Le Nigeria et le Tchad, deux pays ayant payé en deux semaines un lourd tribut. Les bouchers de Boko Haram ont commis des pires atrocités au bilan record. Environ trois cents personnes ont trouvé la mort, dont 250 au Nigeria et une cinquantaine au Tchad. Et pourtant les pays de la sous région tergiversent encore. Dans la théorie, les déclarations sont nombreuses mais dans la pratique rien ne se précise. Le Nigeria accepte timidement la chasse des terroristes sur son sol par l'armée tchadienne. C'est une question de souveraineté sauf que le pays est infesté par ces criminels et qu'il peine à en arriver à bout. Profitant de la tergiversation nigériane, la secte terroriste poursuit sa boucherie au delà même du territoire national.
Nous disons, avec une sorte de tautologie et nous voilà le répéter jusqu'à la nausée qu’il faut nécessairement et urgemment une coopération militaire et sécuritaire immédiate de tous les pays de la sous-région pour mettre une stratégie en commun afin de combattre ces bouchers de Boko Haram qui poursuivent leurs actes ignobles contre des paisibles citoyens. Comment comprendre que ces bouchers puissent au nom de l'Islam se permettre d'attaquer des mosquées en plein Ramadan pour procéder à des exécutions sommaires en masse, sans épargner des femmes, des enfants, des bébés et des vieillards. Comment comprendre que ceux qui se réclament de la religion de la paix ternissent ainsi l'image d'une religion vieille de 1500 ans? Comment comprendre que ces barbares qui prétendent défendre les principes de l'Islam se plaisent à égorger des enfants et violer des jeunes filles? Tout cela se passe sans attirer la moindre attention de la communauté internationale! Après tout ce sont des nègres qui meurent qui ne méritent même pas de leur accorder une importance dans le média qui a d'autres chats à fouetter. En tournée en Afrique, François Hollande s'est rendu compte des atrocités de Boko Haram et a plaidé pour un sommet (Bis) en France consacré à Boko Haram. De son côté, le tout nouveau Président nigérian, le général chauviniste Mohammed Buhari, vient de de s'en rendre compte, pour la première fois, que son pays ne pourrait pas faire tout seul face à Book Haram, et pourtant lors de sa campagne électorale il nous a fracassé le tympan en faisant croire qu'il est le seul à pouvoir combattre la secte sans l'appui de ses voisins. Maintenant il commet une autre erreur de taille. Car, au lieu de demander à la communauté internationale d'intervenir n'est il pas logique d'autoriser officiellement à l'armée tchadienne - dont le succès sur le terrain est sans équivoque- de chasser la secte, à l'intérieur des territoires nigérians? On se demande si le Tchad n'est pas en train de payer face à deux fanatiques politico-religieux nigérians?
Les gouvernements africains, à la tête desquels le Nigeria, doivent se départir de leur complexe et s'unir afin de protéger leurs citoyens de cette barbarie inimaginable au 21ème siècle.
Salma Hamid
Alwihda
Nous disons, avec une sorte de tautologie et nous voilà le répéter jusqu'à la nausée qu’il faut nécessairement et urgemment une coopération militaire et sécuritaire immédiate de tous les pays de la sous-région pour mettre une stratégie en commun afin de combattre ces bouchers de Boko Haram qui poursuivent leurs actes ignobles contre des paisibles citoyens. Comment comprendre que ces bouchers puissent au nom de l'Islam se permettre d'attaquer des mosquées en plein Ramadan pour procéder à des exécutions sommaires en masse, sans épargner des femmes, des enfants, des bébés et des vieillards. Comment comprendre que ceux qui se réclament de la religion de la paix ternissent ainsi l'image d'une religion vieille de 1500 ans? Comment comprendre que ces barbares qui prétendent défendre les principes de l'Islam se plaisent à égorger des enfants et violer des jeunes filles? Tout cela se passe sans attirer la moindre attention de la communauté internationale! Après tout ce sont des nègres qui meurent qui ne méritent même pas de leur accorder une importance dans le média qui a d'autres chats à fouetter. En tournée en Afrique, François Hollande s'est rendu compte des atrocités de Boko Haram et a plaidé pour un sommet (Bis) en France consacré à Boko Haram. De son côté, le tout nouveau Président nigérian, le général chauviniste Mohammed Buhari, vient de de s'en rendre compte, pour la première fois, que son pays ne pourrait pas faire tout seul face à Book Haram, et pourtant lors de sa campagne électorale il nous a fracassé le tympan en faisant croire qu'il est le seul à pouvoir combattre la secte sans l'appui de ses voisins. Maintenant il commet une autre erreur de taille. Car, au lieu de demander à la communauté internationale d'intervenir n'est il pas logique d'autoriser officiellement à l'armée tchadienne - dont le succès sur le terrain est sans équivoque- de chasser la secte, à l'intérieur des territoires nigérians? On se demande si le Tchad n'est pas en train de payer face à deux fanatiques politico-religieux nigérians?
Les gouvernements africains, à la tête desquels le Nigeria, doivent se départir de leur complexe et s'unir afin de protéger leurs citoyens de cette barbarie inimaginable au 21ème siècle.
Salma Hamid
Alwihda