Lomé, le 27 septembre 2016-Le Président de la République Faure Gnassingbé a participé ce mardi à Libreville à la cérémonie d’investiture de son homologue gabonais, SEM Ali Bongo Odimba.
Ali Bongo Odimba a prêté serment devant la Cour constitutionnelle de son pays. La cérémonie d’investiture a eu lieu en présence du chef de l’Etat togolais et de ses homologues du Mali, Ibrahim Boubacar Keïta, du Niger, Mahamadou Isssoufou et du Sao Tomé-et-Principe, Evaristo Carvalho.
La cérémonie a vu la présence des Premiers ministres du Maroc, du Tchad, du Congo-Brazzaville, du Sénégal et de la Centrafrique. Etaient aussi présents, les présidents des Assemblées nationales de la RDC et de la Guinée-Équatoriale mais également le président du Sénat rwandais. Le Cameroun était représenté par son ministre de la Justice tandis que la Côte d’Ivoire a dépêché pour l’occasion son médiateur de la République.
« Je jure de consacrer toutes mes forces au bien du peuple gabonais en vue d’assurer son bien-être et de le préserver de tout dommage, de respecter et de défendre la Constitution et l’État de droit », a déclaré le président réélu devant des centaines de personnes, au premier rang desquelles se situait la présidente de la Cour constitutionnelle du Gabon, Marie-Madeleine Mborantsuo.
Pour rappel, Ali Bongo a été élu pour la première fois en 2009. Réélu le 27 août dernier pour un nouveau septennat, le président gabonais a été crédité de 172 990 voix, soit 50,66 % des suffrages exprimés, contre 161 287 voix pour son principal rival, l’ancien Président de la commission de l’Union africaine Jean Ping, soit 47,24 %.
Ali Bongo Odimba a prêté serment devant la Cour constitutionnelle de son pays. La cérémonie d’investiture a eu lieu en présence du chef de l’Etat togolais et de ses homologues du Mali, Ibrahim Boubacar Keïta, du Niger, Mahamadou Isssoufou et du Sao Tomé-et-Principe, Evaristo Carvalho.
La cérémonie a vu la présence des Premiers ministres du Maroc, du Tchad, du Congo-Brazzaville, du Sénégal et de la Centrafrique. Etaient aussi présents, les présidents des Assemblées nationales de la RDC et de la Guinée-Équatoriale mais également le président du Sénat rwandais. Le Cameroun était représenté par son ministre de la Justice tandis que la Côte d’Ivoire a dépêché pour l’occasion son médiateur de la République.
« Je jure de consacrer toutes mes forces au bien du peuple gabonais en vue d’assurer son bien-être et de le préserver de tout dommage, de respecter et de défendre la Constitution et l’État de droit », a déclaré le président réélu devant des centaines de personnes, au premier rang desquelles se situait la présidente de la Cour constitutionnelle du Gabon, Marie-Madeleine Mborantsuo.
Pour rappel, Ali Bongo a été élu pour la première fois en 2009. Réélu le 27 août dernier pour un nouveau septennat, le président gabonais a été crédité de 172 990 voix, soit 50,66 % des suffrages exprimés, contre 161 287 voix pour son principal rival, l’ancien Président de la commission de l’Union africaine Jean Ping, soit 47,24 %.