnementales changent, les plantes évoluent ou s’adaptent pour tirer le meilleur parti de leur environnement actuel. Il me semble insensé que certains de nos compatriotes à leur tête certaines classes dirigeantes qui profitent du système actuel au détriment d’une majorité, cherchent à rester les mêmes dans leurs pensées, paroles, actions, projets… dans un environnement qui change. J’espère qu’ils se réveilleront un jour et que la population tchadienne exigera son droit à la vie décente et à la justice sociale.
Bien des choses à tous, que Dieu bénisse le Tchad et les tchadiens.