La planche à billet européenne engraisse le polisario, DAESH et des responsables algériens.
L'horreur, l'inadmissible, l'ignominie, l'abjection, l'infamie viennent d''être dévoilées par l'Office européen de Lutte Anti-Fraude (OLAF) au sujet des aides humanitaires octroyées par l'Union Européenne aux séquestrés sahraouis des camps de la honte sis à Tindouf.
Des détournements d'aides qui, selon le rapport d'enquête établi par OLAF, s'étalent sur des dizaines d'années de manière bien organisée par les responsables algériens et leurs marionnettes du polisario.
Des détournements qui débutent dès le port d'Oran, où les mafieux algériens et les terroristes du polisario s'accaparent une très large partie des aides destinées aux sahraouis séquestrés.
Un détournement rendu possible en raison d'une surévaluation du nombre de séquestrés sahraouis qui se retrouvent dotés d'aides alimentaires de mauvaise qualité dans les meilleurs des cas. Quant aux produits d'élevage de volailles, financés par l'aide internationale, ils sont tout simplement vendus pour enrichir les pontes algériens et polisariens.
Ce même rapport souligne que ce sont des prisonniers, de guerre ou civils, qui sont utilisés pour la manutention de l'aide et la construction de bâtiments financés par l'aide internationale d'où des gains supplémentaires pour les mafieux algériens et leurs sbires polisariens.
D'ailleurs, le Parlement Européen a interrogé, le 22 janvier 2015, la Commissaire Européenne au Budget, Kristalina Georgieva, sur ce rapport qui date, tenez-vous bien, de 2007.
Sa réponse fut que l'Exécutif européen n'avait pas jugé nécessaire de suspendre son aide et avait continué fournir ses aides annuelles pour les séquestrés des camps de la honte de Tindouf.
A noter que ce rapport OLAF confirme que ces détournements d'aides ont été rendus possibles en raison d'une surestimation du nombre des réfugiés, fournie par les autorités algériennes à savoir 155.000 personnes. Un chiffre qui sera ramené par OLAF à sa juste valeur, soit 90.000.
N'est-Il pas vrai, qu'à ce jour, ni l'Algérie ni les terroristes du polisario n'ont accepté qu'un recensement des populations des camps soit organisé !
Ledit rapport est l'aboutissement d'une enquête diligentée depuis 2003 et cite les noms des personnes impliquées dans ces détournements d'aides alimentaires, dont le montant alloué aux séquestrés sahraouis par l'Union Européenne est de 546 millions d'Euros pour la seule année 2013.
Des sources de revenus occultes qui servent à enrichir des responsables mafieux algériens et des terroristes polisariens mais aussi qui constituent une manne financière conséquente pour les groupes terroristes proches de DAESH qui pullulent le territoire algérien avec la bénédiction de certains responsables algériens pour destabiliser les pays du Maghreb et de la zone sahélo-Saharienne.
Il est plus qu'urgent que l'Union Européenne interviennent dans ce macabre trafic au regard des derniers incidents terroristes qui ont secoué tragiquement le vieux continent en ce mois de janvier 2015.
Qu'en pense ces ONG's et autres associations qui soutiennent des terroristes polisariens munis de passeports diplomatiques algériens qui circulent librement en Europe, qui se permettent de pirater des sites de mairies en France et de journaux en ligne et qui demain y perpétreront des attentats ? La question est valable pour les responsables politiques des pays européens, américains et africains qui les accueillent et les soutiennent car demain, il sera trop tard !
Quant à l'Algérie, il est certain que ce scandale a déjà entaché durablement son image et ce qui lui reste de crédibilité au plan international.
Voir des responsables algériens voler des aides internationales destinées aux séquestrés sahraouis de Tindouf, quelle honte !
Farid Mnebhi.
L'horreur, l'inadmissible, l'ignominie, l'abjection, l'infamie viennent d''être dévoilées par l'Office européen de Lutte Anti-Fraude (OLAF) au sujet des aides humanitaires octroyées par l'Union Européenne aux séquestrés sahraouis des camps de la honte sis à Tindouf.
Des détournements d'aides qui, selon le rapport d'enquête établi par OLAF, s'étalent sur des dizaines d'années de manière bien organisée par les responsables algériens et leurs marionnettes du polisario.
Des détournements qui débutent dès le port d'Oran, où les mafieux algériens et les terroristes du polisario s'accaparent une très large partie des aides destinées aux sahraouis séquestrés.
Un détournement rendu possible en raison d'une surévaluation du nombre de séquestrés sahraouis qui se retrouvent dotés d'aides alimentaires de mauvaise qualité dans les meilleurs des cas. Quant aux produits d'élevage de volailles, financés par l'aide internationale, ils sont tout simplement vendus pour enrichir les pontes algériens et polisariens.
Ce même rapport souligne que ce sont des prisonniers, de guerre ou civils, qui sont utilisés pour la manutention de l'aide et la construction de bâtiments financés par l'aide internationale d'où des gains supplémentaires pour les mafieux algériens et leurs sbires polisariens.
D'ailleurs, le Parlement Européen a interrogé, le 22 janvier 2015, la Commissaire Européenne au Budget, Kristalina Georgieva, sur ce rapport qui date, tenez-vous bien, de 2007.
Sa réponse fut que l'Exécutif européen n'avait pas jugé nécessaire de suspendre son aide et avait continué fournir ses aides annuelles pour les séquestrés des camps de la honte de Tindouf.
A noter que ce rapport OLAF confirme que ces détournements d'aides ont été rendus possibles en raison d'une surestimation du nombre des réfugiés, fournie par les autorités algériennes à savoir 155.000 personnes. Un chiffre qui sera ramené par OLAF à sa juste valeur, soit 90.000.
N'est-Il pas vrai, qu'à ce jour, ni l'Algérie ni les terroristes du polisario n'ont accepté qu'un recensement des populations des camps soit organisé !
Ledit rapport est l'aboutissement d'une enquête diligentée depuis 2003 et cite les noms des personnes impliquées dans ces détournements d'aides alimentaires, dont le montant alloué aux séquestrés sahraouis par l'Union Européenne est de 546 millions d'Euros pour la seule année 2013.
Des sources de revenus occultes qui servent à enrichir des responsables mafieux algériens et des terroristes polisariens mais aussi qui constituent une manne financière conséquente pour les groupes terroristes proches de DAESH qui pullulent le territoire algérien avec la bénédiction de certains responsables algériens pour destabiliser les pays du Maghreb et de la zone sahélo-Saharienne.
Il est plus qu'urgent que l'Union Européenne interviennent dans ce macabre trafic au regard des derniers incidents terroristes qui ont secoué tragiquement le vieux continent en ce mois de janvier 2015.
Qu'en pense ces ONG's et autres associations qui soutiennent des terroristes polisariens munis de passeports diplomatiques algériens qui circulent librement en Europe, qui se permettent de pirater des sites de mairies en France et de journaux en ligne et qui demain y perpétreront des attentats ? La question est valable pour les responsables politiques des pays européens, américains et africains qui les accueillent et les soutiennent car demain, il sera trop tard !
Quant à l'Algérie, il est certain que ce scandale a déjà entaché durablement son image et ce qui lui reste de crédibilité au plan international.
Voir des responsables algériens voler des aides internationales destinées aux séquestrés sahraouis de Tindouf, quelle honte !
Farid Mnebhi.