L'atelier se déroule en présence du secrétaire général de la province du Guera, Djerambété Dingamyo, du coordonnateur du REPER, Abdoulaye Mahmoud Labit, du préfet du département du Guéra, Hamit Adoum Batarko, des différents responsables des services de l'État ainsi qu'un grand nombre de personnel des différentes ONG, projets et programmes exerçant dans les cinq provinces du pays.
Le coordinateur du Programme Tchad-Fida, Abdoulaye Mahmoud Labit, a expliqué que le lancement politique et technique du RePER au niveau national, suivi de la tenue des ateliers provinciaux, ont permis à l'équipe du projet et à quelques-uns de ses partenaires d'échanger sur les modalités opérationnelles de son exécution.
C'est dans le but de permettre à l'ensemble des équipes techniques des partenaires de mise en œuvre, qui viennent d'être recrutés et déployés sur le terrain, de s'approprier du document de conception du projet, que le présent atelier est organisé.
Le coordinateur du Programme Tchad-Fida, Abdoulaye Mahmoud Labit, a expliqué que le lancement politique et technique du RePER au niveau national, suivi de la tenue des ateliers provinciaux, ont permis à l'équipe du projet et à quelques-uns de ses partenaires d'échanger sur les modalités opérationnelles de son exécution.
C'est dans le but de permettre à l'ensemble des équipes techniques des partenaires de mise en œuvre, qui viennent d'être recrutés et déployés sur le terrain, de s'approprier du document de conception du projet, que le présent atelier est organisé.
Le projet REPER est financé principalement par le Fonds international de développement agricole (FIDA), le Fonds vert pour le climat (FVC), le gouvernement tchadien et une contribution non négligeable des bénéficiaires.
Le projet intervient dans la zone sahélienne centrale du Tchad constituée de cinq provinces à savoir le Batha, le Guera, le Salamat, le Chari-Baguirmi et le Hadjer- Lamis. La zone sahélienne ciblée par ce projet, en dépit des potentialités agricoles qu'elle possède, est confrontée à plusieurs défis. ll s'agit entre autres des effets pervers du changement climatique, combinées à des pratiques agricoles peu performantes de type extensif pluvial.
Djerambeté Djingamiyo, secrétaire général de la province, a lancé officiellement les travaux, tout en souhaitant plein succès.
Le projet intervient dans la zone sahélienne centrale du Tchad constituée de cinq provinces à savoir le Batha, le Guera, le Salamat, le Chari-Baguirmi et le Hadjer- Lamis. La zone sahélienne ciblée par ce projet, en dépit des potentialités agricoles qu'elle possède, est confrontée à plusieurs défis. ll s'agit entre autres des effets pervers du changement climatique, combinées à des pratiques agricoles peu performantes de type extensif pluvial.
Djerambeté Djingamiyo, secrétaire général de la province, a lancé officiellement les travaux, tout en souhaitant plein succès.