Le futur super marché de N'Djamena.
Sadam Ahmat Yacoub
Suite dans le journal Alwihda actualité du mercredi 17 février 2010.
Nous imaginons tous le Tchad dans 20 ans, car nous avons longtemps attendu le développement de notre Pays, longtemps espérer, longtemps rêver, mais dans vingt ans ce rêve sera finalement une réalité si nos supérieures continuent de bien faire leurs travail comme ils le fassent de nos jours, une décision certaine à été prise au sérieux avec amour et solidarité, d’ici vingt ans nous seront aussi développés.
Nous verrons chacun de nos enfants dans les écoles primaires, secondaire, supérieures, nous roulerons sur des routes goudronnées et parfaitement construites, nos parents seront soignées gratuitement dans les hôpitaux et donc le taux de mortalité baissera, et ainsi le taux de natalité augmentera, de grandes et belles concessions seront construites, pour mieux vivre et élargir nos familles, le chômage baissera car le pays aura besoins d’un certains nombres d’hommes pour accomplir la mission «le Tchad en chantier».
Avec l’éducation scolaire encore plus développée résultera moins d’analphabètes et donc plus de cadres supérieures, dans la fonction publique, les banques, le commerce, les aides humanitaires pour développer aussi et aider les villages.
Nous vivrons dans un pays propre, dans des quartiers propres, nous marcherons sur des trottoirs propres, nous roulerons sur des routes propres avec des feux rouges, installée un peu partout qu’avant, et nous devront ainsi respecter les panneaux d’indications les règles de la route, et donc ce qui implique à respecter le code de la route pour chacun et donc pour tous.
Nous vivrons en sécurité, sans injustice et malfrats, voleurs, et bandits des routes, la police sera renforcée et fera correctement son travail avec amour et loyauté, la justice sera forte, pour juger le bien et le mal, nous n’entendrons plus parler de corruption, et de guerre car notre beau pays aura des fonctionnaires honnêtes et bien qualifiés par rapport à leur savoir-faire et leurs études, et nous n’entendrons plus parler de…...
Suite dans le journal Alwihda actualité du mercredi 17 février 2010.
Nous imaginons tous le Tchad dans 20 ans, car nous avons longtemps attendu le développement de notre Pays, longtemps espérer, longtemps rêver, mais dans vingt ans ce rêve sera finalement une réalité si nos supérieures continuent de bien faire leurs travail comme ils le fassent de nos jours, une décision certaine à été prise au sérieux avec amour et solidarité, d’ici vingt ans nous seront aussi développés.
Nous verrons chacun de nos enfants dans les écoles primaires, secondaire, supérieures, nous roulerons sur des routes goudronnées et parfaitement construites, nos parents seront soignées gratuitement dans les hôpitaux et donc le taux de mortalité baissera, et ainsi le taux de natalité augmentera, de grandes et belles concessions seront construites, pour mieux vivre et élargir nos familles, le chômage baissera car le pays aura besoins d’un certains nombres d’hommes pour accomplir la mission «le Tchad en chantier».
Avec l’éducation scolaire encore plus développée résultera moins d’analphabètes et donc plus de cadres supérieures, dans la fonction publique, les banques, le commerce, les aides humanitaires pour développer aussi et aider les villages.
Nous vivrons dans un pays propre, dans des quartiers propres, nous marcherons sur des trottoirs propres, nous roulerons sur des routes propres avec des feux rouges, installée un peu partout qu’avant, et nous devront ainsi respecter les panneaux d’indications les règles de la route, et donc ce qui implique à respecter le code de la route pour chacun et donc pour tous.
Nous vivrons en sécurité, sans injustice et malfrats, voleurs, et bandits des routes, la police sera renforcée et fera correctement son travail avec amour et loyauté, la justice sera forte, pour juger le bien et le mal, nous n’entendrons plus parler de corruption, et de guerre car notre beau pays aura des fonctionnaires honnêtes et bien qualifiés par rapport à leur savoir-faire et leurs études, et nous n’entendrons plus parler de…...