Une récente étude révèle le classement des pays les plus toxiques, et les moins toxiques au monde.
L'agence internationale de l'Energie et l'organisation mondiale pour la santé ont révélé, dans des rapports, que le Tchad ferrait parti des pays les moins toxiques au monde. Toutefois, il n'y a "pas assez d'informations" sur le Tchad et dix-neuf autres pays d'Afrique, dû au très faible taux de toxicité dégagé.
Parmi les pays les plus toxiques, on retrouve en tête l'Arabie Saoudite, le Koweit, Bahrain, suivi du Qatar.
Sur les dix pays les moins toxiques, huit sont africains (Kenya, Tanzania, Ethiopie, Mozambique, Cameroun, Zambie, Zimbabwe, RD Congo).
Le Tchad ne dispose pas d'un grand nombre d'industries. Le pays compte une faible population pour un vaste territoire. Les autorités se penchent depuis plusieurs années sur la piste des énergies renouvelables, à travers des études, bien que l'investissement soit couteux.
Le pays reste l'un des plus mal approvisionné en électricité. En effet, 6,5% de la population dispose d’un accès, essentiellement dans les grandes villes, tandis que 80% de la consommation du pays se situe à N’Djamena. Le délestage est fréquent car le réseau ne suffit pas à acheminer la production et, il n’y a pas encore d’interconnexion nationale du réseau. Le bois domestique représente 90% de la consommation d’énergie primaire.
La consommation d'électricité s'élève à 19 kWh/habitant, comparé à titre indicatif, à 7500 kWh par habitant en France.
Conséquences d'un faible taux de toxicité sur les habitants
La toxicité est la mesure de la capacité d’une substance à provoquer des effets néfastes et mauvais pour la santé ou la survie.
Un faible taux de toxicité entraine une exposition moindre des habitants à certaines contaminations et maladies.
La zone la plus toxique du pays reste la capitale N'Djamena.
L'agence internationale de l'Energie et l'organisation mondiale pour la santé ont révélé, dans des rapports, que le Tchad ferrait parti des pays les moins toxiques au monde. Toutefois, il n'y a "pas assez d'informations" sur le Tchad et dix-neuf autres pays d'Afrique, dû au très faible taux de toxicité dégagé.
Parmi les pays les plus toxiques, on retrouve en tête l'Arabie Saoudite, le Koweit, Bahrain, suivi du Qatar.
Sur les dix pays les moins toxiques, huit sont africains (Kenya, Tanzania, Ethiopie, Mozambique, Cameroun, Zambie, Zimbabwe, RD Congo).
Le Tchad ne dispose pas d'un grand nombre d'industries. Le pays compte une faible population pour un vaste territoire. Les autorités se penchent depuis plusieurs années sur la piste des énergies renouvelables, à travers des études, bien que l'investissement soit couteux.
Le pays reste l'un des plus mal approvisionné en électricité. En effet, 6,5% de la population dispose d’un accès, essentiellement dans les grandes villes, tandis que 80% de la consommation du pays se situe à N’Djamena. Le délestage est fréquent car le réseau ne suffit pas à acheminer la production et, il n’y a pas encore d’interconnexion nationale du réseau. Le bois domestique représente 90% de la consommation d’énergie primaire.
La consommation d'électricité s'élève à 19 kWh/habitant, comparé à titre indicatif, à 7500 kWh par habitant en France.
Conséquences d'un faible taux de toxicité sur les habitants
La toxicité est la mesure de la capacité d’une substance à provoquer des effets néfastes et mauvais pour la santé ou la survie.
Un faible taux de toxicité entraine une exposition moindre des habitants à certaines contaminations et maladies.
La zone la plus toxique du pays reste la capitale N'Djamena.