Le Tchad et la Turquie vont signer de nouveaux accords de coopération. © PR
La dernière visite du chef de l’Etat à Ankara remontait au 9 juillet 2018 où il prenait part à la cérémonie d’investiture du Président Reccep Tayyip Erdogan, réélu à la tête de la Turquie. Plus de 7 mois après, le président de la République foule à nouveau la terre turque. Cette visite fait suite à celle entreprise par le dirigeant turc à N’Djaména, dans le cadre d’une visite officielle en novembre 2017.
Idriss Déby est accompagné d’une délégation comprenant le ministre des Affaires étrangère, celui en charge de l’Enseignement supérieur, le ministre délégué chargé de la défense nationale, des opérateurs économiques et de certains de ses proches collaborateurs.
A l’aéroport international d’Ankara, le chef de l’Etat a été accueilli à sa descente d’avion par le ministre turc du tourisme et de la culture et l’ambassadeur du Tchad à Ankara, Adoum Dangaye Noukour Guet. Des officiels turcs et certains ambassadeurs africains accrédités en Turquie étaient également présents à l'aéroport.
De nouveaux accords bilatéraux
Il est prévu au cours de cette visite officielle du chef de l’Etat, le paraphe d'accords dans plusieurs domaines, notamment sur des échanges économiques, d’où la présence dans la délégation tchadienne, du président du Conseil national du patronat tchadien et du président de la Chambre du commerce.
L’agenda prévoit des visites, des sites historiques et culturels et des rencontres bilatérales. Le président de la République sera élevé au grade de Docteur Honoris Causa par l’université Karabük qui accueille de nombreux étudiants tchadiens.
D'après la Présidence, "de par cette visite, Idriss Déby traduit sa volonté de diversifier la coopération et d’attirer des investisseurs crédibles et des partenaires stratégiques dont la Turquie qui est aujourd’hui comptée parmi les 20 premières puissances économiques mondiales et qui offre de nombreuses opportunités pour accompagner le Tchad."
Lors de la visite d’Erdogan à N’Djaména en 2017, plusieurs accords de coopération ont été signés entre les deux pays. Accords qui concernaient la coopération en matière de la jeunesse et des sports, de la promotion et de la protection des investissements, de la formation ainsi que du partage d’informations et d’archives diplomatiques. "Nul doute que ces différents points seront soumis à l’évaluation au cours des différentes rencontres entre les officiels de deux pays", précise la Présidence.
Idriss Déby est accompagné d’une délégation comprenant le ministre des Affaires étrangère, celui en charge de l’Enseignement supérieur, le ministre délégué chargé de la défense nationale, des opérateurs économiques et de certains de ses proches collaborateurs.
A l’aéroport international d’Ankara, le chef de l’Etat a été accueilli à sa descente d’avion par le ministre turc du tourisme et de la culture et l’ambassadeur du Tchad à Ankara, Adoum Dangaye Noukour Guet. Des officiels turcs et certains ambassadeurs africains accrédités en Turquie étaient également présents à l'aéroport.
De nouveaux accords bilatéraux
Il est prévu au cours de cette visite officielle du chef de l’Etat, le paraphe d'accords dans plusieurs domaines, notamment sur des échanges économiques, d’où la présence dans la délégation tchadienne, du président du Conseil national du patronat tchadien et du président de la Chambre du commerce.
L’agenda prévoit des visites, des sites historiques et culturels et des rencontres bilatérales. Le président de la République sera élevé au grade de Docteur Honoris Causa par l’université Karabük qui accueille de nombreux étudiants tchadiens.
D'après la Présidence, "de par cette visite, Idriss Déby traduit sa volonté de diversifier la coopération et d’attirer des investisseurs crédibles et des partenaires stratégiques dont la Turquie qui est aujourd’hui comptée parmi les 20 premières puissances économiques mondiales et qui offre de nombreuses opportunités pour accompagner le Tchad."
Lors de la visite d’Erdogan à N’Djaména en 2017, plusieurs accords de coopération ont été signés entre les deux pays. Accords qui concernaient la coopération en matière de la jeunesse et des sports, de la promotion et de la protection des investissements, de la formation ainsi que du partage d’informations et d’archives diplomatiques. "Nul doute que ces différents points seront soumis à l’évaluation au cours des différentes rencontres entre les officiels de deux pays", précise la Présidence.