Le 20 juin 2017, le Roi Mohammed VI du Maroc a ordonné aux autorités compétentes de procéder au traitement immédiat de la situation des 13 familles de ressortissants syriens, accompagnées d'enfants et de personnes âgées, bloqués à la frontière algéro-marocaine depuis fin avril 2017.
Chose qui fut faite puisque les autorités marocaines ont accueilli ces familles à Figuig, ville marocaine limitrophe de l'Algérie. Ces familles syriennes ont décidé collectivement de se rendre tous à Rabat où elles ont été reçues, le 21 juin 2017, au siège du Conseil National des Droits de l'Homme où elles ont dénoncé les autorités algériennes qu'elles accusent de non-assistance et de mauvais traitement depuis leur arrivée dans ce pays via la Libye et jusqu'à l'heure de la délivrance et elles ont également remercié le Souverain marocain pour son geste humaniste qui a mis à fin à leur intense et cruelle douleur.
Pour rappel, ces 41 réfugiés syriens, dont 17 enfants âgés de 2 à 14 ans, étaient bloqués dans une zone tampon à la frontière entre le Maroc et l’Algérie, près de la ville de Figuig depuis le 17 avril 2017. Le Maroc avait refusé de régulariser ces réfugiés, estimant que la responsabilité revenait à l'Algérie qui les a expulsés vers la frontière.
Depuis, ils ont été totalement délaissés par les autorités algériennes dans des conditions inhumaines sans aides ni secours et en proie aux morsures du soleil, des scorpions et des vipères.
Par la suite, dans un semblant de sursaut humanitaire, les responsables algériens annoncent, tambour battant, le 02 juin 2017, à l'opinion internationale leur intention d'accueillir ce groupe de réfugiés syriens suite à une demande du Haut Commissariat des Nations-Unies pour les Réfugiés (HCR) ; mais comme à l'accoutumée, quelques jours plus, ils opèrent une volte-face et décident de ne pas honorer leur promesse, abandonnant ces familles syriennes à leur dramatique sort et multipliant des appels à l'aide.
Ces appels ont été entendus par le Souverain marocain qui, en vertu de considérations humanitaires, et à titre exceptionnel, a mis un terme au calvaire de ces réfugiés syriens.
Ce nouveau geste du Roi du Maroc, traduit l’engagement humaniste du Maroc dans le traitement des problématiques migratoires et intervient en ces jours du mois de Ramadan, mois de piété et de solidarité et où le monde célèbre, ce mardi 20 juin 2017, la journée mondiale des réfugiés.
D'ailleurs, le représentant du bureau marocain du Haut-Commissariat des Nations-Unies pour les Réfugiés (HCR), Jean Paul Cavaliéri, a déclaré toute sa reconnaissance envers le Roi Mohammed VI pour le traitement immédiat de ce dossier et a mis en exergue la politique "volontariste, humaniste et pragmatique avec laquelle le Royaume traite les questions migratoires et d'asile".
Que peut-on attendre des responsables algériens en matière de contrôle migratoire et de traitement des réfugiés africains ou autres quand ils n'arrivent pas à subvenir aux besoins vitaux des Algériens ? Rien ! Du vent et des belles paroles !
Aujourd'hui, ses soeurs et frères Syriens sont les bienvenus au pays de l'humanisme qu'est le Maroc où ils fêteront dans la joie l'Aïd Fitr (fin du mois de Ramadan).
Chose qui fut faite puisque les autorités marocaines ont accueilli ces familles à Figuig, ville marocaine limitrophe de l'Algérie. Ces familles syriennes ont décidé collectivement de se rendre tous à Rabat où elles ont été reçues, le 21 juin 2017, au siège du Conseil National des Droits de l'Homme où elles ont dénoncé les autorités algériennes qu'elles accusent de non-assistance et de mauvais traitement depuis leur arrivée dans ce pays via la Libye et jusqu'à l'heure de la délivrance et elles ont également remercié le Souverain marocain pour son geste humaniste qui a mis à fin à leur intense et cruelle douleur.
Pour rappel, ces 41 réfugiés syriens, dont 17 enfants âgés de 2 à 14 ans, étaient bloqués dans une zone tampon à la frontière entre le Maroc et l’Algérie, près de la ville de Figuig depuis le 17 avril 2017. Le Maroc avait refusé de régulariser ces réfugiés, estimant que la responsabilité revenait à l'Algérie qui les a expulsés vers la frontière.
Depuis, ils ont été totalement délaissés par les autorités algériennes dans des conditions inhumaines sans aides ni secours et en proie aux morsures du soleil, des scorpions et des vipères.
Par la suite, dans un semblant de sursaut humanitaire, les responsables algériens annoncent, tambour battant, le 02 juin 2017, à l'opinion internationale leur intention d'accueillir ce groupe de réfugiés syriens suite à une demande du Haut Commissariat des Nations-Unies pour les Réfugiés (HCR) ; mais comme à l'accoutumée, quelques jours plus, ils opèrent une volte-face et décident de ne pas honorer leur promesse, abandonnant ces familles syriennes à leur dramatique sort et multipliant des appels à l'aide.
Ces appels ont été entendus par le Souverain marocain qui, en vertu de considérations humanitaires, et à titre exceptionnel, a mis un terme au calvaire de ces réfugiés syriens.
Ce nouveau geste du Roi du Maroc, traduit l’engagement humaniste du Maroc dans le traitement des problématiques migratoires et intervient en ces jours du mois de Ramadan, mois de piété et de solidarité et où le monde célèbre, ce mardi 20 juin 2017, la journée mondiale des réfugiés.
D'ailleurs, le représentant du bureau marocain du Haut-Commissariat des Nations-Unies pour les Réfugiés (HCR), Jean Paul Cavaliéri, a déclaré toute sa reconnaissance envers le Roi Mohammed VI pour le traitement immédiat de ce dossier et a mis en exergue la politique "volontariste, humaniste et pragmatique avec laquelle le Royaume traite les questions migratoires et d'asile".
Que peut-on attendre des responsables algériens en matière de contrôle migratoire et de traitement des réfugiés africains ou autres quand ils n'arrivent pas à subvenir aux besoins vitaux des Algériens ? Rien ! Du vent et des belles paroles !
Aujourd'hui, ses soeurs et frères Syriens sont les bienvenus au pays de l'humanisme qu'est le Maroc où ils fêteront dans la joie l'Aïd Fitr (fin du mois de Ramadan).