Des violents échanges de tirs nourris ont été entendus, dans la nuit de dimanche 26 et dans la matinée du 27 juillet, dans une zone insulaire du Lac Tchad, d'après des sources locales recueillies par Alwihda.
Il s'agirait de violents accrochages qui auraient opposé l'armée Tchadienne et des élements présumés de Boko Haram.
L'armée Tchadienne était hier, dimanche 26, à la poursuite des élements de Boko Haram qui ont investi une zone insulaire appelée Midi et autres, située à 30km, à l'ouest de Bol.
Les éléments de Boko Haram arrivés à bord de 4 pirogues ont reussi à enlever des femmes et des enfants de nationalité Tchadienne, dans ces zones insulaires du Lac Tchad, avant de les embarquer manu militari pour une destination inconnue, d'après cette même source.
Apres leur forfaiture, il semble que les éléments de Boko Haram auraient été freinés dans leur fuite par les forces Tchadiennes qui tentent de les empêcher de fuir avec les otages, femmes et enfants, ce qui serait à l'origine de ce violent combat.
Une autre source rapporte que les militaires ne peuvent pas faire usage des hélicoptères pour neutraliser ces éléments de Boko Haram sous peine de mettre en danger la vie des otages.
Parmi les femmes enlevées avec leurs enfants, Alwihda a reussi à identifer les noms de trois d'entre-elles dont leurs familles restent sans nouvelles. Il s'agit de Balaye Mahamat Kouta, Bebey Mboh et de Mariam Yangou.
Il s'agirait de violents accrochages qui auraient opposé l'armée Tchadienne et des élements présumés de Boko Haram.
L'armée Tchadienne était hier, dimanche 26, à la poursuite des élements de Boko Haram qui ont investi une zone insulaire appelée Midi et autres, située à 30km, à l'ouest de Bol.
Les éléments de Boko Haram arrivés à bord de 4 pirogues ont reussi à enlever des femmes et des enfants de nationalité Tchadienne, dans ces zones insulaires du Lac Tchad, avant de les embarquer manu militari pour une destination inconnue, d'après cette même source.
Apres leur forfaiture, il semble que les éléments de Boko Haram auraient été freinés dans leur fuite par les forces Tchadiennes qui tentent de les empêcher de fuir avec les otages, femmes et enfants, ce qui serait à l'origine de ce violent combat.
Une autre source rapporte que les militaires ne peuvent pas faire usage des hélicoptères pour neutraliser ces éléments de Boko Haram sous peine de mettre en danger la vie des otages.
Parmi les femmes enlevées avec leurs enfants, Alwihda a reussi à identifer les noms de trois d'entre-elles dont leurs familles restent sans nouvelles. Il s'agit de Balaye Mahamat Kouta, Bebey Mboh et de Mariam Yangou.